Une vengeance à trois

La rédaction 4 octobre 2021

Je suis une amoureuse passionnée, comme beaucoup de femmes asiatiques, fidèle et entière, mais je peux être une belle garce enragée, rancunière et même la pire des salopes si on me trahit ! C’est ce qu’a appris François, mon compagnon, à ses dépens. Je m’appelle Kimy, j’ai 45 ans et voici mon histoire porno.

Pris en flag avec une autre

Il se trouve que je l’ai surpris en pleine partie de jambe en l’air avec Sophie, mon âme sœur, il n’y a pas trois semaines de cela. Nous avions loué une villa à Marseillan plage, dans l’Hérault, et j’avais dû reporter mon départ de quelques jours pour le boulot. J’avais toute confiance en tous deux et, ayant réussi à me libérer de mes obligations plus tôt que prévu, j’ai sauté dans le train pour découvrir que François sautait aussi, pas un train lui, mais ma meilleure amie !

J’ai débarqué en plein milieu de leurs ébats au bord de la piscine ! Après un esclandre de tous les diables et le départ de la traîtresse, j’ai mis mon mec en quarantaine affective et sexuelle. Mais j’ai bien vite compris que l’élan avait été ponctuel et purement pulsionnel, j’ai donc puni François de telle manière à ce que ce genre d’incartades n’est plus jamais lieu.

À deux pas du Cap d’Agde, je lui ai demandé qu’on aille faire bronzette sur une des plages nudistes. Pudique de nature, ma proposition n’a pas manqué de le surprendre, mais comme « monsieur » marchait sur des œufs depuis la grande scène du quatre quelques jours auparavant, il n’a pas pipé mot.

Étonné est un euphémisme lorsqu’il a découvert que j’avais donné rendez-vous à ses trois plus anciens amis qui nous attendaient sur le sable. Je me suis dévêtue avec une assurance que je ne me connaissais pas et j’ai plongé dans la Méditerranée, relevant bien mon cul devant huit billes aussi rondes que mon petit trou !

J’ai appelé la troupe et j’ai vu les mousquetaires courir vers moi, leurs queues flasques agitées batifolant contre leur ventre. J’en aurais ri de bon cœur si je n’avais pas douté, à cet instant, du bien-fondé de la nature de ma vengeance. Mais il était trop tard pour reculer.

À quarante-cinq ans, je n’ai connu « bibliquement » que François, l’heure de l’émancipation sexuelle avait sonné. Nous avons nagé quelques brasses, nous nous sommes éclaboussés comme des adolescents, tous un peu gênés de se retrouver nus les uns devant les autres pour la première fois. Je tardais à donner le top départ, mais je me suis enfin décidée à me jeter à l’eau … avant d’en sortir.

Mon compagnon suivait l’organisation mise en place, dubitatif. Nous avons ainsi gagné un petit appartement que j’avais loué pour l’occasion au centre d’Héliopolis. Sitôt entrés, j’ai annoncé à François où il devait s’asseoir et je suis allée m’allonger sur le grand lit face à lui. J’ai fait signe aux trois amis de venir me rejoindre. Ils ont jeté un coup d’œil gêné à François, mi-Judas, mi-Tantale, mais ont quand même franchi le Rubicon.

Regarde le spectacle et tais-toi !

«Tu vas ressentir ce que ça fait, mon chéri, de voir celle qu’on aime dans les bras d’un autre … enfin, de trois autres en l’occurrence» et sur ces mots j’ai attrapé une queue dans chaque main et ai commencé à sucer la troisième. Le trio de bite n’a pas tardé à se gonfler et à afficher de belles érections. Mon petit corps bronzé faisait des merveilles et était comblé de caresses et de délicieux attouchements. Je voulais que François en bave un maximum.

J’étais aux anges, il y avait là, à ma disposition, toutes les tailles et tous les calibres de chibres. Jamais je ne me serais imaginée en voir autant, encore moins les effleurer et les accepter en moi. Loin d’être une néophyte en matière de sexe, j’ai malgré tout fait tout ce que je pouvais pour être à la hauteur de la tâche. J’ai turtlutté ces messieurs à tour de rôle, le regard tantôt plongé dans celui du sucé, tantôt dans celui de François qui s’est mis à bander lui aussi ! Bande donc mon chéri, bande !et observe ta femme se faire sauter par tes meilleurs potes !

L’un d’eux m’a attirée vers lui, ouvrant mes jambes souples, il a commencé à déguster mon abricot et bientôt je poussais de petits cris aigus tant il me léchait avec talent. Mes gémissements étaient toutefois étouffés par les sexes que je prenais alternativement en bouche. Puis le grand moment est arrivé, les saillies se sont enchaînées ! Ils ont été mignons, ils m’ont pénétrée par ordre croissant de taille de pénis. Mon vagin d’asiatique a donc pu s’acclimater à plus grosse de ces queues qui faisait bien le double de celle de ma moitié !

J’ai joui sous leurs langues, j’ai pris un pied total sous leurs assauts tant et si bien qu’au bout d’une heure et demie j’étais devenue leur petite chienne lubrique. J’en voulais toujours plus, je me découvrais infatigable, insatiable !

Je n’ai rien vu venir, j’étais à califourchon sur l’un d’eux quand j’ai senti un gland appuyer sur mon oeil de bronze. Je n’ai jamais accepté la sodomie de la part de François, j’allais dire non … et puis, pourquoi pas ? Je me suis penchée en avant, des mains ont écarté mes fesses, une langue a déposé de la salive sur ma rondelle et enfin j’ai su ce que déclenchait en moi la présence d‘une bite dans mon anus. J’ai adoré la sensation, être prise ainsi de partout, quel délice ! Mes amants se sont immobilisés un instant puis ont commencé à me défoncer de concert. J’ai joui d’une force incroyable.

Pour finir, je souhaitais une spécialité orientale s’il en est : un bukkake. J’ai été servie ! J’ai reçu le foutre des trois sur le visage, j’étais maculée, éreintée par cette baise sauvage quand j’ai vu François me rejoindre, son beau membre à la main, il a parfait mon masque facial avec son sperme toujours aussi abondant et crémeux.

J’étais souillée et à la fois lavée de l’affront qui m’avait été fait. François et moi sommes depuis devenus libertins et, désormais, les visites de ses amis à la maison commencent systématiquement autour du barbecue pour se finir dans le jacuzzi ou dans notre chambre ! Nous avons même intégré Sophie à nos jeux. Quoi ? Plus on est de fous, plus on jouit non ?

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