Un intérim inoubliable

La rédaction 17 mars 2019

Sylvain, 24 ans.

Je m’appelle Sylvain, j’ai 24 ans et j’aimerais partager mon aventure avec vos lecteurs. En septembre, j’ai travaillé en intérim dans une société de tourisme fluvial de ma région, comme beaucoup de jeunes, j’aime surfer sur le Net… sur les sites coquins. Je suis tombé par hasard sur le profil d’une jolie femme brune, mariée, de 47 ans, qui travaillait dans la même société que moi. Je lui ai laissé un message sur son profil pour essayer d’entrer en contact avec elle et connaître ses recherches… À ma grande joie, j’ai reçu une réponse le lendemain (la coquine surfait pendant les heures de travail). Elle était mariée depuis 19 ans et sa vie de couple était devenue monotone, elle ne cherchait rien de spécial juste savoir si elle était encore désirable et trouvait excitant de dialoguer en secret avec des hommes. Au fur et à mesure de nos discussions elle se dévoilait de façon plus intime, elle se disait plutôt sage, aimait la sensation de domination lors des fellations, appréciait de sentir le jus chaud sur ses seins ou sur son visage, elle n’avait jamais eu de relation à plusieurs ni pratiquée la sodomie !

Les jours suivants furent très excitants: elle me décrivait ses envies, ses tenues, fantasmait sur la possibilité de se faire prendre en levrette sur un bureau. Et puis, vint ce qui devait arriver, elle m’envoya une photo d’elle et demanda la mienne en retour, vous pouvez aisément imaginer le malaise lorsqu’elle m’a reconnu…Le choc passé, elle me fit promettre de me taire. Elle était confuse, alors que moi, je lui expliquais que j’avais trouvé la situation terriblement excitante et que je la trouvais extrêmement désirable. Je n’avais qu’une envie, c’était de la caresser et de l’embrasser! L’après-midi, j’ai profité de son passage à l’imprimante pour me glisser derrière elle, effleurer ses fesses et poser un baiser dans son cou, ne constatant aucun refus, je l’ai embrassée à pleine bouche et j’ai caressé sa poitrine généreuse.

Le lendemain, nous nous sommes envoyés des sms, sages au départ, puis de plus en plus érotiques. Vers 18 heures, juste avant la fermeture, elle m’a donné rendez-vous en salle d’archives. Immédiatement, elle a dégrafé mon pantalon et a commencé à me branler. Me sentant rapidement à bout, elle s’est agenouillée et m’a pris en bouche. J’ai joui presque immédiatement ! Après avoir recraché discrètement mon jus dans un mouchoir, nous sommes retournés à nos postes comme si de rien n’était.

Le lendemain, rebelote : elle m’a donné rendez-vous 10 minutes avant la fermeture dans le bureau de la comptable qui était vide à cette heure. Quand je suis arrivé, elle était adossée au bureau avec une belle robe à bretelles. Sans un mot, elle s’est penchée en avant, a soulevé sa robe (elle n’avait déjà plus de culotte) et m’a ordonné de la prendre violemment. C’était tellement bon, je suis venu très vite, et j’ai giclé sur ses fesses. Elle s’est essuyée et on est repartis vite fait. Nous avons remis ça encore deux fois. Pour moi, cela restera une expérience inoubliable, pour toujours.

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Dans le bureau du patron

« Ses mains parcouraient mon corps avec sensualité. Je me suis mise à genoux et j’ai ouvert son pantalon. Dans son slip, j’ai déniché une belle surprise: un membre de bonne taille, pas trop long mais bien épais,comme je les aime » Alexandra.

Sous le bureau

« Je me suis glissée entre ses cuisses et je me suis agenouillée. Son pantalon laissait apparaître une belle bosse. D’un geste très lent, j’ai ouvert sa braguette et j’ai dégagé sa queue. » Nawel.

À retrouver sur notre plateforme VOD

Sous leurs airs de secrétaires modèles, de jeunes filles timides, ces superbes déesses font preuve d’un appétit débordant qui vous laissera sans voix !


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