Message personnel à mon mari cocu

La rédaction 14 juillet 2019

Nina, 37 ans, Genève

Message personnel à mon mari cocu - histoire de sexe - interstron.ru

Bonjour Mathias, j’espère que lorsque tu découvriras cette lettre dans les pages de ton magazine préféré ton sexe deviendra bien dur et que tu te masturberas frénétiquement. Comme je t’avais dit, je suis bien passé dans le bureau de Mike, le commissaire de l’exposition qui t’avait refusé une place au sein de cette magnifique galerie, et je lui ai dit que « mon petit mari qui manque de talent vous envoie sa femme… ». Au départ, je dois bien te l’avouer, ça n’a pas été facile de le convaincre de me baiser. Le bougre se méfiait, il pensait bêtement que j’espérais prendre des photos pour le faire chanter et obtenir de lui ce que je voulais. Il avait certainement dû percevoir en moi tout mon potentiel machiavélique. Il a fallu que je lui explique à plusieurs reprises le plaisir que tu prenais dans l’humiliation, mon sexe qui s’offrait à un autre sous tes yeux impuissants. Il a eu du mal à comprendre tout ça. J’ai dû parler de toi en des termes très condescendants, je crois bien avoir parlé de « ma petite pute de mari » avant qu’il ne comprenne clairement ma venue dans son bureau, équipée de mes dessous les plus affriolants. Et heureusement, il m’a avouée au bout de quelques minutes que « les rousses », c’était tout à fait son genre ! Bingo, non ?

Je me suis alors doucement allongée sur son fauteuil en cuir pour qu’il puisse admirer mes belles et longues jambes. Il a baissé ma nuisette pour regarder mes deux petits tétons qui pointaient tout juste. Je me suis ensuite placée tout contre ses jambes musclées et poilues, et j’ai masturbé son chibre du bout des doigts. J’y suis ensuite allée un peu plus fort, en le prenant à pleine main et touchant ses petites couilles aussi. Ah mon chéri ! Si tu avais vu son sexe ! Un bel engin bien dur et bien ferme, rien à voir avec ton petit bout mou et flasque. On sentait qu’il détenait en son entrejambe une véritable force de la nature, la promesse d’une partie de baise intense et torride. Tu me connais, je l’ai sucé. Bien fort, avec toute ma bouche en le regardant bien dans les yeux.

Est-ce que tu as la main sur ta bite molle en lisant ces quelques lignes ? Je l’espère.

Le goût de sa queue était assez surprenant. On sentait que l’homme passait sa journée à gérer plein de choses importantes, une forte odeur de sueur m’a envahie les papilles. Tu me connais, je ne me suis pas laissée démonter et j’ai continué à le prendre en bouche avec autant d’ardeur. Je lui ai fait comprendre que ça me plaisait beaucoup, en exagérant mon ressenti assez fort : « Mmmmh, c’est tellement bon ! » « Qu’est-ce que votre bite est agréable en bouche ! ». Avec mon regard de coquine, il n’arrivait plus à se concentrer. Bref, l’animal n’a pas tenu longtemps avec une belle pro de la fellation comme moi. En moins de quelques minutes, il avait déjà éjaculé toute sa sauce sur ma langue. C’est à la fois doux et amer, un mélange délicieux. Ah Mathias, j’aurai tellement aimé te le faire goûter également.

Je me suis alors rhabillée, en remerciant poliment ton ami, je lui ai rappelé fermement que tu n’avais manifestement pas les compétences pour être exposé quelque part, et suis partie avec un dernier regard tendre pour lui. 

J’espère que je t’ai bien fait jouir à travers cette lettre, si ce n’était pas le cas, je suis certaine que les lecteurs du magazine y ont trouvé leur compte ! Si tu n’as pas les talents pour te faire exposer, il faut bien que ta femme le soit pour toi, exposée.

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Oui Maîtresse !

Pour mon anniversaire, j’ai invité mon soumis préféré à se joindre à moi dans ma maison de campagne. Il était mon entière propriété le temps d’un bel après-midi, et je lui ai fait subir tous mes caprices ! Comme quoi, prendre de l’âge, ça a du bon !

Mon mari, ce soumis

« Il y a quelques semaines, mon mari m’a avouée qu’il avait des fantasmes de soumission. Il avait envie, au moins le temps de quelques heures, que je sois sa dominatrice, sa maîtresse, et lui mon soumis. » Mireille.

À retrouver sur notre plateforme VOD 

Cette salope de Cindy loin d’être vexée par cette punition va se faire baiser et enculer avec délice et avaler le foutre de ces punisseurs.

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru