La rencontre au bal masqué

La rencontre avec Michel au bal

J’étais invitée, l’été dernier, par un couple d’amis originaux, ils avaient organisé un Noël en plein mois de juillet et, sur leur lancée, en août, un bal masqué façon mardi-gras ! Voici mon histoire de sexe.

Fête à laquelle j’étais conviée et où j’ai rencontré Michel, j’ai été conquise sur le champ. On a dansé collé serré sur des rythmes caraïbéens et il a compris très vite que je ne verrais aucun inconvénient à ce que nous nous adonnions à d’autres chorégraphies. Nous nous sommes éclipsés discrètement, la première porte venue était celle du bureau, il ferait très bien l’affaire, compte tenu de l’état d’excitation qui était le nôtre, pas besoin d’un lit !

Aussitôt nue, aussitôt à genoux, et là, belle surprise, ce garçon avait désormais toutes les qualités, il affichait une queue superbe et, qui plus est, déjà bien dure ! Il a sorti son téléphone et m’a photographiée le suçant, j’ai trouvé l’idée piquante à souhait et je me suis appliquée à bien enrouler ma langue autour de son gros gland et à l’avaler le plus loin possible, sa bite a encore gonflé sous l’effet de mes caresses et de ma pipe.

Michel avait flashé sur mes seins, comme beaucoup d’hommes, il les a pelotés et massés avec infiniment de précaution, vrillant mes bouts entre ses pulpes douces, ce qui a eu pour conséquence de me faire mouiller à fond, mes lolos sont particulièrement érogènes lorsqu’on sait les tripoter correctement. J’ai glissé une main entre mes cuisses et j’ai commencé à me toucher, ma fente était liquide et mes doigts coulaient tout seuls le long de ma cicatrice sensible.

Quand j’ai vu Michel grimper sur la table, j’ai craint d’être tombé sur un acrobate du sexe, mais pas du tout, il voulait simplement me shooter en plongée, assise sur le fauteuil, jambes largement ouvertes, mon loup pour mettre mes yeux bleus en valeur et ma mimine reprenant du service pour une masturbation qui m’a menée à l’extase sous le regard de cet homme décidément pas comme les autres.

Le sexe avec Michel mon bel inconnu

Désolé pour la suite, mais le portable a été abandonné pour que nous puissions profiter librement de nos mains, Michel est descendu de son perchoir et m’a enlacée, son gros chibre battait la chamade contre mon ventre. Il a joué avec mes fesses, s’est aventuré vers mon anus, ce que je l’ai encouragé à faire, puis m’a fait m’appuyer sur le bureau, le cul bien cambré, courbure accentuée par les talons hauts que j’avais gardés, et jambes écartées au maximum. Il s’est glissé derrière moi, il a déposé des baisers sur mon dos, sur mon popotin puis a mis son sexe entre mes globes, c’était doux, je sentais son présperme lubrifier le passage lorsqu’il a fini par trouver l’ouverture de ma fleur. Je suffoquais tellement j’avais envie qu’il me prenne, alors quand il s’est enfoncé en moi d’un trait, je n’ai pu retenir un cri ! Foutre, que c’était bon !

Pile à l’instant où il commençait à me bourriner, il n’y a pas d’autre mot, la porte s’est entrebâillée, on a entendu un « Oh putain, pardon ! », l’huis s’est refermé, on a explosé de rire et Michel est revenu à son rythme de laminoir. Ce type baisait comme un dieu, il ne jouait qu’avec son bassin, alternant les pénétrations profondes et les effleurements le long de mes nymphes et sur mon clitoris, vraiment délicieux. J’ai eu deux orgasmes, le premier avec son chibre tout au fond, lui bien plaqué à moi en train de me fesser bien sèchement. Le second avec un vibrato de son gland sur mon bouton de rose, j’en ai souillé le sol de ma cyprine tellement je suis partie haut.

Il s’est retiré et m’a demandé de le sucer de nouveau, j’ai accepté avec plaisir, j’adore cette perversion d’aller lécher mes sécrétions mixées avec les sucs intimes de l’autre. Je le pompais à mort quand il m’a stoppée et m’a présenté son arrière-train, je n’avais jamais fait ça, mais j’aurais suivi ce mec jusqu’en enfer. J’ai enfoncé mon visage entre ses fesses musclées et atteint son petit trou musqué. C’était tellement doux ! Puis ça a été mon tour, j’ai bien compris qu’il attendait une autorisation « spéciale », il l’a eu. La sodomie a été encore plus fun que ce qui avait précédé, mon œillet était tout dilaté, huilé de ma mouille, il est entré en moi avec une facilité déconcertante. Une fois bien en place, il a agrippé mes hanches et le travail de labour a repris, intense, loin dans mon petit fion. J’ai été de nouveau propulsée au septième ciel et Michel a lâché son premier jet de foutre sur mes reins, j’ai juste eu le temps de crier, je me suis accroupie pour recevoir le reste sur le visage et dans la bouche, un régal ! 

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