Voyage au bout de la nuisette
27 octobre 2020Karl, 39 ans, est en voyage au Venezuela quand il rencontre Alena, une chaude latina qui n’a pas froid aux yeux ni au corps…
Salut interstron.ru ! Je veux vous partager une histoire de sexe qui m’est arrivée en voyage.
Je suis parti un mois solo. Programme de folie à base de plages, rando, kitesurf et pour finir, cinq jours à Caracas. J’étais logé dans un petit immeuble. Deux étages plus haut, l’appart’ de la propriétaire, une locale d’une cinquantaine d’années. Entre elle et moi, celui de sa fille, Alena. Un avion de chasse qui devait avoir dans les 20-25 ans. Elle bossait dans un resto de la rue. Je la croisais quand je me baladais dans le quartier. Elle me faisait des eye-fuck de malade.
Les Vénézuéliennes sont chaudes. Elles s’habillent comme des tapins, font du eye-contact et dansent façon sexy dès qu’il y a trois notes de musique. Mais je n’avais pas eu l’occasion de goûter aux délices du pays. J’aurais bien visité Alena, sauf qu’avec sa mère au-dessus de chez elle, ça semblait compliqué… Mais ça n’a pas posé de problème à la bomba.
Trois nuits de suite, Alena est rentrée du resto passé deux heures du matin. Elle m’a réveillé en montant les escaliers avec ses talons. Ensuite, elle les a balancés par terre. Je ne vous dis pas le bordel. Le troisième soir, elle devait avoir bu quelques verres car elle a mis de la musique à fond. Je suis monté pour la calmer.
Madame était en train de se préparer avant de se pieuter. Elle m’a ouvert avec un coton à démaquiller dans la main. Elle portait une espèce de robe de soirée ou de nuisette rose. Impossible de savoir tellement le truc était dénudé… Je lui ai expliqué en mélangeant l’anglais et le français qu’elle faisait trop de bruit, en mimant les talons. Elle m’a tiré à l’intérieur de l’appart’ en montrant le plafond. Comme si c’était moi qui allais réveiller sa mère, et pas le foutoir qu’elle faisait…
Alena a bazardé le coton et elle est revenue vers moi en attrapant ses talons au passage. Elle baragouinait super vite, je comprenais un mot sur trois. En gros, elle me provoquait en me demandant pourquoi je n’aimais pas ses chaussures. Elle les a réenfilées. Le tableau… Avec sa robe / nuisette qui la moulait de partout et ses escarpins super hauts, on aurait dit une strip-teaseuse. Moi, j’étais juste en boxer et elle a vite vu l’effet qu’elle me faisait. Surtout je n’avais pas trempé le biscuit depuis un mois…
La bomba m’a attrapé par l’élastique du boxer et m’a tiré vers son lit. Je bandais comme un taureau quand elle a commencé à frotter ses escarpins contre ma queue. Elle parlait en espagnol en même temps. Des compliments sur mon engin. Puis elle s’est mise à me branler. Elle gémissait comme si ça lui faisait autant de bien qu’à moi…
J’ai regardé le plafond. Impossible que sa mère n’entende pas. Je ne contrôlais plus mes grognements de plaisir et Alena gémissait en me branlant en tire-bouchon et en me complimentant sur mon érection… Quelle garce ! Impossible de me retenir, j’ai éjaculé sur mon propre ventre.
Alena a eu l’air déçue que ça aille si vite. Heureusement, j’avais encore de la réserve et elle, des idées pour me motiver. Comme on peut le voir sur les photos, la bomba savait aussi y faire avec sa langue agile. J’ai redurci en quelques minutes grâce à son léchage de gland, encore tout humide de foutre.
Plus je grognais, plus Alena y allait avec sa bouche. Au bout de quelques minutes, elle s’est mise à m’aspirer comme un typhon. J’étais scotché au lit par le plaisir, ça me faisait des décharges dans toute la bite. La bomba l’a senti et s’est mise à pousser des gémissements qui ont ambiancé tout l’immeuble. Sa pauvre mama était en train d’en prendre plein les oreilles…
J’ai dû écarter Alena de ma bite pour tenir encore un peu. Malheureusement, elle ne m’a pas autorisé à l’enfiler, comme si c’était sa limite. Par contre, elle m’a laissé frotter ma queue partout sur elle, y compris entre ses lèvres toutes douces. La pression était un peu redescendue, alors je me suis allongé sur le lit.
La bomba a repris sa samba de gloutonne, toujours en faisait un bruit d’enfer ! À l’instant T, je l’ai retournée comme une crêpe et je me suis fini sur elle. Les cris qu’elle a poussé en sentant mon foutre couler sur son ventre doivent encore raisonner dans la tête de sa mère !