Un amant si excitant
23 janvier 2020Nora, 49 ans
Bonjour, je me prénomme Nora, j’ai 49 ans. Je suis blonde, mariée depuis plus de vingt-cinq ans et mes enfants sont autonomes.
Ma vie semblait devenir un long fleuve tranquille. Je cohabite avec mon mari qui me laisse aujourd’hui totalement indifférente sur le plan sexuel. D’ailleurs, en jetant un bref regard sur ma vie intime, j’ai passé plus de temps à faire l’amour avec mes amants qu’avec mon mari. Et encore, je n’ai pas eu beaucoup d’amants. Je fantasmais en songeant à ce qu’ils faisaient avec d’autres femmes, cela m’excitait au plus haut point et je me caressais en pensant à leurs ébats.
Ma rencontre avec Claude, un client, ne paraissait pas extraordinaire. Je l’avais à peine regardé. Mais lui m’avait remarquée, peut-être parce que, comme tous les hommes, son regard s’était arrêté sur mon buste. Même un gros pull de laine en hiver ne parvient pas à dissimuler ma poitrine. Je porte un soutien-gorge taille 100 G. Quand il m’a rappelée pour me confier que j’avais un très beau sourire et me proposer de boire un thé dès que je sortirais de mon travail, je n’ai pas hésité. Nous nous sommes retrouvés dans une cafétéria, nous avons échangé sur nos vies. Il m’a dit être inscrit sur un site de rencontres, et je l’ai noyé de questions sur les femmes qu’il contactait. S’il les revoyait, s’il avait des relations intimes avec elles. Il me répondait de façon très honnête, mais sans entrer dans les détails. Il paraissait presque gêné d’en parler, ce qui m’excitait énormément. Nous avons décidé de dîner ensemble le lendemain. L’attente était terrible, car je sentais que cet homme m’émoustillait, qu’il allait me confier des détails très intimes sur ses aventures. De plus, je redécouvrais l’envie de séduire, de troubler celui dont je savais déjà qu’il serait mon prochain amant.
Deux heures avant le dîner, j’ai mis une tenue de circonstance, un décolleté à la limite de l’indécence, sous un gilet plus convenable. Puis, une fois assise en face de lui au restaurant, j’ai largement ouvert le décolleté. Il m’a raconté quelques-unes de ses aventures d’un soir.
Quand il était étudiant à Orléans, il avait un Solex sur lequel il emmenait ses conquêtes. Il arrivait même qu’il les déguste sur son « véhicule » de fortune. Ah ! Le charme des années 1970 ! Il m’a parlé de cette petite rousse prénommée Géraldine. Il l’avait rencontrée à la fac et avait tout de suite fondu pour sa beauté sauvage. Sa chevelure sanguine et odorante la suivait comme un renard taquin. Il m’a vaguement décrit la petite sorcière, mais il s’est attardé en parlant de son visage : ses taches de rousseur faisaient comme une fine barre en travers de son minois. Apparemment, cela s’accordait à merveille avec son tempérament rieur, ses yeux verts et ses fossettes. Elle avait, comme moi, une poitrine conséquente et le derrière qu’ont les jeunes étudiantes sportives, c’est-à-dire ferme comme celui d’une déesse sous-marine. Claude a joliment résumé la chaleur qui émanait d’elle : « Autant dire qu’elle était aussi appétissante qu’un coq au vin un soir d’automne. »
Il lui a proposé un tour sur son engin, elle n’a pas résisté. Il l’a emmenée dans un petit coin qu’il connaissait bien, au bord de la Loire, un lieu retiré de la circulation et où l’on entendait les oiseaux siffloter. Ils ont fumé des cigarettes de tabac à rouler, et elle lui a chanté une chanson qu’elle venait d’apprendre. Ensuite, il l’a embrassée dans le cou, avant de descendre vers ses obus. Géraldine s’est laissée aller à la volupté, et il s’en est suivi un cunni sucré-salé (je sais aujourd’hui combien il en raffole). À force de s’acharner sur sa fente au poil naturellement rare, il a fini par lui titiller la rondelle du bout de la langue. Alors, la rouquine s’est cambrée et a joui très vite en se frottant le clito. Il en a déduit qu’elle avait un petit faible pour la stimulation anale. Il avait justement amené de quoi préparer un casse-croûte… Du pain, du fromage et du beurre. Il l’a lubrifiée pendant qu’elle le branlait.
Puis il s’est introduit doucement dans la demoiselle. Quelques coups de reins ont suffi pour qu’il se trouve au fond d’elle. Mais il s’est retiré pour l’installer sur son Solex. Elle s’est allongée sur le dos quelque part entre le guidon et la selle, et il est revenu loger sa queue dans son rectum bouillant d’anxiété. Puis, il s’est fait plus elliptique dans son récit… Il m’a juste dit qu’il lui avait donné tout ce qu’il pouvait. Il a dû se passer quelque chose de pas bien glorieux pour qu’il n’insiste pas plus. Quand il a conclu en me confiant avoir joui sur le ventre de sa conquête, j’ai compris qu’il préférait abréger. Je ne l’ai pas interrogé plus.
Malgré tout, je savais que sa belle histoire me suffirait pour me tripoter le clito pendant de longues heures (au total !). Bref, j’étais aux anges… Nous avons enfin quitté le restaurant. Je commençais à avoir des fourmis dans la chatte. Dans la voiture, mon regard expressif et mon sourire l’ont incité à m’embrasser. Il a fait cela très tendrement, sans précipitation. J’ai senti l’homme d’expérience, peu sont ceux qui savent embrasser. J’ai chaviré. Je n’ai plus eu qu’une envie : qu’il m’emmène chez lui pour me faire l’amour. C’est là qu’il m’a achevée : « J’aimerais beaucoup te revoir, demain ou après-demain. » J’étais consternée, la soirée allait s’achever comme ça, sur un baiser ! J’étais dans un état d’excitation terrible, il voulait rentrer chez lui ! Je me suis tournée vers lui et, dans un geste sans équivoque, j’ai soulevé ma poitrine des mains et je lui ai donné mon décolleté en offrande. J’ai murmuré : « Embrasse-les, je n’en peux plus ! » Il s’est jeté dessus. Il n’y avait plus de doute possible, nous irions chez lui.
Cela fait trois ans que nous nous retrouvons régulièrement, je l’ai dans la peau, et j’espère vivre avec lui un fantasme délirant : le voir faire l’amour à une autre femme, puis me joindre à eux.
(Image à la une : Getty Images)
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