Massage pour ma tatie chérie
26 novembre 2021Moi c’est Loïc, j’ai 20 ans et j’aimerais partager une histoire porno. Je suis un petit trapu et plutôt fortement membré. Depuis des années, je passe une partie de l’été chez ma grand-tante, Tatie Huguette, qui vit seule à la campagne, en Bourgogne. Elle habite dans une jolie maison au bout d’un village. Tatie a 67 ans maintenant, elle est petite avec des formes généreuses, toujours bien coiffée, maquillée, parfumée (elle travaillait dans le prêt-à-porter). Quand je suis chez elle, on fait des balades en forêt, on lit, on prend l’apéro, on mange… Les vacances quoi, tranquille. Ce mois de juillet, je squattais chez elle.
Il fallait lui passer la pommade
Un matin, elle est sortie de la salle de bain en peignoir, elle avait pris sa douche. « Ah mince, ça recommence !« , m’a-t-elle dit. Étonné, je lui ai demandé: « Quoi donc ? » Elle a répondu : « Cette fichue hémorroïde qui m’embête ! Et ma voisine Denise qui est partie pour une semaine ! C’est elle qui me soigne, d’habitude. » Je me suis proposé de la remplacer. Elle m’a expliqué que c’était quand même un peu délicat. Il fallait lui masser l’hémorroïde avec une pommade toutes les deux heures.
« Tu sais où c’est situé — Oui, bien sûr ! — Alors, tu vois bien que c’est délicat… « , a-t-elle marmonné. En même temps, il fallait bien qu’elle se soigne. J’ai insisté : « Bien, je vais chercher la pommade. » On était dans la cuisine, la plus grande pièce de la maison. Elle m’a expliqué comment s’y prenait Denise, sa voisine : « Elle s’assoit, moi je me tiens debout face à elle, je pose un pied sur cette boîte pour être mieux écartée, elle met de la pommade sur son doigt et elle me masse. » Tatie a pris place et a ouvert le bas de son peignoir jusqu’au nombril. J’en avais plein la vue, son minou entrouvert était poilu mais bien dégagé au milieu. « Bon, on y va !« , ai-je annoncé.
J’ai démarré un massage lent et délicat de l’hémorroïde, je sais que cela peut être douloureux. « Ça va comme ça ? — C’est parfait, mon petit ! Tu es un bon soigneur » Je massais en regardant la foufoune. J’ai bien remarqué qu’elle s’ouvrait de plus en plus, laissant dépasser un gros bouton tout rose et brillant d’humidité. J’ai demandé à Tatie si ça allait. Elle m’a soufflé que oui. Sa voix était différente, plus chaude. J’ai commencé à masser son bouton, énorme et tout dégagé. La mouille apparaissait. « Ah ! J’ai honte ! — De quoi ? — Ne fais pas l’innocent, tu vois bien que je bande du clito et que je suis trempée ! »
J’ai répondu avec nonchalance : « Ça arrive… Mais ne t’inquiète pas, il n’y a pas de danger que ma mère nous voie ! » Elle a bougé sur mon doigt de plus en plus vite, et elle a murmuré dans un râle : « Je crois que je vais jouir ! » La mouille coulait, elle ouvrait en grand son peignoir et tripotait ses seins, énormes et bandés. « Ça vient, ça vient« , criait-elle. Elle a décollé, et moi, j’ai giclé dans mon slibard. Nous avons repris notre souffle, elle s’est excusée en prétextant qu’elle n’avait pas su se retenir, que c’était trop bon. Je lui ai avoué : « Moi c’est pareil, j’ai tout lâché dans le slip ! » Elle s’est exclamée : « C’est pas vrai ! Va dans la salle de bain te laver, je t’apporte un slip propre. » Je me suis changé, elle a pris mon sous-vêtement souillé.
Des changes après l’échange
Elle a trouvé que j’avais, selon ses mots, « juté un sacré paquet« . Elle a ajouté que j’aurais dû « gicler sur son bouton« . On a bien ri tous les deux ! « C’est quand, le prochain massage ?« , ai-je demandé. « À midi, pour l’apéro ! » J’ai prévenu que cette fois-ci, je me mettrais à l’aise. Je ne voulais pas encore tâcher mon slip. Nous nous sommes habillés et sommes allés faire des courses au village pour le repas du midi. J’avais hâte de rentrer et que l’heure du massage arrive.
L’heure venue, Tatie s’est déshabillée, elle était en soutien-gorge, porte-jarretelles et bas, sans culotte. C’était beaucoup plus excitant ! Je me suis mis à l’aise, en slip. Je suis reparti à lui masser la rondelle. « Tu vas encore faire jouir ta tante« , a-t-elle balancé en rigolant. Son bouton était déjà dressé, j’ai écarté mon slip et j’ai dégagé ma pine, elle était énorme. « Oh ! Quel morceau ! Tu vas encore juter ? S’il te plaît, envoie tout sur mon clito cette fois. » Ça n’a pas duré longtemps. Elle était trempée, et mon sperme montait. Je me suis levé de ma chaise, j’ai collé mon gland sur sa chatte, elle a saisi ma pine et s’est frotté le bouton avec, nous avons râlé ensemble, j’ai giclé dehors, elle a enfoncé sa langue dans ma bouche.
Un peu plus tard, elle m’a dit en s’essuyant la chatte : « Surtout, pas un mot à ta mère ! » J’ai servi l’apéro. Nous avons trinqué, et nous ne nous sommes pas rhabillés. Ma queue n’avait pas entièrement débandé. « Elle est belle…« , a commenté Huguette. J’ai passé ma main sur son soutien-gorge. « Je vais le quitter, il me serre trop« , m’a-t-elle chuchoté à l’oreille. Je lui ai palpé les lolos, elle m’a branlé lentement. Elle a gémi que je l’excitais. Puis elle m’a lancé : « Tu vas me la mettre, ta grosse bite ? J’en veux plein ma chatte, viens sur mon lit ! » Je me suis allongé, elle s’est empalée et m’a chevauché. Ses seins ballottaient, je les ai sucés et elle a joui plusieurs fois avant que je ne débande.
C’est vite devenu notre quotidien. J’ai hâte d’être encore en vacances…
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