Rallumer le feu
12 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/histoire-de-sexe-rallumez-le-feu.jpg)
Cela faisait quelques mois que je sentais une distance croissante s’établir avec mon mec. Étienne et moi n’étions plus les mêmes. Le quotidien avait terni la complicité que nous partagions autrefois, et les silences entre nous devenaient de plus en plus longs. Je savais qu’il fallait faire quelque chose, raviver cette flamme qui semblait s’être éteinte. Voici notre histoire de sexe amateur.
Séance photo
Un soir, après avoir longuement réfléchi, une idée m’est venue. Étienne adorait la photographie. Ses yeux s’illuminaient toujours lorsqu’il tenait son appareil. J’ai donc décidé de me lancer : une séance photo, rien que pour lui. Peut-être que cette intimité nouvelle pourrait recréer un lien entre nous. « Ça te dirait de me prendre en photo ? » lui ai-je demandé avec un sourire, espérant qu’il dirait oui. Il m’a regardée, surpris, hésitant, avant d’accepter. Nous sommes montés à l’étage, dans notre chambre, où la lumière douce de la fin d’après-midi créait une ambiance propice. Je m’étais glissée dans une robe simple, mais qui dessinait subtilement mes courbes. Je voulais qu’il me voie à nouveau, vraiment. Il ajusta son appareil, un léger sourire au coin des lèvres. « Tu es prête ? » me demanda-t-il. Je hochai la tête, me sentant un peu nerveuse.
Il commença à me photographier, au départ avec des poses simples, moi debout près de la fenêtre, mes cheveux tombant en cascade sur mes épaules. Je voyais son regard changer derrière l’objectif. Il me redécouvrait, et je sentais un frisson courir le long de ma colonne vertébrale. Il fallait que j’agisse… J’ai laissé glisser une des bretelles de ma robe. Étienne ne dit rien, mais je vis dans ses yeux une étincelle, un trouble. Je continuai, doucement, laissant la robe tomber un peu plus bas sur mes épaules, révélant davantage de ma peau. Il ne me quittait pas des yeux, ses prises de vue devenant plus frénétiques, comme s’il voulait capturer chaque instant. Je me sentais à la fois vulnérable et puissante sous son regard. Lentement, j’ai laissé tomber la robe sur le sol, me retrouvant en sous-vêtements. Je me suis approchée de lui, sentant l’atmosphère dans la pièce changer, devenir plus électrique.
Partie de reconquête
L’appareil photo était presque oublié. Nos regards se croisèrent, et je compris que ce n’était plus seulement une séance photo. C’était une reconquête de notre désir. Ce regard qu’il avait sur moi me mettait le feu aux fesses. Je me suis approchée, féline, pour qu’il me prenne en photo à ses pieds. Je l’ai caressé à travers son pantalon. J’ai enlevé mon soutien-gorge pour qu’il voie ma poitrine. Il s’est dévêtu à son tour, et chaque morceau de peau dévoilée me rappelait à quel point je le trouvais beau et attirant. Il s’est allongé sur le lit. L’appareil photo faisait le lien entre nous. À quatre pattes, je l’ai sucé sur notre couche conjugale, rallumant une flamme que je pensais éteinte. J’étais trempée entre mes cuisses. Je me suis tournée pour me mettre dos à lui et me caresser sous ses yeux. Il pouvait ainsi mater mon cul et voir ma main s’activer sur mon sexe pour me faire du bien. Derrière moi, il a pris le relais, en reproduisant les mêmes mouvements sur mon clitoris.
Puis il m’a doigtée pendant que je frottais mon clito, nos mains dansant d’une même danse pour m’allumer. Je me suis retrouvée dans des postures que je n’avais jamais osées prendre auparavant avec lui : à quatre pattes sur le lit ou de côté, à écarter mon cul pour qu’il photographie mes fesses et ma vulve ouverte, humide de cyprine. Nous étions haletants, remplis d’une excitation folle et d’une envie de l’autre débordante. Je regardais de temps en temps ses yeux et je pense pouvoir dire qu’il ne m’avait jamais regardée avec une telle intensité. Le voir dans cet état me mettait moi-même dans une véritable transe. Il n’a pas lâché son appareil photo quand il s’est approché de moi pour me prendre. Par la chatte et, avec mon accord car j’aurais pu faire tout ce qu’il me demandait, ensuite par le cul. Il a pris une photo de lui s’enfonçant dans mon fondement, et moi j’étais si transie, si folle de ce moment, que j’ai découvert, à 40 ans, toute la volupté du plaisir anal. Je me suis remplie de lui jusqu’à plus-soif. Jamais nous n’avions été aussi proches l’un de l’autre.
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