J’aime les bites !
3 juillet 2024Vanessa, 27 ans, Touraine, réalise son scénario et fantasme et avale une belle bite comme elle les aime.
Je m’appelle Vanessa et j’ai un fétichisme particulier : j’ai vraiment un faible pour les belles bites. La plupart de mes amies y sont indifférentes, mais moi, je ne résiste pas à un beau calibre bien moulé avec un beau volume et une belle peau. Pour tout vous dire, sur les applis de rencontres, c’est moi qui réclame des dick pics, des photos de bite. Je m’amuse beaucoup à choquer les hommes sur les sites en le leur demandant au bout de trois messages. J’ai besoin de voir le matos avant de décider de rencontrer quelqu’un. C’est souvent cette photo qui va m’exciter et qui va me pousser à aller plus loin avec la personne. Voici mon histoire de sexe.
Un jeu de sexe
La dernière fois que j’ai joué à ce petit jeu, c’était Cédric, 40 ans, beau gosse sympa et avenant. Très vite, j’ai voulu voir à quoi ressemblait sa queue et je lui ai demandé de me la montrer. Il ne s’est pas fait prier et m’a gratifiée d’une très belle photo presque artistique de son membre en érection. Cela m’a donné l’eau à la bouche. Nous avons commencé à échanger des messages crus. « J’aimerais bien la goûter », ai-je écrit, ce qui l’a tout de suite beaucoup excité. « Je rêve que tu me suces et de pouvoir faire de nouvelles photos de ma bite, mais dans ta bouche », a-t-il répondu. L’idée m’a fait mouiller plus que d’ordinaire et j’ai senti la chaleur de l’excitation monter du creux de mes cuisses, jusque dans mon bas-ventre.
Je lui ai donné rendez-vous le soir même dans mon appartement. Nous avons tous les deux élaboré le scénario qui nous plaisait, pour faire monter la tension sexuelle. Il monterait les marches, frapperait, je l’attendrais en lingerie dans l’appartement, agenouillée, prête à le sucer. Nous n’échangerions que peu de mots.
Pendant qu’il faisait le chemin, j’ai pris grand soin et grand plaisir à me préparer : j’ai maquillé mes yeux et mes sourcils pour les faire bien ressortir sous ma crinière de boucles rousses. Je me suis enduit le corps d’huile, j’ai choisi un petit string ficelle des plus seyants.
Un scénario et mon fantasme
Me préparer pour cette entrevue coquine était comme des préliminaires qui me mettaient déjà dans une forme d’excitation. Mon string frottait mes lèvres intimes délicatement avec mes mouvements, commençant doucement à y allumer le feu. Quand l’heure de notre rencontre fut imminente, j’ai entrouvert la porte de l’appartement – en essayant de ne pas me faire voir de mon voisin libidineux. Puis, quasi à poil, en string, seins nus, je me suis agenouillée dans le couloir. Me placer dans cette position de soumission, avoir l’audace d’attendre cet inconnu de la sorte chez moi, était terriblement excitant pour moi. Ce scénario faisait partie de ma fantasmagorie depuis longtemps déjà.
Je l’ai attendu, cœur et clitoris battants. Il a poussé la porte pour apparaître dans l’encadrement, grand, massif, assez impressionnant depuis ma position agenouillée. Je l’ai trouvé terriblement sexy, car la puissance de son corps était contrebalancée par un regard et un sourire très doux. Il m’a contemplée avec envie, comme s’il était devant un appétissant gâteau d’anniversaire. Puis il a fait un truc très classe : plutôt que juste baisser son pantalon pour me mettre directement sa bite dans la bouche, il ne m’a pas laissée seule dans ma nudité, il est resté à quelques pas de moi et s’est mis à déboutonner sa chemise. « Est-ce je suis conforme à tes attentes ? Comment tu me trouves ? Tu veux voir mon corps ? » a-t-il demandé. J’ai trouvé ça très érotique. J’ai acquiescé avec enthousiasme et, lentement, langoureusement, il a retiré sa chemise en la faisant glisser sensuellement sur la musculature de ses épaules, puis, tout aussi sensuellement, il a ouvert sa ceinture et déboutonné son pantalon, qu’il a baissé le long de ses cuisses. Il a passé sa main sur son érection pour me faire deviner les contours de son sexe à travers son caleçon. Je ne l’ai pas quitté des yeux, captivée par ce strip-tease inattendu qui me tenait en haleine. Puis il a cessé de faire durer le suspense et a révélé sa queue à mon regard.
Jet de sperme dans le cul
J’étais toujours agenouillée et je me suis approchée de lui à quatre pattes, puis me suis redressée sur les genoux. Je l’ai attrapé par la taille pour lui embrasser le bas-ventre, et je me suis mise à le sucer tout doucement en m’attaquant d’abord au gland. Il était très dur et bandant. Petit à petit, je suis descendue sur son jonc à coups de caresses avec ma langue, et de baisers. Il est devenu encore plus dur sous mon traitement. Il pulsait dans ma bouche quand je l’ai avalé plus profond. Il a pris des photos de moi agenouillée à ses pieds et j’ai fixé l’objectif de mon regard bleu translucide que je sais être très troublant. Puis je l’ai emmené dans ma chambre pour continuer mon petit jeu sur le lit. Son corps nu à ma disposition s’est laissé ensevelir de caresses et j’ai continué à le sucer, à quatre pattes entre ses jambes. Il ne cessait pas de me tirer le portrait. C’était un moment complice.
Quand il a été proche de l’orgasme, il m’a fait m’allonger sur le ventre pour me caresser les fesses et le clito par-derrière. J’ai aimé me laisser aller entre ses mains, toute détendue sur mon matelas. Il savait y faire et je me suis mise à couler sur ses mains. Pendant que je jouissais, tête contre le drap, il a éjaculé sur mon cul que j’ai écarté avec les mains pour qu’il voie sa semence perler sur mon anus. Quel beau tableau ça devait être ! J’ai pu me régaler des photos quand nous avons eu fini notre affaire et, devant tant d’érotisme, nous avons décidé de vous en faire profiter.
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