Vacances al dente
7 mai 2025Paul, 60 ans, était accro au sexe dans sa jeunesse. Il nous raconte la fois où il a sodomisé une inconnue très coquine dans son bungalow.
Paul nous fait part de son histoire de sexe amateur avec une italienne chaude, fan incontestée de sodomie !
Bon interstron.ru, il faut que je vous raconte. Pour commencer, je m’appelle Paul. Aujourd’hui, je vais sur mes 60 ans et je me suis bien calmé sur la chose. Mais il y a encore 7 ou 8 ans, j’étais le mec le plus chaud du monde. Un assoiffé de chattes, de seins et de culs.
Tania la voisine de bungalow
Et l’histoire que je vais partager avec vos lecteurs concerne un cul bien particulier, celui de Tania. On s’est rencontré en Thaïlande. Je partais souvent là-bas l’hiver. C’était aussi une touriste et on louait un bungalow l’un à côté de l’autre. Je me levais tôt le matin pour faire mon footing le long de la plage et je la croisais qui rentrait de soirée.
Elle ne marchait pas très droit. Clairement, ses nuits étaient bien arrosées et encore plus courtes que ses jupes. Elle chaloupait jusqu’à son bungalow en me souriant et j’ai eu plus d’une fois envie de la rejoindre.
Un matin, j’ai croisé Tania alors que je courais depuis un moment. J’étais en sueur et torse nu. Traileur depuis mon plus jeune âge, j’étais encore bien musclé… Elle, elle portait une robe moulante et des talons qu’elle n’avait même pas enlevés pour marcher dans le sable. Bien sûr, elle a trébuché en me passant à côté et je l’ai rattrapée au vol.
On s’est regardé et elle a souri en disant : « Merci beaucoup ». À son accent, j’ai compris qu’elle était Italienne et je l’ai vue s’éloigner, mais avant d’entrer dans le bungalow, elle m’a souri, puis elle a laissé la porte ouverte. Était-ce une invitation ?
L’appel à la débauche
Il devait être à peine 7 heures du matin, mais il faisait déjà chaud. Les volets de son bungalow étaient fermés. Je me suis avancé et je l’ai vue dans la pénombre, assise sur la table dans la pièce principale. Elle m’a dévisagé en entrouvrant les lèvres… Un vrai appel à la débauche. Je me suis approchée et je l’ai basculée sur la table.
Entre deux gémissements, elle a relevé sa robe et a commencé à se caresser. Une folle de baise, je l’avais bien senti. Je l’ai déshabillée et je l’ai assise sur une chaise pile à la bonne hauteur. Pas besoin de parler italien pour la convaincre, j’ai sorti le paquet et elle a directement mis ses talents en pratique.
Elle se caressait comme une furie en même temps qu’elle me branlait et qu’elle me suçait. Je sentais qu’elle était frustrée. Je l’ai relevée, je l’ai plaquée contre le mur et après avoir vérifié qu’elle mouillait bien, je l’ai enfilée. Mais ça n’était pas suffisant, elle se caressait en gémissant d’insatisfaction.
J’ai fini par lui demander ce qu’elle voulait dans le creux de l’oreille. Elle a tourné son visage vers moi, puis elle a baissé les yeux en murmurant : « Mi culo… »
Elle raffole de sodomie
Alors je l’ai portée jusqu’à son lit et une fois allongée, j’ai plongé le nez entre ses fesses, la langue prête à tout explorer. Jamais je n’avais senti un anus aussi serré. À croire qu’elle était vierge par là ! Plus j’enfonçais ma langue, plus la furie griffait les draps de plaisir. Il m’a quand même fallu un bon moment avant de pouvoir rentrer mon pouce dans son petit trou.
J’ai léché, sucé, doigté jusqu’à ce qu’elle s’ouvre enfin et là, j’ai pu l’enculer. La sensation était divine… Ce couloir tellement étroit et cette fille qui hurlait des mots inconnus qui, semble-t-il voulaient dire encore, vas-y, plus fort !
J’ai pensé qu’elle allait jouir dans cette position, mais cette salope n’en avait toujours pas assez. Alors je me suis allongé sur le lit et je l’ai installée sur moi. Encore un peu de travail avec les doigts et je me suis à nouveau laissé aspirer par son cul.
Je l’ai baisée comme elle le méritait, c’est-à-dire salement. Tania se laissait rebondir sur moi, elle glissait littéralement tandis que ses gros seins gigotaient entre mes mains. J’ai pincé ses tétons et c’est ça qui a déclenché l’orgasme. En l’entendant hurler, j’ai enfin pu relâcher la pression. Après ça, pas une goutte n’est ressortie de son cul, que j’avais pourtant intensément défloré.
Pendant la dernière semaine de mon séjour, je suis allé chez Tania chaque matin. Et chaque matin, je l’ai sodomisée tandis qu’elle en demandait encore. Une de mes plus belles histoires de sexe, et plus beau souvenir de mon voyage.