Louis sauvé des eaux
17 novembre 2024Louis a subi la catastrophe des déluges de Nice. Devenu sans domicile, Melissa l’héberge. Une cohabitation plus que torride va se créer !
Du pire peut toujours sortir le meilleur ! Il va sans dire que j’aurais préféré rencontrer Louis dans d’autres circonstances mais l’occasion fait le larron.
Divorcée depuis quelques mois j’ai déménagé dans l’arrière-pays Niçois, au cœur de la vallée de la Roya ! Quelques semaines plus tard, le déluge s’abattait sur la région et des coulées de boues dévastaient ce paysage idyllique. De nombreux habitants se sont retrouvés à la rue, dont mon voisin, Louis, un grand et beau métis aux yeux verts et à la peau hâlée. La solidarité a été le maître-mot de ces jours sombres et je lui ai tout de suite proposé de venir loger chez moi. Aurais-je eu une arrière-pensée inconsciente, sans doute. Après avoir rassemblé le peu qu’il avait pu sauver, il est donc venu occuper ma chambre d’amis.Je m’appelle Melissa et voici mon histoire de sexe amateur !
Une douche bien chaude
Les premiers temps, il a fallu trouver ses marques. Je n’avais plus l’habitude, entre autres, de partager ma salle de bain. Et ce qui devait arriver arriva ! Un beau matin j’ai poussé la porte en plein milieu de sa douche. Quel choc ! Les yeux fermés, la tête penchée en arrière, Louis se rinçait les cheveux. La mousse blanche du shampoing lui coulait sur le torse pour finir en deux cascades autour de son sexe. Ce dernier avait capté la majorité de la mélanine issue de ses ancêtres africains… Un tronc foncé et massif qui pendait entre des cuisses élancées, posé sur deux grosses bourses marron et lisses.
Mon corps s’est dissocié de mon esprit. Au lieu de refermer discrètement la porte, je ne sais pas ce qui m’a pris ! J’ai commencé à me masturber là, dans l’embrasure de la porte. Vêtue d’une culotte et d’un simple t-shirt, il ne m’a pas été difficile de glisser une main sous la dentelle, ma chatte était déjà trempée ! J’y ai glissé un, deux puis trois doigts ! J’allais jouir quand Louis a ouvert les yeux. J’ai ôté ma main par réflexe, mes doigts étaient luisant de ma mouille ! q=Quelle honte mais il m’a souri et je l’ai vu commencer à bander.
« Toi aussi tu veux prendre une douche ? » m’a-t-il demandé. Visiblement que je le vois nu était le cadet de ses soucis et son regard brillant était clairement une invitation coquine… Je ne pouvais m’y tromper.
Je n’ai pas été longue à me retrouver nue à ses côtés. L’eau a touché ma peau à l’instant où la bouche de Louis s’écrasait sur la mienne. Notre première étreinte a été de celles qui ne vous laissent pas indemne. Louis était un « baiseur ». Non pas qu’il n’aime pas faire l’amour, avec douceur et tendresse, mais il est avant tout animal ! Une fougue sexuelle et il est vicieux comme j’aime.
Dans le bon sens du terme. Il m’a doucement emmenée sur des chemins que je n’avais jamais suivis avec mon ex. Les mois se sont écoulés, il a commencé à m’offrir des ensembles de lingerie, des corsets, puis ont commencé les photos. Partout dans la maison, sexy, nues voire franchement pornos. Il m’a initiée aux films X de qualité, très esthétiques, aussi beaux que sexuels. J’ai bien remarqué qu’il calait souvent des extraits mettant en scène des sodomies. L’allusion était à peine dissimulée ! Sic ! Mais pour moi il n’en était pas question ! Je n’avais jamais voulu que mon ex-mari m’encule et sa bite était trois fois moins volumineuse que celle de Louis !
Il a été d’une patience infinie, glissant parfois un doigt dans mon cul pendant une levrette, puis sont venus les jouets et les plugs. Nous partions faire les courses, j’étais cul nu sous ma robe. L’olive d’acier calée dans mon anus qui, doucement, s’ouvrait à la perspective d’une intrusion pénienne qui semblait de plus en plus inéluctable.
Préparation à une première sodomie
Louis était charmant, prévenant. Un soir je me suis offerte à lui vêtue de l’ensemble blanc et rose qu’il m’avait offert quelques jours auparavant. Je lui ai dit que j’étais prête à essayer. J’ai vu une lumière cochonne s’allumer dans ses yeux. Il a sorti le gel, m’a installée bien à mon aise sur le lit et a commencé par m’embrasser partout.
Très câlin j’avais l’impression d’avoir à faire à un chat. Il ronronnait presque. Après une longue séance de caresses et une bonne pipe pour qu’il soit bien dur, il a écarté ma culotte. Moi à plat dos, il a enduit ma rondelle de gel, il m’a doigté pour me lubrifier tout le conduit. Il m’a préparée encore avec son majeur et son index, mon anneau a chauffé, s’est détendu et j’ai dit à Louis que j’étais prête. Il s’est glissé à genoux entre mes cuisses et a posé son gland au centre de mon anus. J’étais tranquille, en confiance, j’ai poussé sur mon sphincter et son bout est entré tout seul.
Pas la moindre douleur, aucune sensation désagréable, plutôt une chaleur même, qui a commencé à se diffuser dans tout mon bas ventre. Il a voulu caresser mon clitoris mais je l’ai repoussé, je voulais me concentrer sur cette première pénétration anale. La colonne de chair tendue s’est enfoncée en moi, il me semblait tout ressentir, jusqu’au grain de la peau de sa hampe. Lorsque ses couilles sont venues buter contre la raie de mes fesses, je n’en revenais pas, il m’enculait de tout son membre, jusqu’à la garde et aucune douleur, juste cette sensation incroyable d’être remplie et dilatée, mon petit trou acceptant l’énorme intrusion avec une facilité déconcertante.
Cette première phase effectuée et mon cul désormais « débourré », Louis m’a invitée à me positionner en levrette. c’est fou ce que j’ai découvert ! Son membre, une fois de retour dans mon trou du cul, venait buter à chaque coup de reins, juste sur la zone hyper sensible de mon vagin, de l’intérêt, pour le coup, d’avoir une grosse et longue bite.
Aucun besoin, encore une fois, de me caresser le bouton ! Il m’a fait jouir juste en m’enculant. Ma chatte exsudait une mouille épaisse qui continuait de lubrifier mon col serré, j’ai attrapé les grosses couilles entre mes cuisses et j’ai contracté mon anus. Louis a gémi, il avait l’impression que je le suçais avec mon cul et a éjaculé au tréfonds de moi en criant ! J’ai laissé son sexe redevenir flasque et sortir tout seul, sensation délicieuse accompagnée de l’expulsion d’une partie de sa semence sur les draps.
La sodomie ? Même avec une grosse, c’est le paradis !
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