Je cherche un amant
2 août 2024Karine, 21 ans, essaie pour la première fois l’anale avec un homme qui dispose d’un engin gigantesque.
Quelques jours plus tard, parmi la bonne cinquantaine de courriers que j’ai reçus, une réponse a attiré mon attention. L’homme se définissait comme « un veuf de 48 ans, mais toujours très chaud« . Je l’ai appelé aussitôt, il avait une jolie voix douce. Très vite, nous avons pris rendez-vous sur le parking de la gare près de chez lui pour le lendemain soir. Voici mon histoire de sexe.
Dans les buissons
Mon excitation est montée crescendo jusqu’à l’heure du rendez-vous. Sous ma douche, une heure avant de partir, je mouillais tellement que ma main s’est naturellement dirigée vers mon clito pour me branler. J’aurais pu atteindre un orgasme en quelques secondes, mais c’est à contrecœur que j’ai retiré ma main. Je voulais être la plus chaude possible pour notre rendez-vous, pour ne pas le gâcher.
Pour notre rencontre, je n’ai pas mis de sous-vêtements. J’ai enfilé un jean, un petit haut rose fuchsia et mes cuissardes top mode, et je suis partie dans ma titine. Quand je me suis garée, il était déjà là. Plus d’un mètre quatre-vingt-dix, costaud comme un gladiateur avec une barbe de trois jours. Il m’a plu au premier coup d’œil. L’homme s’est avancé vers moi d’un pas énergique, à grandes enjambées, et il m’a tendu la main en disant : « Moi je suis Edmond, et toi, tu es Karine ? » Moi, je ne sais pas ce qui m’a pris au juste. J’ai gardé sa main serrée dans la mienne, et je l’ai simplement entraîné derrière un buisson sans piper un mot. Il a insisté pour qu’on aille d’abord prendre un verre chez lui, mais moi, j’ai déboutonné son jean et sorti sa bite sans l’écouter. Au repos, elle était déjà impressionnante.
Un membre énorme !
Edmond avait l’air un peu déstabilisé, mais sa queue, elle, a gonflé en un temps record. Je n’avais jamais vu un engin pareil. Ça me faisait presque un peu peur. Je l’ai massé en passant ma langue sur son gland. Edmond a eu un petit sursaut quand je l’ai enfourné dans ma bouche pour le sucer frénétiquement. J’ai même failli m’étouffer quand j’ai sucé son manche si loin qu’il a heurté ma glotte. J’ai toussé pendant une bonne minute. J’en voulais plus, et je voulais qu’il se mette à diriger la barque. Je l’ai sorti de ma bouche et j’ai attendu qu’il prenne l’initiative. Il m’a relevée et m’a plaquée contre un arbre, la tête et le ventre écrasés sur le tronc. Il a retiré mon jean à mi-mollets, et a haleté dans mon oreille : « Elle aime la nature, hein ? Et qu’est-ce qu’elle dit du contre-nature ? »
Il s’est penché sur mon minou trempé – tu m’étonnes, vu comme j’étais excitée ! – et m’a léchée à grands coups, en se mettant aussi sur mon trou de derrière. Je ne voulais pas bouger, j’aimais bien qu’il me domine, qu’il me brusque un peu, ça mettait mon ventre en feu. En même temps, je paniquais un peu, j’avais peur de me prendre le monstre dans le bas-ventre, je pariais que mes fesses allaient s’en souvenir pendant plusieurs jours. Il a vite enfilé une capote et, quand j’ai senti qu’il forçait mon entrée la plus secrète (c’était la première fois), j’ai poussé un cri de douleur et de jouissance en même temps, et j’ai eu un orgasme foudroyant dès qu’il y a passé le gland. Mes bras et mes jambes étaient en coton ; je ne pouvais plus réagir. Il m’a limé le cul très profond et s’est vidé en moi. Je ne savais plus où j’étais, au septième ciel sans doute. Depuis, je le revois au moins une fois par semaine, c’est dur car il travaille beaucoup mon Edmond, mais je ne peux plus me passer de lui.
(Image à la une : Getty Images)
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Vanessa
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Baldini
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