Extrêmes vibrations

La rédaction 16 mars 2019

Zineb, 34 ans, Saint-Étienne.

Depuis mon divorce, j’ai décidé de mordre la vie à pleines dents. Mon ex-mari, que j’ai rencontré très jeune, ne m’a jamais vraiment satisfaite sexuellement et j’ai du retard en la matière… Heureusement, je peux compter sur mes amies qui m’encouragent sur la voie du plaisir. Ma copine Armelle, me voyant déprimée par la rupture, a déboulé chez moi un beau jour avec un petit paquet rose à la main. En l’ouvrant, j’ai découvert son drôle de cadeau : un sextoy qui s’est mis à vibrer quand j’ai appuyé sur un petit bouton sur le côté. « Je l’ai trouvé trop mignon, et puis il est tout riquiqui, tu peux le glisser dans ton sac à main et l’emporter partout », a rigolé Armelle. J’ai rougi et rangé l’objet dans ma table de nuit.

J’ai commencé à utiliser mon nouveau joujou seule, dans ma chambre. Au début, je me sentais un peu honteuse, mais petit à petit je me suis enhardie. Un soir, je suis même allée sur Internet et j’ai commencé à regarder des photos de gens en train de faire l’amour. Entre mes cuisses, ma main s’activait : j’ai caressé mes lèvres et introduit lentement un doigt dans l’orifice. J’étais moite. L’autre main posée sur la souris, j’ai fait défiler les photos sur l’écran. J’en ai trouvé une que je trouvais très belle : une brune pulpeuse était à quatre pattes en train de se faire prendre par deux étalons. Le premier la possédait par-derrière, le second était dans sa bouche. Elle le regardait dans les yeux tout en cambrant sa croupe rebondie. J’ai allumé mon sextoy et je l’ai fait vibrer contre mon clito, tout en m’imaginant à la place de la demoiselle sur la photo. Un plaisir incroyable m’a submergée, et j’ai joui en quelques minutes seulement, comme jamais avant dans ma vie.

Les jours qui ont suivi, je n’ai pas arrêté d’utiliser mon nouvel appareil préféré : une vraie boulimie. Je me caressais au lit bien sûr, mais aussi dans ma voiture sur le parking du travail, dans une cabine d’essayage et même dans la salle d’attente vide de mon médecin avant une consultation. À chaque fois, l’idée de me faire surprendre me faisait décoller. Je m’imaginais poursuivre mon exercice favori avec celui ou celle qui me découvrirait, et la jouissance n’en était que plus puissante. J’ai eu l’occasion de réaliser mon fantasme peu de temps après.

Cet après-midi-là, j’étais chez mon garagiste qui devait me rendre ma voiture après un contrôle technique. J’attendais dans son bureau qu’il aille récupérer les clés auprès de son collègue, quand une furieuse démangeaison m’a prise. J’ai sorti mon jouet et je l’ai glissé sous ma jupe. Mes genoux se sont mis à trembler sous l’effet de l’excitation et du plaisir… Trois minutes plus tard, alors que je sentais l’orgasme approcher, j’ai entendu la porte du bureau claquer. Mon garagiste avait dû rester planté à me regarder pendant un moment : dans son bleu de travail une grosse boule s’était formée, et ses joues étaient très rouges. Il m’a adressé un regard si intense que j’ai dû me mordre l’intérieur de la joue pour ne pas jouir. Entre mes jambes, le sextoy vibrait toujours…

Quelques minutes plus tard, nous étions dans son appartement situé juste au-dessus du garage, faisant sauter rapidement nos vêtements et nous embrassant furieusement. Mon garagiste m’a jetée nue sur le lit et m’a ordonné de me faire du bien devant lui. Je me suis caressée un long moment, affamée de plaisir et avide de mon jouet. Après m’avoir admirée avec des yeux lubriques, le beau mâle s’est enfin jeté sur moi. Je pouvais sentir les veines de ses bras puissants sous mes doigts, son odeur de sueur et de cambouis envahissait mes narines. Son sexe était dur comme du bois. Ses yeux gris lançaient des éclairs. Jamais je ne m’étais sentie autant désirée par un homme.

Il m’a prise dans tous les sens, ma bouche et mon sexe lui servant tour à tour de fourreau. J’utilisais aussi le jouet, qu’il me fit lécher pendant qu’il me possédait sauvagement. Le goût de ma propre mouille, les coups de butoir qu’il me faisait subir et son souffle de bête ont déclenché un orgasme qui m’a soulevé les reins. J’ai hurlé comme un animal, ne reconnaissant pas ma propre voix.

J’ai depuis changé de garage, gênée par les regards des autres techniciens qui avaient dû entendre parler de ma torride aventure avec leur patron. Mais j’ai trouvé d’autres terrains de chasse : le monde est plein d’hommes qui sauront, eux aussi, m’ouvrir les portes de la jouissance.

(Photo à la une : Getty Images)

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