Dans les cieux du plaisir

Paule 4 février 2024

Je suis exhibitionniste, j’aime tellement le sexe que mon copain est dépassé Il m’a autorisée quelques escapades à la seule condition que je lui raconte.

Poupée … pas gonflante !

On me dit souvent que j’ai une tête de poupée, je vous laisse juge, je voudrais bien avoir les réactions des lecteurs (et des lectrices), n’hésitez pas à faire comme moi, écrivez à interstron.ru qui me transmettra vos commentaires.

Je suis exhibitionniste, j’aime tellement le sexe que mon copain est dépassé par la situation ! Il m’a autorisée quelques escapades à la seule condition que je lui raconte tout dans les détails et surtout, que je lui rapporte des photos des queues de ces messieurs. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Mes atouts ? Mes yeux et mes seins. En quelques minutes, je sais qui finira dans mon lit.

On doit la série de clichés à Tony, un beau gosse que j’ai suivi chez lui pour une nuit d’enfer. Je peux vous assurer que lorsque je lui ai demandé de me shooter pendant que je le pompais, il s’est mis à bander dans la seconde ! Petit spaghetti, mais al dente à souhait, croyez -moi ! Je vous passe les compliments sur mes roploplos et mon regard carnassier pendant la fellation que j’ai offerte à ce Transalpin un rien macho. Il ne tarissait pas d’éloges sur ma langue, ma bouche et mes doigts qui entouraient et masturbaient sa belle petite bite dressée fièrement. Je lui ai tout fait, approche langoureuse, gorge profonde, branlette espagnole, tétant avec entêtement son gland boursouflé ou gobant ses couilles jusqu’à la limite du supportable. Il était focus sur mes nibards, plus je les agitais sous son nez, plus il bandait fort et plus son fruit rose coulait.

Je comprenais bien qu’il n’osait rien entreprendre, j’ai donc dû le rassurer et lui garantir qu’il pouvait me faire ce qu’il voulait tant qu’il me faisait jouir. Je n’ai pas été déçue ! Ce type était expert en  plaisir féminin ! Avant même de m’offrir sa langue, il s’est agenouillé entre mes cuisses, il a fixé ma chatoune comme s’il n’en avait jamais vue de sa vie. J’avoue que cela m’a fait un peu peur, mais quand il a commencé à secouer le frein de son gland pile sur mon bourgeon clitoridien, je n’ai pas pu retenir mes cris de bonheur. Ce gars ne me connaissait pas depuis une heure qu’il avait déjà décrypté les clefs de mon plaisir ! Sa bite a été remplacée, je ne sais comment, par sa langue. Un chef-d’œuvre ! Ce type avait de l’électricité dans la bouche, j’avais beau me tortiller comme un asticot tellement les sensations étaient terribles, il m’a accrochée par les hanches et n’a pas lâché l’affaire tant que je n’ai pas joui en me répandant en bordées de mouille qui l’ont presque noyé !

Lorsqu’il s’est relevé, farouche, décidé à me prendre de toutes sortes de manières, je ne m’appartenais plus, j’étais sa chose et il le savait parfaitement. Son corps élancé s’est faufilé entre mes cuisses et le feu d’artifice a commencé. Baisée en missionnaire, son torse me surplombant, il m’a démontée en me serrant à la gorge et en me mordillant les mamelons puis, gagnant comme par miracle ma zone érogène ultime, la partie de mon cou juste sous mes oreilles. Tony m’a emporté loin, très loin dans les cieux du plaisir. À l’instar d’une équipe de sport collectif sonnée, je n’ai pu que subir le reste, avec une volupté à nulle autre pareille ! Que j’aime me sentir appartenir à un mâle qui sait ce qu’il doit faire, qui fait ce pour quoi il est fait. J’ai été retournée en levrette telle une galette bretonne, une grande claque sur mon cul m’a imposé de me cambrer au maximum. Je me suis retrouvée les fesses grandes ouvertes, la raie écartée et les orifices offerts à sa vue comme à son vit !

À propos de l’auteur

Paule


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