Célibataire endurci par la serveuse

La rédaction 25 juillet 2021

Je suis un beau jeune homme de 27 ans, vendeur depuis quelques années dans un magasin de prêt-à-porter à Paris, et, sans paraître vantard, pas mal de minettes me tournent autour. Au magasin, j’ai le surnom de « liquidator » ; dès qu’une cliente entre, je lui double son panier avant qu’elle ne passe à la caisse. Ma technique est toujours la même : quelques sourires et quelques compliments sincères sur « telle ou telle fringue mettant en avant les formes » fonctionnent à merveille. Je m’appelle Nabil et voici mon histoire porno.

Premier contact

Certaines poussent même le vice à me demander d’assister à leur essayage, feignant de mal refermer leur rideau pour que je puisse admirer leurs courbes. Avec certaines, je leur demande leur numéro à la sortie des portiques, et avec d’autres, les mamans en particulier, je m’abstiens. Bref, j’adore ma vie de célibataire et ne me mettrait en couple pour rien au monde ! 

Je sors souvent après le travail avec mes amis, et il y a un bar que j’affectionne particulièrement à quelques stations de métro de mon appart. J’y retrouve avec plaisir ma bande d’amis d’enfance, rencontrée lors de mes études en école de commerce, et également, Manie, la serveuse. Elle m’a fait un effet de dingue dès que je l’ai vue. Une grande, blonde, dont la particularité est de ne s’habiller qu’avec des tenues « fluo » et de se mettre des vernis à ongle improbables. Mes potes la charriaient beaucoup dessus – certainement parce qu’ils ne savaient pas comment créer une approche convenable, mais moi, je lui ai juste dit, une fois, « ton style est dingue, ne change pas ! ». Et je crois bien que cela a fait mouche.

Elle m’a laissé un petit mot avec son numéro de téléphone au moment où j’allais payer l’ensemble de mes consommations, et à ce moment-là, mon cœur s’est emballé ! J’ai hésité très longtemps avant de lui envoyer un premier texto, ne sachant pas comment je devais le tourner, pas trop « cul », pas trop « mièvre », assez « dense » pour qu’elle devine qu’elle me plaise tout en restant « détaché » et pour qu’elle ne se sente pas agressée. C’est la première fois que je prenais autant de pincettes avec une fille, j’en étais déboussolé. 

Les petits plats dans les grands

Bref, j’ai fini par lui envoyer un message et quelques jours après, elle était chez moi, rayonnante comme au bar. J’avais énormément de désir pour elle, j’aurais préféré prendre mon temps, ne pas passer toute suite à l’action, faire connaissance… J’avais préparé un dîner, rien que pour nous deux (un truc simple à faire chauffer au micro-onde mais qui m’a coûté assez cher à la superette du coin), mais cela n’a pas été nécessaire, elle m’a embrassé au bout de quelques minutes. Avec ses petits yeux de chats, verts et en amande, elle m’a avoué qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis longtemps. « Ma chatte est vraiment toute serrée, je suis désolée Nabil, j’ai trop envie de toi… ». Qui résisterait à de pareils miaulements ? 

J’ai baissé mon pantalon, mon sexe bandait. Je lui ai demandé s’il lui plaisait. Elle m’a regardé en haussant les yeux, manifestement, elle semblait trouver ma question complètement conne. Et je dois bien lui donner raison. Je n’ai plus pipé mot jusqu’à la fin de notre aventure. Quand j’ai soulevé son tee-shirt, j’ai découvert deux piercings « fluo » magnifiques, que j’ai titillé et tourné dans tous les sens. 

Elle rigolait en se laissant faire. Ses seins étaient comme deux petits boutons de rose, délicat et très mignon. Et le corps qui les portaient fièrement était magnifique, mince, élancé. Éblouissant. Elle irradiait la pièce en s’abandonnant à moi. Elle m’a sucé comme une reine, je me suis répandu sur son dos. Elle est restée dormir chez moi, puis est repartie le lendemain, travailler au bar. Moi, dans mon magasin de vêtement. Une cliente s’est déshabillée dans la cabine d’essayage, le rideau de velours grand ouvert, mais je ne l’ai pas regardée. Elle avait à peine 25 ans et elle est repartie sans rien acheter. Mes collègues m’ont demandé si j’étais malade. Je leur ai juste répondu : « Non, amoureux… ».

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