Le retour de la rosette de Lyon

La rédaction 12 juillet 2021
Le retour de la rosette de Lyon histoire de sexe

Salut, c’est la Rosette de Lyon, la « sacrée salope« . Je viens de me faire sauter à cause de vous. Quand j’ai découvert mon récit dans vos pages, ma libido est remontée en flèche. De penser que les hommes qui m’ont baisée puissent me reconnaître, j’en ai mouillé ma foufoune, avant de partir travailler. Je m’appelle Juliette, j’ai 52 ans et voici mon récit porno.

Premier pas

A l’insu de mon mari, je m’étais dégoté un mini tailleur chic et choc, histoire de sublimer mes rondeurs. La jupe à dix centimètres au-dessus du genou et les bas couture me donnaient un petit air salope. J’en avais bien conscience. Mais, quand j’ai envie d’une bite, je mets tous mes atouts en valeur ! On n’attire pas les mouches avec du vinaigre, n’est-ce pas ? La tête de Grégoire, mon collègue de travail, qui me regardait comme si j’étais un cornet de glace ! Et JB, qui me draguait discrètement depuis des mois ! Pour eux, une femme de mon âge qui s’habille sexy, c’est forcément une salope. Mais j’avoue que je les ai un peu allumés. Les deux joyeux queutards ont défilé dans mon bureau sous divers prétextes futiles. Ce n’est pas parce que je suis teinte en blonde que je suis naïve au point de ne pas me rendre compte qu’ils venaient juste mater mes jambes. Ma jupe, il est vrai, remontait très haut sur mes cuisses, A la limite du liseré des bas.

Fouiller les archives

Vers 9 heures du matin, ils se sont pointés dans mon bureau avec du café et des croissants. Je n’y croyais pas ! JB m’a annoncé : « On a fait un pari avec Grégoire. Vous portez un string ou une culotte ? » Je crois que j’ai fait mon petit effet quand j’ai répondu malicieusement : « Vous avez perdu tous les deux » Je ne portais rien sous ma jupe. J’avais des documents à récupérer aux archives, au sous-sol de l’immeuble, et JB m’a rejointe sans que je l’aie invité, sous prétexte de m’aider. Mon oeil ! Son regard vicieux dans mon corsage en disait long sur ses intentions. Je lui ai tourné le dos pour attraper un dossier et, lorsque je me suis retournée, il avait sorti sa bite ! « T’es trop bandante, tu m’excites espèce de petite pute, fais-moi une pipe » Quel goujat ! « Ici, maintenant ? », j’ai répondu. Il a insisté et moi, je ne sais pas dire non. Avec mon mètre 52, je n’ai eu qu’à me pencher un peu pour aspirer son phallus au fond de mon palais, ce qui m’a carrément valu un compliment. Je distillais consciencieusement ma fellation quand Grégoire est entré dans la pièce : « Putain, Grégoire, ferme la porte ! » C’est tout ce que JB a dit avant de me tirer les cheveux pour m’obliger à prendre plus profond encore son sexe dans la bouche.

À deux sur moi

Dans ces conditions, vous comprendrez qu’il m’était difficile de protester. Grégoire a relevé ma jupette sur mes reins, et mon absence de culotte l’a mis dans tous ses états: « Elle n’a rien en dessous cette salope », a-t-il commenté. J’ai senti des doigts inquisiteurs me fouiller la chatte. Je mouillais d’envie, et sa bite a vite trouvé le bon chemin. Me faire prendre en levrette debout, j’adore, mais avec une bite dans la bouche, c’est génial. Je salivais sur la bite de JB, au comble de l’excitation. Mes lèvres coulissaient sur son dard en cadence avec la queue de Grégoire entre mes cuisses. C’était sublime. Pilonnée comme une chienne, je ne me suis pas méfiée quand JB s’est raidi dans ma bouche, me tirant les cheveux encore plus fort. Je me suis pris une grosse giclée chaude et salée sur la langue. J’ai voulu recracher mais JB, en me traitant de petite pute, m’a ordonné de tout avaler. Je l’ai fait sur la pointe des pieds, les reins cambrés, pour me faire enfiler par Grégoire le plus loin possible. J’ai serré mes lèvres autour du gland de JB, il a craché une deuxième bonne giclée qui a débordé sur mon menton. Son foutre épais avait du mal à passer, j’ai dégluti. Grégoire, scotché à mes fesses, s’est lâché à son tour, bien calé au fond de mon vagin. Les mecs ont rangé leur artillerie. Je les ai quittés pour passer à la salle d’eau, afin de me nettoyer la bouche et l’entrecuisse.

Plus tard dans la journée, on s’est croisés dans les couloirs comme si rien ne s’était passé. Entre eux et moi, ce n’est qu’une histoire de sexe, pas de quoi se formaliser…

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