Le fantasme de la levrette

La rédaction 29 janvier 2024

Camille, 28 ans, est une passionnée de sexe, elle adore se faire prendre en levrette. Ce jour là elle rencontre un mâle bien monté qui lui va la faire jouir à plusieurs reprises.

Mes parents sont des soixante-huitards pur jus, d’où mon prénom, Camille, comme le célèbre Desmoulins. J’ai été élevée dans une liberté totale avec des plaisirs simples et j’ai exploré les joies du corps très tôt. J’ai très vite été passionnée par la masturbation, la découverte que mes doigts, un coin d’oreiller ou le rebord de la baignoire pouvaient me faire jouir a ouvert les portes de tous les possibles. Puis j’ai trouvé un exemplaire d’Union, que mes parents lisaient (et mettaient en pratique) assidûment ! Je vais vous raconter mon histoire de sexe !

Une jeune femme très courageuse

Aujourd’hui adulte, toujours baba cool, j’ai eu envie de cette madeleine de Proust. J’allais payer lorsque j’ai vu que le jeune homme devant moi était en train de l’acheter également, j’ai vite réglé à mon tour et je l’ai rejoint dans la rue, exhibant fièrement mon numéro. Il m’a souri, un peu gêné, je lui ai dit que le sexe c’était la vie, mais que, surtout, c’était mieux à deux. Nous nous sommes embrassés jusque chez moi, Julien était chaud bouillant et son énorme bosse à l’entrejambe était prometteuse.

J’étais en jupe sexy avec bas et porte-jarretelles. Sa tête lorsqu’il a découvert mon petit attirail ! Ça l’a rendu fou, il était nu en moins de deux, arborant fièrement une belle queue comme je les aime, épaisse, bien raide avec un gros capuchon de peau au bout.

Il s’est branlé, attendant que je lui donne le feu vert, j’ai ôté ma jupe, ne conservant que ma culotte léopard. Je me suis agenouillée pour le sucer, sa bite était brûlante et libérait un élixir salé, je me suis régalée. Lui, visiblement, était aux anges, abandonnant de plus en plus son bassin pour me baiser la bouche tout en me tenant la tête.

Baisée avec tendresse

Le reste s’est passé dans mon lit, Julien a fini de me déshabiller, il a complimenté mes seins et leurs bouts fins et élégants, les poils de ma chatte commençaient à repousser, mais cela ne l’a pas dérangé une seconde. Au contraire, lorsque j’ai dévoilé ma foufoune, il m’a demandé s’il pouvait prendre des clichés, je reconnaissais bien là l’Unioniste en lui ! J’ai accepté et adopté la pose idéale, ouvrant bien mes compas pour qu’il puisse photographier mon sexe accueillant. Dans le feu de l’action, nous avons décidé d’immortaliser notre première fois et d’envoyer tout cela à notre magasine coquin.

J’avais la fièvre au corps, ma peau n’était que picotement et incendie, il allait falloir à Julien beaucoup de talent pour parvenir à circonscrire cet incendie. Après l’avoir pompé encore un peu, c’est lui qui est venu m’offrir sa bouche. Ventouse habile, il aspirait toute ma vulve en lui, alors que son appendice fouissait au hasard jusqu’à dénicher l’ouverture du sillon. Je me sentais gluante de mouille, odorante de désir, Julien m’a mangée, avalée, bue. C’était bon, c’est toujours agréable de trouver un amant imaginatif qui vous présente des trucs inédits.

Jouir en levrette

Il a fait avec mon clito les mêmes mouvements de tétée, donnant de petits coups de langue très légers sur le fait de mon bourgeon. Cette divine torture m’a fait venir en quelques secondes, tout mon corps en tremblait tellement
l’orgasme a été fort. Je le voulais en moi, je lui ai demandé de me baiser en levrette, fort, le plus fort qu’il pouvait. Il m’a attrapé par les hanches et j’ai reculé jusqu’au bord du lit, les pieds bien ancrés dans le sol. Il a pointé sa grosse queue sur mon orifice, mon vagin se contractait tant j’avais encore besoin de jouir.

Quand il s’est planté en une envolée puissante et décisive, j’ai compris que j’avais tout gagné. Bon sang, ce taureau ! Il m’a littéralement assommée avec ses secousses ! Un métronome, redoutable, régulier avec toutefois des crescendos qui m’ont arraché des gémissements involontaires tant il chassait l’air de mes poumons tandis que son pénis investissait mon fourreau trempé. Il m’a fait monter au ciel je ne sais combien de fois, alternant coups de reins athlétiques et cunnilingus fondants, j’avais l’impression d’être en pâte à modeler à la fin ! Molle et détendue, il aurait pu me faire ce qu’il voulait.

Il a choisi que je vienne sur lui avec ce qui me restait de force, mon cul tourné vers lui, je me suis déhanchée sur son mât toujours dressé, Julien a agité son doigt dans mon petit trou, promesse d’une future sodomie ! C’est de jouer avec mon anus qui l’a fait éjaculer, je l’ai senti se raidir, j’ai jeté un coup d’œil à ses belles couilles bien rétractées, puis le canon s’est secoué à plusieurs reprises, balançant ses salves de sperme au fond de ma chatte. J’ai quand même réussi à extraire les dernières gouttes en le suçant, je voulais absolument savoir quel goût avait sa crème d’amour.

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