Le témoin du gendre

La rédaction 2 juin 2024

Sylvie, 54 ans, Épernay, couche à l’hôtel le témoin de mariage de sa fille le soir de son mariage.

Le témoin du gendre

Quand ma fille m’a annoncé son mariage, ça m’a foutu un coup. Cela me ramenait à ma propre situation de divorcée de 54 ans, sans homme depuis quatre ans. J’étais encore bien conservée pourtant, mais rien, le calme plat, à part mes petites séances de masturbation avec les joujoux élaborés que je m’achetais sur Internet. Ce n’était pas désagréable, mais le contact d’un homme me manquait. Et ce n’était pas au mariage de ma fille que j’allais rencontrer quelqu’un : son fiancé n’avait qu’une mère et une grand-mère en guise de famille (donc pas d’oncle célibataire et sexy), et les invités étaient tous des jeunots de leur âge. Voici mon histoire de sexe.

Après le mariage à la mairie de Reims, là où habite mon ex-mari, on a filé dans la salle des fêtes pour le banquet qui commençait à 18 heures. L’ambiance était très sympa, on a bu, mangé et dansé. Le petit Joachim, le témoin de mariage et meilleur ami de ma fille — on les appelait déjà « les inséparables » en maternelle —, n’arrêtait pas de m’inviter à danser le rock. Vers une heure du matin, le DJ s’est mis à passer des slows… J’avais mal aux pieds avec mes talons, mais j’ai dansé avec Joachim de bon coeur. Il m’a serrée contre lui, et on a bougé ensemble au son de « Salut les amoureux », de Joe Dassin, un peu à contretemps. On a bien rigolé. Je lui ai annoncé que j’allais bientôt partir et je lui ai demandé s’il voulait que je le raccompagne en voiture là où il logeait. Un peu honteux, il m’a avoué qu’il n’avait pas eu le temps de réserver de chambre. Je lui ai dit que l’hôtel où je dormais en avait sûrement une de libre. On est partis tous les deux.

Mon meilleur ami et ma mère dans le même lit

Dans la voiture, il était bien silencieux. Quand on est arrivés à l’hôtel, personne pour nous accueillir, impossible de prendre une chambre. J’étais très ennuyée, je ne voulais pas qu’il dorme à la rue. Il a émis l’idée de passer la nuit dans la voiture. Alors là, je lui ai répondu tout net : « Hors de question. Et puis quoi encore ? Tu dors dans ma chambre. » Il a fini par accepter. On est montés, je me suis mise au lit après avoir fait ma toilette et enfilé ma nuisette. Joachim n’avait pas de pyjama, il s’est glissé en slip sous les draps, juste à côté de moi. Je tombais dans un demi-sommeil quand je l’ai senti se coller à moi. Je faisais toujours semblant de dormir, je ne savais vraiment pas comment réagir. Et, en même temps, avoir ce jeune torse plaqué contre moi était très excitant. Surtout que j’ai vite senti autre chose… Au début, j’ai cru que je rêvais, mais non. Son sexe gonflait et durcissait contre ma cuisse !

Il s’est mis à se frotter doucement, de bas en haut, contre ma peau nue. Voyant que je ne réagissais pas, il a redoublé d’audace. Sa main a retroussé ma nuisette, et sa paume a épousé mon intimité. Son majeur flirtait avec ma rosette. Son pouce a lissé mes lèvres moites avant d’ouvrir ma fente et de remonter vers mon bouton de rose. De sa paume, il a fermement mais délicatement massé la chair élastique et sensible de mes nymphes. Il a gémi « Tu es douce. » Ses doigts patinaient dans ma mouille qui coulait en grande quantité. Il m’a tripoté le bouton, le jus filait de ma fente jusqu’à mon oeillet. Sa bouche a pris la mienne, sa langue s’est immiscée entre mes lèvres, et nous nous sommes fougueusement embrassés.

Dans le dos de sa fille et dans le cul de sa mère

Je lui ai attrapé les fesses et je lui ai ordonné de me prendre. Il a tâtonné quelques secondes avant de s’enfoncer au plus profond de mes entrailles baveuses. « T’es drôlement ouverte », a-t-il commenté. « On voit que tu t’en es servi de ton sexe. » Puis, avec la fougue de ses 22 ans, il s’est mis à me pilonner sans répit. J’ai fermé les yeux, j’imaginais son beau petit jouet à l’intérieur de mon bonbon, ça m’excitait de plus belle. « Je vais te faire jouir, Catherine« , m’a-t-il assuré d’une voix grave. Il s’est mis à genoux, a tenu mes fesses soulevées en hauteur. La couverture a atterri par terre. Son engin restait tout droit, planté au bas de son ventre et couronné de rouge, fin et élégant à la fois. Il l’a fiché sèchement dans mon vagin avant de l’extraire pour le mettre, cette fois, dans ma rosette qui s’est contractée à plusieurs reprises. Quand il a été bien au fond, il a ressorti sa grosse tige luisante et brune avant de la renfoncer d’un coup pour me transpercer.

Et il m’a pilonnée en continuant à me tenir les fesses en hauteur. Il ne les quittait pas du regard. Sa respiration était haletante. Ce soir-là, j’ai joui du cul comme je n’avais jamais joui. Lui, à un moment, il s’est crispé, le visage en feu, sans crier gare, et il a laissé s’échapper un long râle étranglé avant de s’effondrer sur moi. Il s’est endormi presque aussitôt. Je l’ai regardé dormir, j’avais l’impression d’avoir un tout jeune garçon en face de moi. Le lendemain, je me suis réveillée tôt, je lui ai laissé un petit mot avec mon numéro, j’ai réglé la note et j’ai pris la voiture pour rentrer à la maison.
Quand j’ai raconté ça aux copines du bureau, le lundi matin — sans les détails, évidemment —, elles m’ont traitée de MILF. J’assume !

(Image à la une : Getty Images)

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« C’est à cet instant qu’il s’est réveillé. Il a dû être surpris : il avait une main sur un de mes seins et sa queue au fond de ma chatte ! »

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« Mais le must, ça a été ce samedi matin où Claire a intentionnellement laissé la porte de sa chambre ouverte et qu’elle s’est carrément masturbée. » Hervé.


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  • kevin629

    hummm j adore j aimerai te rencontrez pour te faire la meme chose

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