Fille en rut sur la plage
4 juillet 2019Mélanie, 33 ans, Val de Marne.
Bonjour interstron.ru, je vous écris pour vous raconter les saloperies que nous avons faites avec Stéphane l’été dernier, puisque c’est le désir de monsieur !
Comme tous les ans, nous sommes partis un peu après les foules sur la Costa del Sol. C’était le début du mois de septembre. Il avait été nerveux pendant tout le vol, il n’a pas confiance dans les compagnies low cost, mais nous les prenons quand même. Bref, il avait enchaîné les boissons alcoolisées payantes jusqu’à ce que l’hôtesse refuse de lui en servir. L’effet des calmants qu’il avait pris avant le décollage s’est produit seulement quand nous avons touché le sol ! Dans le terminal de l’aéroport de Malaga, Stéphane était euphorique. « Mélanie, je vais te baiser dans les chiottes ! », m’a-t-il annoncé. J’étais vaguement énervée après lui pour son comportement dans l’avion, mais il sait que ce genre de plan me fait immédiatement mouiller. Abondamment ! Je l’aime mon ours.
Nous nous sommes engouffrés dans les toilettes opportunément désertes (il était seulement 6 heures du matin). J’ai balancé les bagages dans la cabine voisine, et il m’a enfilée comme un marin qui arrive au bordel après deux semaines en mer. Il lui a suffi de relever ma petite robe et d’écarter ma culotte pour se trouver au fond de moi. J’adore quand il est radical. Il a fait sauter mes seins sans même dégrafer mon soutien-gorge. J’étais sa chose. Sa grosse queue, glissée dans mon vagin, était à sa place. L’épée avait trouvé son fourreau ! J’ai collé le dos à la fine paroi en lâchant un feulement et j’ai enroulé mes jambes autour de sa taille. Il me trombinait sauvagement, j’en perdais la raison ! Nous devions crier comme des bêtes là-dedans, si bien qu’à un moment, un type du nettoyage est venu voir ce qu’il se passait. Il a juste eu à pousser la porte que nous avions « oublié » de fermer. Le petit bonhomme a eu l’air d’hésiter pendant une seconde quand Stéphane lui a fait : « Quieres coger ? » (« Tu veux baiser ? » ) dans son espagnol approximatif… Mais le gus a eu un mouvement de recul et a finalement craché dans une moue vilaine : « La policia, la policia ! » La fête était finie, nous avons filé en rigolant. L’avantage c’était que nous avons vite été rhabillés.
Nous avons sauté dans le premier taxi venu et hop, en route pour Torremolinos. Ce n’était pas la ville la plus glamour du monde, mais elle présentait le double avantage d’être ni chère, ni pompeuse… Et tout cela au bord de la mer. Dès notre arrivée à l’hôtel, nous avons loué une voiture et roulé quelques kilomètres vers l’ouest pour jeter nos serviettes sur cette charmante plage aux moeurs légères. Nous étions chauds ! Il n’était que 9 ou 10 heures du matin, l’endroit était calme. Nous avons commencé par nous baigner, la chaleur montait déjà fort par rapport à Paris. Mon homme s’était jeté à l’eau avec son short qui faisait aussi office de maillot de bain. C’était souvent son seul vêtement pendant une semaine de vacances. Moi, j’ai enfilé mon maillot en douce, derrière les rochers… Enfin, juste le bas, parce qu’après l’épisode de l’aéroport, digne d’une scène des SAS que lit Stéphane, je me sentais d’humeur « seins nus ».
Il y avait un couple à côté de notre emplacement de serviette. La seniorita finissait sa nuit, mais le senior, lui, avait l’air plutôt content de reluquer mes beaux nichons en plein soleil. Il ne se cachait pas. Je lui ai souri et j’ai rejoint mon Stéphane qui se régalait de la scène au loin. Il était surexcité. Dès que je suis entrée dans l’eau, il m’a tripotée de partout. Il me tirait sur les tétons et jouait les jaloux (pourtant pas son style). Il minaudait et attendait le moment où ça allait chauffer. Il me doigtait gentiment, me pinçait les fesses. Je devenais folle et les bam bam de sa queue qui venait taper contre mon derrière n’arrangeaient pas mon état. Je lui ai suggéré de revenir sur le sable et de nous trouver un coin tranquille pour finir ce que nous avions commencé à l’aéroport. Mais il avait un autre scénario derrière la tête…
En revenant sur le sable, il m’a désigné le voisin de serviette qui affichait deux bananes : son sourire allait d’une oreille à l’autre et son slip de bain était complètement déformé par une trique super attirante. Stéphane m’a rassurée : « Commençons nos vacances en beauté, chérie ! » Il avait une telle folie furieuse dans le regard que ça m’a allumée comme un torchon imbibé d’essence. Je me suis approchée en silence pour ne pas réveiller la femme qui ronflait à côté de son gros cochon de mari, tout gourmettes et bagouzes. J’ai avancé à quatre pattes entre les jambes du type et j’ai baissé son slip. La bite a jailli en claquant sur son ventre. Je l’ai prise en main, elle était chaude et dure, j’allais me faire plaisir ! Je l’ai branlée un peu, je l’ai sucée en bavant bien dessus, j’ai léché les lourdes bourses velues, mmmhh… Je le traitais comme un sucre d’orge. Stéphane n’en perdait pas une miette. Il a sorti la caméra et a commencé à tourner après l’avoir montrée à mon gros étalon. Il aime bien me filmer avec d’autres mecs. Il se masturbe en revoyant le film des vacances, à notre retour.
J’étais bouillante, je suis montée sur l’inconnu en jetant un coup d’oeil à madame qui ne savait pas ce qu’elle ratait ! Mon amoureux a posé la caméra sur un rocher (nous étions au bout de la plage, à l’abri des regards) et l’a laissée tourner. Pendant ce temps, il a pris l’appareil photo dans une main et s’est branlé de l’autre. Je me faisais ramoner à l’Espagnole ! Le type me balançait des coups de reins façon toréador au fond de la chatte, je couinais comme si c’était ma première fois, il me coupait presque le souffle ! Je l’ai entendu râler comme un goret, j’ai senti l’instant tragique arriver, je l’ai mis à mort, enfin, la petite mort, quoi ! Je l’ai retiré de moi, j’ai serré sa bite à la base et j’ai branlé, branlé, branlé ce bon membre viril… Pschitt, fontaine ! Il m’a balancé tout son foutre sur la tronche, je m’en gondolais comme une pucelle ! Derrière, Stéphane s’est approché et a déchargé dans mon cou. J’étais belle ! Du sperme partout, la Mélanie ! J’ai rigolé un peu fort. La bonne femme s’est réveillée. Elle n’a pas tout de suite compris la scène… Nous avons profité du malentendu pour filer dans notre voiture de location, laissant notre gros pourceau à la bite si dure s’expliquer avec bobonne ! J’ai pris le volant en me marrant et Stéphane m’a crié « Démarre ! » La rombière s’était levée, elle regardait vers nous d’un sale air !
Le reste des vacances a quand même été un peu plus calme, mais à peine. Cette année, ce sera peut-être pire, nous allons à Ibiza… Je vous raconterai ça !
Stéphane, merci mon chéri, je t’aime.
(Image à la une : Getty Images)
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
Beau black à la plage
« Nous sommes Magalie et Alain. L’an dernier, nous avons visité Paris. Le soir, nous sommes sortis à Pigalle. Alain a voulu voir un spectacle où un couple faisait l’amour sur scène. » Magalie.
Black magic woman
« Un dimanche ensoleillé de novembre, Ali, un ami à moi, est venu me chercher en voiture pour effectuer une course. La course terminée, nous avons eu la superbe idée de faire un tour à la plage. Et pour ajouter une coloration féminine à notre compagnie, je lui ai proposé de passer chercher Leïla qui a accepté de se joindre à nous pour profiter de cette magnifique journée. » Steeve.
À retrouver sur notre plateforme VOD
Femmes et couples réalisent leurs fantasmes
Réagir à cet article
-
boogie35
Superbe article ! Drôle et bandant ! J’ai adoré