Une belle queue espagnole
24 avril 2024Nina – 27 ans – Meaux, se fait défoncer par une belle queue espagnole pour rejoindre les cieux du plaisir.
Lorsque j’étais adolescente, je rêvais devant la page centrale d’un célèbre magazine de playmate américain et je me touchais en lisant les histoires de cul des interstron.ru de mon paternel. Je trouvais les femmes libres, leurs photos étaient belles et elles n’avaient aucun complexe. J’ai décidé de devenir l’une de ces playmates avec mes seins volumineux, ma taille fine, mes dents blanches et bien alignées et mes appétits sexuels intarissables. Désormais les hommes me courtisent absolument tout le temps, je n’ai qu’à claquer dans les doigts pour en ramener un chez moi. Voici mon histoire de sexe.
Une gorge très profonde
Le dernier en date est Juan, un espagnol « muy caliente » avec une queue sublime, pas trop épaisse, mais vive à bander et veinée comme j’aime. La première fois qu’on a baisé ensemble, j’ai cru qu’il allait tomber fou, je lui semblais inaccessible et il avait maintenant sa tête ou sa bite entre mes gros nichons bien fermes et, en plus, je lui ai demandé de me prendre en photos ! Je me suis doigtée devant lui, index et majeur au fond de mon vagin, je m’échinais à secouer mes phalanges en le regardant bien droit dans les yeux, j’ai craint un instant que son membre explose, j’ai alors écarté mes lèvres intimes pour lui montrer le chemin à suivre. Il s’est penché vers mon entrejambe et m’a offert un cunnilingus absolument délicieux. Il s’appliquait à maintenir ma moule ouverte et faisait saillir mon clitoris rose, sa langue avait toutes les audaces, forant mon petit trou, allant se perdre profondément dans mon con velouté avant de venir écraser ma délicate framboise d’amour. J’ai joui en criant et lui s’est relevé, le menton et la gorge trempés d’un mélange de salive et de mouille, un sourire carnassier accroché à son visage.
Il s’est agenouillé devant moi, son beau torse musclé incliné en arrière, cette posture donnait encore plus de relief à son sexe en érection, il n’était pas question que je ne prenne pas en bouche ce bâton de plaisir avant de me l’enfiler dans la chatte. Je lui ai balancé mon regard de braise et j’ai tendrement saisi sa verge. Elle était chaude et dure comme la pierre. Mes premiers baisers se sont posés sur son frein puis partout sur son gland que j’ai très vite avalé tout entier.Sa queue était sucrée, délicieuse, je l’ai sucé en ne le quittant pas des yeux sauf pour cette prouesse qui plaît tant aux hommes et que je maîtrise à la perfection qu’est la gorge profonde. Son sabre allait loin, j’aspirais toute la longueur du mât, à m’en étouffer presque pour mieux le libérer, nappé de ma salive épaisse. Je n’ai pas poussé la séance trop longtemps de peur qu’il n’éjacule précocement, non pas que je redoute qu’on me jute dans la bouche, j’adore les différents goûts des spermes de ces messieurs, mais je voulais qu’il me prenne afin de jouir de ses saillies masculines.
Jouir jusqu’aux étoiles
Il m’a attrapée en missionnaire pour commencer, ses mains hissant mes petites fesses en hauteur, technique radicale ! Son bassin à lui restait fixe et ce sont mes hanches qui montaient à sa rencontre, comme en lévitation. Jamais on ne m’avait baisée de la sorte et, la surprise ajoutée à la puissance des bras qui me soulevaient, m’ont emportée au Nirvana pour la seconde fois ! Ce garçon avait du talent à revendre, à n’en pas douter, c’est donc avec plaisir que j’ai obéi à son injonction de me présenter à lui en levrette. J’ai pris mon temps, écartant outrageusement les cuisses et le cul en me retournant et en m’installant à quatre pattes pour qu’il ne rate rien de ma chatte béante et de mon petit trou serré en forme d’entonnoir sombre.
Une fois bien calée dans les coussins, j’ai cambré les reins, ceci a eu pour effet immédiat d’ouvrir les globes de mes fesses et de libérer l’entrée de mon sexe trempé. J’ai senti le gland tâtonner un moment, venant même taquiner l’orée de mon anus, mais n’obtenant pas de blanc-seing de ma part, il est reparti plus bas et s’est logé en haut de ma fente. Mon tunnel bouillonnait, la colonne de chair s’y est enfoncée onctueusement, mes cheveux ont été ramenés en queue de cheval improvisée dans une main sûre et j’ai reçu des coups de boutoir qui m’ont mené à un orgasme phénoménal, j’en ai réellement vu des étoiles tant il a été puissant. Il était temps de donner du plaisir en retour à cet amant tout à fait extraordinaire, je me suis mise à plat dos et j’ai branlé le manche qui n’avait rien perdu de sa superbe depuis le début de nos ébats jusqu’à ce qu’il gicle. Des jets de foutre se sont écrasés sur mon ventre et mes seins, j’ai étalé cette crème sur ma poitrine et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
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