Détendez-vous belle-maman

La rédaction 24 juillet 2021

Ma belle-mère Solange est unique. À 50 ans, elle est encore superbe. Veuve depuis dix ans, elle est grave en man­que, et elle me l’a fait savoir l’été dernier. Je m’appelle Xavier, j’ai 27 ans et voici mon histoire porno.

Elle avait besoin d’un coup…

Elle m’avait appelé pour une petite réparation de plomberie. Quand je suis arrivé, je l’ai trouvée bien en chaleur : petite jupe à fleurs et blouse légère, transparente. Et l’attitude qui va avec. Elle m’a fait m’asseoir et s’est mise à contre-jour. J’ai découvert ses seins, ses té­tons tendus frottant contre le tissu rê­che et fin, ses larges aréoles som­bres, et surtout sa chatte nue, très poilue, ce qui m’a tout de suite fait bander. Le bas de son ventre était orné d’un triangle foncé qui s’arrêtait à quelques centi­mètres du nombril.

Solange m’a souri et s’est assise face à moi, en re­montant sa robe et en écartant les cuisses. Elle m’offrait sa foufoune en souriant. Elle s’est levée pour aller dans sa cham­bre. Je la désirais, et elle le savait. Je voulais la faire jouir avec ma queue, comme je fais jouir sa fille, mon épouse. Je voulais qu’elle s’abreuve direc­tement à la source de mon sperme, j’en avais beaucoup trop perdu en me branlant tout en pensant à elle.

Elle m’a appelé de sa chambre : « Xavier, viens ici que je te montre ce qui ne va pas. » Je suis resté tétanisé. Elle était allongée, les jambes grandes ouvertes et la main sur sa fente, et m’a dit: » C’est ici qu’il faut réparer mon petit Xavier. » Je fixais sa chatte béante et bien vis­queuse, j’en avais très envie alors, tout en la dévorant des yeux, je me suis déshabillé. Elle a rajouté : « Tu as l’outil qu’il faut, mon gendre chéri, il est beau et gros, ma fille t’a bien choisi. » J’ai frissonné à l’évocation de ma femme, surtout parce que j’allais baiser sa mère. » Votre chatte est vraiment magnifique, Madame « , ai-je répondu, plein d’un aplomb qui m’a surpris.

Pour être débouchée

Elle a souri, ses mains ont écarté ses grandes lèvres gonflées pour libérer les peti­tes et sortir son long clitoris, dans une respiration lourde et suave. J’étais scotché, ma belle-mère était sublime. J’ai eu l’impression de sentir les exhalaisons de sa chatte, de là où j’étais, dans l’embrasure de la porte. Je me suis repris et je suis allé m’allonger entre ses jambes écartées. Mon regard alternait entre sa chatte fournie et son visage, je lui léchais la foufoune, elle répétait : » Oh oui mon Xavier  » sans conviction, comme si elle était blasée, comme si elle connaissait déjà l’amant que j’étais, comme si elle avait déjà tout vu.

Avec ma langue, j’ai câliné son clitoris, ses petites lèvres molles et douces, j’en avais plein la bouche. Elle ten­dait sa vulve vers moi pour me la faire manger, quand soudain elle s’est bloquée, comme parcourue par une décharge, les membres crispés, le dos arqué, dans un sursaut de plaisir intense. Je ne lui ai pas laissé de répit. De la conviction, elle allait en avoir bientôt. Parole de gendre ! Je me suis redressé pour lui faire admirer l’engin qui allait la labourer jusqu’à la faire hurler de plaisir. Sans effort, ma bite l’a pénétrée de tout son long, avec des bruits évocateurs. Solange avait la chatte inondée. Je l’ai pilonnée très doucement, jusqu’à ce que je sente les parois de son vagin se resserrer sur ma queue. Puis j’ai ressorti ma bite brillante. Elle m’a enserré le cou de ses mains en criant : » Oh non.  » Elle allait la sentir passer, ma matraque.
Je l’ai mise en levrette, elle en voulait tellement qu’elle se laissait faire comme une marionnette. Je suis entré sans m’annoncer, et je lui ai asséné des coups de brute dans la moule.

Je voulais la faire hur­ler, aboyer de plaisir. Je me suis retiré une nouvelle fois, j’ai craché sur son anus en­touré de petits poils châtain, elle m’a demandé ce que je fai­sais. « Je vais vous enculer, Solange. » Je n’ai pas attendu sa réponse, je me suis mis à pousser. C’était beau de voir son anus se dilater autour de mon bâton. Entré jusqu’à la garde, je me suis penché sur elle pour lui tripoter le clitoris, et lui murmurer, d’une voix grave, pleine de mâle assu­rance : » Et maintenant, déten­dez-vous belle-maman. »
J’y suis allé comme un  malade. L‘orgasme nous a submergés. Je me suis complè­tement vidé en elle, tirant de gros jets chauds à l’intérieur de ma belle-mère. C’était vraiment magnifique. Franchement, je souhaite à tous les hommes de vivre une telle aventure.

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