Nue derrière sa porte !

La rédaction 12 juillet 2024

Moïse, 20 ans. Tous les matins, il retrouve Monique, une dame de 60 ans qui tient le café du coin. Mais cette dernière lui prépare une petite surprise…

Nue derrière sa porte ! histoire de sexe

Je m’appelle Moïse, j’ai 20 ans et j’habite Lille, où je poursuis des études scientifiques. Mon rêve, c’est de devenir une star de la physique quantique pour être invité dans les grandes conférences à travers le monde. Mais n’est pas Einstein qui veut et en plus, je suis d’une « timidité maladive » comme dit ma mère. Alors, parler en public, on oublie. Par contre, je suis bon à l’écrit. Voici mon histoire de sexe.

Tous les matins, je vais au café d’en bas pour me jeter un petit noir avant d’aller en cours. C’est Madame Monique qui tient le troquet. Une dame qui doit bien avoir dans les 60 ans, forte mais bien proportionnée, avec des nibards qui dépassent du comptoir quand elle se penche. Je crois qu’elle me considère un peu comme son fils. Elle ne voit pas souvent le sien, qui est monté à Paris pour son travail. Son mari est décédé, il y a dix ans.

Un matin, elle m’a invité à passer chez elle dans la soirée pour boire un « cordial dont vous me direz des nouvelles, mon petit Moïse« . Je ne savais pas exactement ce que c’était, mais j’ai accepté. Après les cours, j’ai pris une douche, mis de l’after-shave, une chemise propre, et je suis allé sonner chez elle vers 20 heures, le coeur battant. Je ne savais pas pourquoi j’étais si anxieux.

Surprise derrière la porte

Quand elle a ouvert, j’ai cru que je m’étais trompé. Une femme était nue derrière la porte. Ou plutôt, elle avait une serviette de rien du tout qui cachait mal ses obus énormes et ses gros tétons marron. C’était bien elle. « Désolée mon petit Moïse, je suis en retard. Y’a mes dessous qui sèchent. Tenez, restez pas là sur le palier, vous allez attraper la mort. » Elle m’a poussé à l’intérieur et a refermé la porte derrière moi. « Vous n’avez qu’à enlever la couverture de Kiki, là, faites pas attention aux poils, j’ai une brosse. Ne vous inquiétez pas, il grogne, mais il est pas méchant. Regardez, il vous aime déjà, il remue la queue. »

Tout en disant ça, elle s’agitait dans tous les sens à faire de la place ici, à repousser des papiers là… Sa serviette est tombée. Comme Kiki, j’ai commencé à remuer de la queue — et à rougir comme une pivoine par la même occasion. J’ai posé mes mains sur mes cuisses pour tenter de dissimuler mon excitation. Je n’ai pas beaucoup d’expérience en sexualité, alors voir cette femme voluptueuse entièrement nue devant moi, ça m’a fait de l’effet. Et, bien sûr, elle s’est aperçue de mon trouble. J’ai murmuré : « Je suis désolé, Madame Monique. » Elle est partie dans un grand éclat de rire et a dit : « Allez mon petit Momo, pas de chichis entre nous, appelez-moi Nini. Faut pas avoir peur, je vais pas vous manger ! »

Nue comme au jour de sa naissance, elle m’a apporté un petit verre rempli d’une boisson qui dégageait une forte odeur d’éthanol. « Allez, cul sec, c’est comme ça que ça se boit. » Elle s’est servie, on a croisé les coudes, et on s’est envoyé le tout direct dans les boyaux.

Un câlin étouffant mais plaisant

J’étais nez à nez avec ses mamelles, mais je n’osais rien faire. C’est elle qui a pris les devants. Elle m’a serré dans ses bras, j’ai failli étouffer entre ses deux pastèques de chair laiteuse veinées de bleu. Elle a ouvert mon pantalon, a saisi ma verge pour dénuder le gland. Ma prune a émergé du prépuce. Plus vicieuse que maternelle, Madame Monique a écarté les cuisses et avancé son bassin. Du bout des doigts, elle a séparé ses lèvres glabres. Sa foufoune rose bâillait.

Elle s’est assise sur ma verge en érection. Je n’ai pas une bien grosse bite, mais ça avait l’air de lui suffire. De mon côté, je n’étais pas trop serré à l’intérieur, c’était brûlant et visqueux. Mes mains se perdaient dans les plis dodus de son ventre, et ses fesses écrasaient agréablement mes couilles. J’étais tellement dans les étoiles que j’ai giclé en elle sans m’en apercevoir. Elle, par contre, elle l’a tout de suite sentie. Elle s’est retirée et m’a dit que j’étais un bon garçon. Cinq minutes et un autre verre de son cordial plus tard, je rebandais comme avant. Et là, elle se l’est carrément mise dans le cul !

Ce qui est drôle, c’est que le matin suivant, quand je suis allé prendre mon café, rien n’avait changé entre nous. Je lui ai donné du « Madame Monique » et elle m’a juste fait un clin d’oeil.

(Image à la une : Getty Images)

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  • Franck

    Chouette histoire ! Drôle et appétissante 🙂

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