L’arbre à jus
15 novembre 2020Seb, 23 ans, a une collègue qui lui raconte ses confidences… même intimes : elle adore sentir le sperme sur tout son corps.
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J’ai rencontré une jeune femme récemment dans le cadre de mon métier. Comme je suis plutôt bel homme et très bavard, je n’ai aucun mal à faire de nouvelles rencontres, à me lier d’amitié avec de parfaites inconnues.
Je ne vais pas vous parler de mon travail plus longuement, mais sachez juste qu’il consiste à servir des clients, et dans ce style de job, avoir une oreille bienveillante à qui raconter ses petits soucis humains, ça compte !
C’est donc auprès de moi que Julie, ma collègue, s’adonnait à des confidences intimes. Une fois, elle m’a même avoué qu’un des clients lui avait clairement tapé dans l’œil avec sa veste de haute couture et ses chaussures de marque. Alors que je trouvais ça d’un banal affligeant (quelle femme ne succombe pas aux atouts d’un homme au portefeuille bien garni ?) elle ajouté, dans un souffle à peine audible « Enfin, sa bande de potes aussi. »
« Tiens, tiens » me suis-je dit « Celle que je prenais pour une petite prude vénale se révélait en fait être une vraie adepte de l’amour à plusieurs. »
Je lui ai demandé ce qui l’excitait vraiment : le fait d’avoir plusieurs pénis à disposition ? Se sentir désirée par plusieurs cerveaux en même temps ? Avoir de multiples mains qui la caressent ?
Sa réponse a été à la hauteur de ma curiosité : « Non, j’aime le sperme. J’aime savoir que les hommes vont me juter dessus et n’épargner aucune parcelle de ma peau. J’aime me sentir gluante, presque liquide. C’est comme l’arbre dont la sève donnerait la vie. J’aime me transformer certains soirs en arbre à jus. »
Ces mots m’ont touché. Bien évidemment, ils m’ont aussi excité. Mais savoir qu’une simple collègue pouvait me livrer autant d’elle, de ses réflexions, de ses fantasmes et de ses désirs, je peux vous assurer que cela déstabilise énormément.
« Et mon jus t’intéresse ? », ai-je tenté avec un sourire que j’essayais de rendre ravageur et sûr. Au fond de moi, je tremblais. Cette femme avait une force de caractère et une liberté sexuelle que j’avais peur de ne pas savoir gérer. Elle m’a regardé avec tendresse et m’a pris dans ses bras. Ma queue a immédiatement répondu à son appel, comme aimantée. Nous allions baiser, j’en étais presque sûr.
Je l’ai invitée chez moi le soir même, elle a accepté mais elle n’a pas voulu coucher. « Nous ne nous toucherons que lorsque tu auras passé 48 h sans éjaculer. Là, je serai sûre d’en avoir pour mon compte. » Les prochaines 48 h ont été extrêmement longues, comme vous pouvez le deviner. Je ne pensais qu’à son corps, à sa chatte, à son cul que je pourrais repeindre à ma guise.
Enfin le soir fatidique arriva et elle se mit nu. Elle m’intima l’ordre de ne pas la toucher, ni la pénétrer et elle me pompa comme une folle. Elle était bien au-dessus du lot de la plupart des femmes que j’ai pu connaître jusqu’à présent. Évidemment, l’orgasme est monté très rapidement ; mais j’ai quand même posé une main sur son cul. Trop difficile de résister à la tentation. Et je crois qu’elle en a eu pour son compte.