La tentation d’Anaïs

La rédaction 8 juin 2024

Anaïs – 38 ans – Vienne, réalise enfin son fantasme en se faisant enculer avec un ouvrier très bien membré.

« La meilleure façon de résister à la tentation, c’est d’y céder », Oscar Wilde. J’ai fait une réalité de cet adage ! Nous avons eu un ouvrier à la maison l’été dernier, il faisait chaud et j’avais pitié de ce pauvre bougre qui suait sang et eau en posant le carrelage de notre nouvelle terrasse. Voici mon histoire de sexe.

Un orgasme délicieusement profond !

Lorsque j’ai annoncé à mon mari, Greg, que j’allais lui proposer un rafraîchissement et une douche, son sourcil droit s’est levé. « Une douche et … rien d’autre ? » J’ai soulevé les épaules et je suis sorti avec ma limonade bien froide. Quand je suis rentrée, j’avais le feu aux joues, le cœur qui cognait, j’ai fixé Greg qui, sans plus attendre m’a dit, « vas-y, baise-le ! ». J’ai appelé notre carreleur, il m’a trouvée entièrement à poil sur le canapé clair de notre salon. Il n’a rien répondu, a jeté un coup d’œil à mon époux et a baissé le zip de sa salopette. Son chibre faisait au moins vingt-cinq centimètres, mon fantasme d’un noir membré comme Priape devenait réalité ! Bakary m’a donné son immense sagaie à sucer, ma petite langue astiquait son frein et j’ai fini par m’aider de mes mains pour branler l’interminable fusée musquée. Je m’enivrais de l’odeur de mon amant, lui a un peu joué avec mes seins, mais sans plus. Il a fouillé dans ses affaires et a sorti un préservatif, il en a ouvert l’étui avec les dents et se l’ai enfilé en l déroulant lentement, il m’a attrapée par les hanches et m’a forcée à me mettre à quatre pattes.J’ai respiré un bon coup lorsque j’ai senti le gland écarter mes nymphes, je me savais mouillée comme jamais je ne l’avais été, le foret est entré en moi comme dans du beurre, c’était savoureux, mon vagin était rempli par cette queue impressionnante et j’étais incroyablement épanouie. 

J’ai eu mon premier orgasme ainsi, ouverte, totalement offerte, me sentant salope, délicieusement salope devant mon mari qui me regardait. Il n’a pas eu le courage de sortir son sexe, il aurait été ridicule à côté de celui que je prenais au fond de moi.

En plein dans le trou du cul

J’ai voulu changer de position, Bakary a semblé un peu chagriné, mais a finalement accepté de bonne grâce, je n’ai compris qu’après sa déception passagère. Il m’a limée en missionnaire un temps incroyable, à genoux devant le sofa, il n’avait besoin que de peu de débattement pour que son engin aille taper au fond de mes entrailles, lorsqu’il a posé son pouce sur ma perle, j’ai de nouveau vu des étoiles. C’est à ce moment qu’il a glissé ses mains sous mes fesses et a commencé à jouer avec mon trou du cul. Il élargissait mon fragile orifice avec son majeur puis l’a fait entrer en moi, s’en sont suivi deux autres doigts, je me sentais pleine de partout, il avait amené cette caresse anale en douceur et cela me plaisait.

Nous avons de nouveau échangé nos rôles, sur le tapis, c’est moi qui l’ai chevauché, il a enfin daigné s’occuper dignement de ma poitrine, y parsemant des baisers, s’amusant avec les tétons, pour le reste, il se laissait totalement faire, je me branlais ainsi sur son pieu immense et je me suis propulsée toute seule vers un troisième abandon des sens. Mon clitoris frottait contre son pubis rebondi, cela a été un moment idéal. Mais Bakary ne montrait toujours aucun signe de fatigue et je ne lisais chez lui aucun symptôme précurseur d’une éjaculation imminente. Peut-être qu’il attendait que nous en revenions à son petit jeu précédent. Je me suis donc relevée et lui ai encore présenté ma croupe, mais cette fois-ci, j’ai écarté mon joli petit cul en lui désignant la cible brune au-dessus de ma fente légèrement tuméfiée par sa grosse Berta !

Il n’a rien dit, il a pris son membre dans une main, a glissé un pouce dans mon troufignon et s’en est servi de guide pour faire entrer son colosse dans mes fesses ! J’ai grimacé au passage des premiers centimètres, Bakary a senti que je me contractais, il est ressorti, a lubrifie le passage avec de la salive et a recommencé son petit manège, sauf que là, il m’a enculé jusqu’à la garde et que moi, j’ai geint de plaisir ! Il m’éclatait l’anus et c’était totalement délicieux. Il y est allé doucement au début, calant ses va-et-vient sur ma respiration et, lorsque je lui ai ordonné d’éjaculer, il a lancé ses coups de reins. C’était une chevauchée fantastique, je n’ai pas eu d’orgasme, mais j’ai joui de l’entendre se lâcher dans sa capote ! Son sexe a été secoué violemment plusieurs fois et il est ressorti de moi, le réservoir du condom rempli d’une crème blanche qui faisait des petites bulles. J’ai enlevé la protection et j’ai avalé son foutre comme on boirait du champagne !

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