La fucking machine
7 juillet 2024Claire, 22 ans, région parisienne, demande l’aide à son ami pour lui trouver les meilleurs jouets sexuels possible pour tester une nouvelle expérience.
Chers lecteurs et chères lectrices, je m’appelle Claire, je suis une très belle blonde musclée de 22 ans. Comme toutes les filles de mon âge, j’ai des fantasmes, mais tous ne peuvent pas être forcément assouvis ! Il y a quelques mois, je suis tombée sur une vidéo porno qui m’a beaucoup plu ! J’y voyais une femme contrainte sur une table noire avec un énorme sextoy qui vibrait à une vitesse folle sur son clitoris, forcée d’avoir un plaisir qu’elle avait du mal à maîtriser… Je dois avouer que ça m’a complètement obnubilé par la suite. Je voulais connaître cet orgasme puissant dans lequel elle avait l’air de totalement s’abandonner et s’oublier. Voici mon histoire de sexe.
Heureusement, j’ai un pote, Robert, plutôt bricolo et je lui ai envoyé la vidéo porno en lui demandant s’il pouvait réaliser mon fantasme. Il m’a dit que ça lui prendrait une aprèm pour réunir tout le matériel (il avait réussi à dénicher des bonnes affaires sur des sites Internet de revente d’objets), et le soir même il m’a invitée à les tester chez lui ! Bon, je savais que Robert avait toujours eu envie de me choper, mais en entrant chez lui, j’ai mis les choses au clair direct : « Pas question que ta bite me touche ! » Il a eu l’air un peu déçu par ma mise au point très déterminée mais a semblé la prendre pour acquis. Heureusement !
Tout un tas d’objets coquins
Il m’a montré les objets qui promettaient déjà mille tortures délicieuses. Il m’en a pris un et m’a expliqué le fonctionnement. Il n’en a pas fallu beaucoup plus pour m’exciter, la vibration était terrible. Je me suis déshabillée dans son local et suis venue me poser sur un petit meuble en bois qu’il avait rapporté spécialement pour la soirée. J’ai commencé à me toucher un peu pour préparer mon corps aux assauts des objets terribles. Heureusement, Robert avait pensé à prendre un bon gros pot de lubrifiant et j’en ai bien profité !
Je me suis badigeonnée de partout pour ressembler à une grosse limace luisante. Là, j’ai essayé le premier sextoy. Je l’ai posé tout doucement sur mon clito, la sensation était tellement énorme que je n’ai pas pu m’empêcher d’émettre un énorme cri perçant à travers tout l’atelier. Robert se demandait s’il devait intervenir, mais d’un signe de la tête je lui ai fait comprendre que c’était bon. Quoique… J’adorais ce sextoy vaginal mais j’avais aussi envie de jouir du cul, Robert allait peut-être me servir finalement. Je lui ai demandé de me coller un deuxième jouet, celui qui ressemblait à un marteau-piqueur, sur ma belle rosette ! Pas besoin de le répéter deux fois…
Il est venu m’enfoncer entre les fesses l’objet oblong qu’il avait pris soin d’enduire d’une bonne dose de lubrifiant gluant avant. J’avais peur que cela fasse un peu mal, mais pas du tout ! C’est passé comme un colis à la poste avec un accusé de réception jouissif ! Cette double stimulation était géniale, d’un côté j’avais un énorme vibro qui émerveillait mon clitoris, d’un autre j’avais ce bon gros gode dans l’anus qui me dilatait de tout son long. Je n’ai pas vraiment tardé à jouir, envahie par un orgasme puissant qui a duré de longues, très longues secondes. Tellement longues que j’ai cru que je n’allais jamais redescendre. Robert a eu la présence d’esprit de stopper tous les jouets pour me laisser me remettre de ces émotions. « Alors, c’était comment ? » m’a-t-il demandé, heureux de recueillir en premier mon témoignage.
Je lui ai répondu qu’il devait essayer de se mettre une bonne fucking machine dans le cul s’il voulait se faire sa propre idée. Il a fait une mine dégoûtée, et pourtant, il ne sait vraiment pas ce qu’il perd…
(Photo à a une : Getty Images)
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« C’est par du bouche-à-oreille que Christine avait entendu parler de mon nom, et, de ce qu’elle m’a dit, elle a tout de suite été très intriguée par la description que l’on avait fait de moi : j’étais supposément le meilleur donneur d’orgasmes imposés de la région. Elle se demandait alors ce que c’était un « orgasme imposé ». » Patrice.
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« Ma copine Armelle, me voyant déprimée par la rupture, a déboulé chez moi un beau jour avec un petit paquet rose à la main. En l’ouvrant, j’ai découvert son drôle de cadeau : un sextoy qui s’est mis à vibrer quand j’ai appuyé sur un petit bouton sur le côté. « Je l’ai trouvé trop mignon, et puis il est tout riquiqui, tu peux le glisser dans ton sac à main et l’emporter partout », a rigolé Armelle. » Zineb.