La gouvernante de l’hôtel

La rédaction 31 juillet 2021

Je suis belge, veuve depuis deux ans, 56 ans, après avoir passé une vie très bourgeoise avec mon mari. À sa mort, j’ai dû prendre un travail de gouvernante dans un grand hôtel de luxe. J’ai découvert des plaisirs et des fantasmes (en sommeil) que j’ignorais auparavant. Voici mon histoire porno.

Je l’ai suivi jusqu’à sa chambre

En contact avec des clients du niveau des chambres et des suites, j’ai apprécié que, malgré mon âge, beaucoup d’hommes, mêmes jeunes, soient attirés par mon physique. Il est vrai que mes formes abondantes peuvent éveiller quelques sentiments chez les hommes. Mes seins, qui se tiennent encore assez bien, sont très volumineux et je dois faire confectionner des soutiens-gorge sur mesure. Mes fesses aussi sont abondantes. Je n’ai pas de ventre ou presque. Je suis toujours habillée strictement : bas noirs, robe sombre au-dessus des genoux. Je coiffe mes cheveux roux avec un chignon sur la nuque.

Ainsi, lorsqu’un client me demande pour le service, il est rare qu’il ne s’attarde sur mes formes en m’en faisant compliment. Cela m’a valu plusieurs aventures exquises malgré les interdictions pour le personnel de l’hôtel d’avoir trop de familiarité avec les clients. Un après-midi, un monsieur d’environ 40 ans arriva par l’ascenseur. Je l’accompagnais dans sa chambre.

C’était un Français, grand, sympathique, qui me complimenta sur mes formes et me pria de prendre un verre dans sa chambre – le petit frigo étant bien garni. Assise sur le divan, au second verre, je me sentis plus détendue et de folles idées me traversèrent la tête… Insensiblement, je dégrafai les boutons de ma robe « portefeuille » afin de montrer mieux mes jambes et mes cuisses gainées par des bas noirs. Le monsieur fixait mes cuisses. Compte tenu de sa position en face de moi, il put apercevoir mon entrecuisse, le haut des bas…

Il alla à la salle de bain pour se mettre à l’aise et revint en robe de chambre. Pendant ce temps, très excitée, je m’étais caressé le clitoris et je crois bien avoir joui tant ma vulve était mouillée. « Vous êtes très belle, Madame, désirez-vous encore un verre ? – Oui, je veux bien ! Vous êtes fort sympathique !… » Il retourna dans la salle de bain après avoir bu son verre, en ayant soin de laisser la porte entrouverte. Je repris ma masturbation en écartant largement mes cuisses. Puis, me levant, je me débarrassai de ma robe.

Il m’a prise par le cul

J’étais dans la chambre d’un client en bas noirs, porte-jarretelles, corset avec laçage dans le dos, soutien-gorge avec laçage dans le dos aussi, pour mieux maintenir ma grosse poitrine. Mes dessous sont toujours très soignés, saumon, avec de la dentelle noire. Je ne portais pas de culotte ce jour-là. Le monsieur put me voir dans cette tenue… que je considère comme très excitante ou très conventionnelle (ma mère s’habillait ainsi).

Le monsieur se tenait dans l’encadrement de la porte. Nu, le pénis (de taille très impressionnante) à la main, il se masturbait en me regardant : « C’est fou ce que vous m’excitez, Madame ! Vous êtes très belles avec ces dessous anciens !… » Je sentis ses mains délicates dégrafer mon soutien-gorge sur le devant entre les deux bonnets et en même temps, sa verge dure sur le haut de mes cuisses. Quelle merveilleuse sensation !

Je pris le sexe dans ma main et le caressai doucement… Il était énorme, si bien que mes doigts ne se rejoignaient pas en faisant le tour. Mes grosses mamelles furent libérées et Georges (c’était son prénom,) les caressa et les lécha avidement. Puis, m’agenouillant, je lui fis une fellation. Il m’entraîna vers le lit et m’introduisit sa grosse verge dans le sexe, sans que j’aie quitté mon corset et mes bas. Mes jambes se croisaient derrière son dos. Bientôt je sentis son sperme m’envahir le ventre. Il laissa échapper quelques obscénités (et moi aussi).

Après quelques minutes de repos, il eut une nouvelle érection et cette fois me demanda de me sodomiser. « Vos grosses fesses m’excitent et je veux vous enculer devant la glace... » Je n’avais jamais fait cela. Il alla dans la salle de bains pour revenir avec un tube de vaseline. Il enduisit les parois internes de mon anus ainsi que son volumineux gland. Il me fit placer face à la grande glace, sur les genoux, le derrière bien « en offrande ».

Se plaçant derrière mes fesses, il présenta son gland devant l’orifice de mon rectum et me demanda de bien me décontracter. Je sentis une violente poussée de sa verge. Me prenant par les hanches et d’un coup sec, il s’enfonça. Une douleur intense me parcourut l’anus.

Il poussait toujours. Sans se soucier de mes gémissements et de mes plaintes, il entreprit un mouvement de va-et-vient. La douleur se transforma bientôt en une jouissance aiguë. Après quelques minutes de ce jeu, je ressentis une violente jouissance et la chaleur de son liquide dans mon ventre. Souvent, je fais des fellations à des clients, en avalant toujours le sperme. Ils sont ravis, surtout quand je montre mes dessous. Je conseille aux femmes fortes des corsets et des bas noirs. Je leur garantis un succès fou auprès des hommes.

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