Une chatte de la terre

La rédaction 10 novembre 2021

Je m’appelle Luc, j’ai 30 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Il est vrai qu’à mon âge j’ai encore quelques difficultés à joindre les deux bouts. Je fais des travaux saisonniers, une plonge par ci, une vendange par là.

Une collègue brutale et douce à la fois

Cet été-là, j’avais décidé de travailler dans une exploitation de melons. Cette entreprise avait aussi des serres sur un terrain, derrière le hangar de tri des fruits. Avec une saisonnière de 50 ans, Lisa, un peu abîmée par la vie et le travail, nous avions pour tâche de préparer les serres à une plantation future de pieds de tomates. Nous devions préparer la terre, tendre des bâches, enlever les mauvaises herbes. Nous étions courbés à longueur de temps, et ce boulot était en train de me ruiner la santé.

Je ne sais pas comment tenait ma collègue, mais elle devait être très solide pour pouvoir l’effectuer sans se plaindre, année après année. À mesure que les jours passaient, je lui trouvais un air de plus en plus digne, une sorte de beauté s’était nichée dans ses traits fatigués, et mon attachement pour elle grandissait de jour en jour. Elle ne parlait pas beaucoup mais avait pour moi des attentions délicates.

Un jour, alors qu’elle voyait que je souffrais, elle s’est proposée de me masser les épaules. Elle l’a fait de manière un peu brutale, et en même temps j’aimais la pression de ses doigts rudes sur mes muscles contractés. Je me sentais bien, je laissais aller ma tête en avant et nous étions ainsi, silencieux, à communiquer par le toucher. Lisa était mutique, mais je voyais bien que son regard s’allumait un peu quand on se retrouvait tous les deux sous la serre.

Quelques jours plus tard, alors qu’elle m’avait à nouveau proposé de me masser, elle m’a tripoté un peu plus longtemps que d’habitude, et assis devant elle, j’ai commencé à somnoler. Mais cette fois-ci, ma tête s’est penchée en arrière et a rencontré sa poitrine. J’étais tout contre ses seins, et son corps accueillait mon visage fatigué. Ce contact m’a réveillé, mais j’ai fait comme si je dormais encore, parce que j’étais vraiment trop bien en cet endroit. Lisa a remonté les paumes vers mon visage et a passé ses doigts sur mes sourcils, mes joues et mes lèvres. Elle caressait délicatement tous ces endroits où la peau est fine et sensible.

Je frissonnais en entrouvrant la bouche. Elle en a profité pour glisser un peu son doigt à l’intérieur. J’ai mordu doucement, en gardant les yeux fermés. Ma collègue s’est penchée vers moi pour déposer un baiser sur cette bouche qui l’avait mordue. J’ai ouvert les yeux pour la voir toute proche de moi. Elle a contourné le banc sur lequel j’étais assis et m’a dit de garder les yeux fermés. Je me suis laissé faire.

Fellation à l’aveugle

En silence, elle a déboutonné mon pantalon pour sortir ma bite et l’engloutir. Elle s’avérait être une suceuse remarquable, sa bouche visiblement expérimentée s’attardait sur mon gland, se baladait sur ma tige et mes couilles. Ses mains couraient tout autour et accompagnaient parfois ses lèvres pour accentuer la pression de la caresse. Je ne pouvais réprimer des gémissements de satisfaction, la tête toujours penchée en arrière, à sa merci. Je voulais qu’elle m’utilise, dans cette attitude sobre et mystérieuse qui la définissait, tout en voyant le plaisir allumer une flamme en elle.

C’est ce qui s’est passé. Toujours silencieusement, Lisa a pris ma main pour m’inviter à m’allonger sur le sol, à même la terre. Elle a gardé ses bottes de caoutchouc tout en enlevant son large short informe. Ses cuisses étaient belles et d’une douceur étonnante. J’ai relevé son tee-shirt sur sa poitrine fatiguée mais généreuse et j’ai embrassé ses seins avec joie en retirant son soutien-gorge. Sans autre forme de préambule, Lisa m’a plaqué au sol et s’est empalée sur ma queue. Sa minette était merveilleuse, poilue et mouillée à souhait, un cocon chaud et humide délectable. Accroupie, elle s’est mise à aller et venir sur ma verge que je voyais s’enfoncer dans sa toison et disparaître dans son trou. Ce spectacle me faisait bander encore plus dur. Elle me baisait en me regardant avec ses yeux impassibles où je voyais pourtant danser la petite flamme du désir. Sa bouche s’entrouvrait sur ses soupirs discrets.

Utilisant le peu d’énergie qui me restait pour la soulever, je l’ai retournée et elle s’est mise à quatre pattes, mains et genoux dans la glaise, son cul laiteux tendu vers moi qui tranchait avec les bottes. Je l’ai prise dans ce tableau champêtre et je trouvais ça hyper excitant. Mes cuisses tapaient contre son cul pendant que sa chatte m’engloutissait. Elle serrait son périnée pour encore mieux me sentir et cette pression, cet anneau naturel autour de mon engin, me faisait vibrer pendant que je la sautais.

Elle a tendu la main entre ses jambes pour me caresser les couilles. Elle avait dû remarquer que j’étais particulièrement sensible à cet endroit-ci de ma personne pendant qu’elle me suçait. Elle ne s’y trompait pas : je me mettais à gueuler de plaisir. Elle s’est retirée de moi et s’est mise à me branler sans me quitter des yeux. Je me suis redressé et j’ai joui sur ses seins, mon sperme dégoulinant dans la fente entre les deux globes. Ce spectacle était délicieux, inattendu, saisissant. Je ne voulais pas en terminer là alors j’ai à mon tour, d’autorité, plaqué son corps sur le sol pour la lécher. Elle a tremblé de tout son corps sous mes coups de langue et, en quelques minutes, elle a crié et s’est tendue comme un arc sous ma bouche. Ça sentait la chatte et la terre. Cette odeur restera, à jamais, gravée dans ma mémoire.

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  • Jérôme

    « Lesbienne » ? « Sodomie » ? Problème avec les tags de plus en plus fréquent.

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