La séance X

La rédaction 21 août 2020

George, 65 ans, se rend souvent dans le cinéma de son quartier où il y croise toujours la même femme. Cette fois-ci ils se retrouvent assis ensemble.

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J’ai mes habitudes dans un cinéma du 5e arrondissement de Paris, où je vis. À 65 ans, je peux y passer tout le temps que je veux. Alors je vais tout voir, du documentaire pointu au blockbuster recommandé par mes petits enfants. En février dernier, j’ai profité d’un après-midi pluvieux pour acheter un billet pour ce film basé sur un roman érotique dont vous avez certainement entendu parler.

Dans la (courte) file d’attente, il y avait la présence d’une charmante dame, que je croisais souvent au cinéma. La petite soixantaine, des cheveux blancs noués en chignon serré et un corps que l’on devinait bien conservé, moulé dans un tailleur-pantalon sobre : elle représentait parfaitement le genre de femmes chics et discrètes que l’on voit dans le quartier. Mais je lui trouvais un truc en plus, un air séduisant. Quand elle m’a vu, elle m’a adressé un petit sourire. Nous nous étions reconnus.

Je suis entré dans la salle quelques minutes après elle et j’ai osé m’asseoir à la même rangée. Mais pas plus près. C’est un groupe de 3 personnes, arrivé après l’extinction des feux, qui nous a rapprochés. Un des hommes m’a demandé à voix basse de me décaler d’un siège « pour poser les manteaux ». J’ai obtempéré, tout content de cette opportunité, et je l’ai laissé empiler les vêtements entre nous. À côté de moi, j’ai senti ma jolie dame frissonner.

Le film a démarré. Je sentais les œillades de ma jolie voisine, je l’observais par en dessous aussi. Les scènes se sont enchaînées, jusqu’à ce que « l’action » à proprement parler commence. Les deux héros, un couple jeune et beau, ont fait l’amour sous nos yeux et je n’ai pas pu m’empêcher de bander. Du côté de ma voisine, elle, s’est mise à respirer plus fort et sa main s’est posée sur l’accoudoir en le serrant. J’y ai vu comme un signal, alors j’ai osé défaire lentement la braguette de mon pantalon et dégager timidement mon sexe. La jolie a crispé sa main sur le tissu rouge. Puis, à ma grande joie, elle l’a posée sur mon sexe !

Ses doigts étaient fins et d’une fraîcheur délicieuse. Quand ils se sont enroulés autour de mon mandrin, j’ai levé les yeux au ciel, ne croyant pas ma veine. J’allais me faire branler par une bourgeoise dévergondée dans mon lieu préféré ! Les caresses ont débuté tranquillement. Puis une nouvelle scène, plus chaude encore, a démarré à l’écran. Les acteurs s’embrassaient avec fougue, enlevant leurs vêtements et se jetant l’un sur l’autre pour une violente étreinte. La main s’est serrée encore plus…

J’ai été pris d’un désir bestial : dans ma tête, mon propre film s’est dessiné. J’y voyais la jolie voisine se pencher sur mon entrejambe et suçoter mon gland humide. Puis, d’un coup, elle me prenait tout entier en bouche, faisant disparaître mon chibre grisonnant. J’ai gémi, espérant que les manteaux du petit groupe nous dissimulaient… 

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À l’écran, le coït était rude, la tension sadomasochiste de l’intrigue grimpait d’un cran. Mon petit film perso a repris de plus belle dans ma tête. Moi aussi, je voulais être rude : j’ai pressé la tête de la bourgeoise, malmenant son chignon trop strict. Elle a senti que je montais en tension et la branlette s’est intensifiée. Ah, comme cela serait bon d’empaler son visage sur mon sexe turgescent ! Comme j’aimerais cracher sans crier gare dans sa gorge, l’humidifiant jusqu’à plus soif ! Qu’elle branle donc, pendant que je l’imaginais se faire enfoutrer par ma verge, et puis par celle de mon voisin, toutes celles du cinéma s’il fallait pour la rassasier !

Je délirais presque tant la pression était exquise, l’imaginant aux genoux de tous les hommes de la salle et avalant des litres de foutre. J’ai éjaculé en poussant un grognement qui n’a échappé à personne autour de nous. Le jus, épais et grumeleux, a recouvert mon pantalon. Nous avons souri dans l’ombre, tout heureux de notre séance pornographique…

Je retourne souvent au cinéma dans l’espoir de recroiser ma voisine. Sans succès pour l’instant. Mais je sens, au fond de moi, qu’elle me reviendra. Et cette fois, nous tenterons un nouveau scénario !

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