Ma belle stagiaire
22 mars 2020Christophe, 42 ans
Je sais ce que vous allez dire en lisant ces quelques lignes, et quelque part, vous aurez raison. Il n’a rien de très glorieux à se taper la stagiaire de l’entreprise. Surtout quand celle-ci vient tout juste de dépasser la vingtaine. Elle s’appelait Karla, elle était magnifique. Une brune au corps superbe, un sourire angélique, un corps tonique et si lisse.
Elle est restée 6 mois dans l’entreprise, dans l’open space en face du mien. Je ne lui ai jamais adressé la parole. Même à la cafétéria je n’ai pas osé m’asseoir à sa table ou lui proposer de partager un café. Alors même qu’elle était seule. J’ai attendu son dernier jour, que j’avais entouré en rouge dans mon agenda, pour oser lui proposer d’aller boire un verre dans un bar du coin. J’avais soigneusement évité celui dans lequel j’avais l’habitude de sortir le vendredi soir avec les collègues, je voulais que nous nous retrouvions tous les deux, je voulais que nous soyons dans notre bulle, sans interruption. « C’est marrant que tu n’aies pas sympathisé avec tes collègues? Fabienne et Marjorie sont très sympas tu sais…» ai-je dit une fois que nous étions assis tous les deux.
Sa solitude choisie me fascinait, elle était devenue le sujet de conversation n° 1 dans toutes les bouches. Personne ne savait rien de sa vie et on lui prêtait bien volontiers des histoires de sexe avec les hautes sphères de la hiérarchie ou une précocité avancée pour son âge. Je venais en éclaireur, démêler le vrai du faux. Mais elle n’a pas parlé d’elle. Elle a évoqué vaguement les quelques dossiers sur lesquels on l’avait fait travailler et le programme de ses études. Elle a joliment esquivé tout ce qui concernait sa vie de famille, ses amis, ses passions. Et puis elle m’a parlé de sexe. Comme ça. De but en blanc. Elle n’arrivait pas à s’arrêter.
Elle me parlait de ce qu’elle aimait chez les mecs, à quoi elle pensait quand elle était toute seule dans sa chambre, ce qu’elle avait vécu aussi… J’avais l’impression d’avoir fait sauter un bouchon de champagne et de laisser se déverser tout le flot de paroles dans un geyser incontrôlable. C’était assez impressionnant. Je lui ai proposé de venir chez moi de façon très cash et elle a accepté. Je préfère vous préciser que je ne suis pas «ce genre de mec » d’habitude, mais là, j’ai senti que c’était la meilleure attitude à adopter.
Une fois arrivé dans mon petit appartement, elle s’est tout de suite mise à l’aise. Enfin, elle s’est déshabillée. Elle portait un ensemble noir bien choisi et extrêmement excitant. J’ai commencé par peloter ses deux petits seins fermes et bien pleins. Qu’est-ce qu’elle était bandante ! Je me suis foutu à poil aussi, pour être honnête, j’avais peur qu’elle n’aime pas mon corps, mes petites taches de rousseur, mon ventre un peu adipeux, mes poils… Mais j’ai l’impression que rien ne la dérangeait particulièrement. Elle s’est jetée sur ma queue avec une avidité assez déconcertante ! C’était une très bonne suceuse, d’ailleurs, elle léchait bien tout du long quand certaines se contentent de rester bêtement collés sur le bout du gland. Elle était merveilleuse. J’ai pris quelques photos tellement je sentais que ce qui m’arrivait était magique, presque surnaturel ! Elle m’a même laissé entrer quelques minutes dans sa délicieuse petite chatte si serré, si accueillante. Un vrai délice !
Quand elle est partie alors que je lui avais proposé de passer la nuit à la maison – je ne savais pas si j’allais un jour la revoir. Je vous écris car j’ai enfin reçu un message de sa part. Un message dans lequel elle souhaitait me revoir à la fin d’un de ses cours. Et depuis, je suis le plus heureux des hommes !
(Image à la une : Getty Images)
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« Sans un mot, elle s’est penchée en avant, a soulevé sa robe (elle n’avait déjà plus de culotte) et m’a ordonné de la prendre violemment. C’était tellement bon, je suis venu très vite, et j’ai giclé sur ses fesses. » Sylvain
Une jeune brunette et ses deux amis
« Tandis que je retombais sur le côté du lit, en érection, il s’approcha de son amie, lui écarta les jambes, les posa sur ses épaules et je vis avec horreur qu’il la sodomisait sans grande difficulté et qu’elle semblait aimer ça. » Marc