Caro aime la sodo

La rédaction 27 septembre 2021

Nous sommes un couple marié approchant de la retraite et vivons en Bretagne. Nous sommes bien dans nos corps, en prenons soin et pratiquons le naturisme depuis toujours. Je m’appelle Marlène, j’ai 61 ans, je suis grande, aux cheveux ondulés châtains avec une silhouette qui ne laisse pas indifférents, aussi bien les hommes que les femmes. Mon mari Bernard est grand, musclé, à la pilosité clairsemée, un sexe épais avec deux belles grosses couilles. Voici notre histoire porno.

L’intégrale !

L’été dernier, nous avions invité une amie, Caroline, qui vit seule avec ses deux enfants, des faux jumeaux de 18 ans, à passer quelques jours de vacances avec nous, ce qu’elle a accepté avec grand plaisir. Pour nous comme pour elle et ses enfants, vivre nu est naturel. Nos corps, bronzés et intégralement épilés faisaient des jaloux. Caroline est une femme brune à l’allure androgyne, cheveux courts avec des petits seins aux tétons dressés et un pubis brun velu bien taillé. Sa fille, Alexandra, est une jeune fille sportive avec une petite poitrine comme sa mère aux tétons saillants, des fesses musclées et un sexe bien fourni. Son fils, Félix, est grand avec des pectoraux et des abdominaux musclés, deux jolies couilles bien rondes surmontées d’une longue queue.

Caroline est très proche de moi et, un après-midi, après nous être baignées, nous nous sommes mises à évoquer nos vies intimes, allongées sur nos serviettes au soleil. Caroline m’a expliqué être troublée par nos corps intégralement épilés, surtout celui de mon homme. Je lui ai proposé d’expérimenter l’épilation intégrale elle aussi, mais elle hésitait. Je n’ai pas attendu sa réponse et je lui ai pris un rendez-vous chez mon esthéticienne. Comme elle était inquiète, je l’y ai accompagnée.

L’esthéticienne a invité Caroline à se déshabiller. Elle a retiré sa robe légère et son string, puis s’est allongée sur la table. Quand elle a dit en rougissant quel type d’épilation elle voulait, l’esthéticienne l’a rassuré, lui a écarté les jambes pour s’attaquer à ses poils bruns. Ses petites lèvres toutes roses se dévoilèrent au-fur-et-à-mesure, puis son gros bouton. Caroline avait un clitoris très imposant, je comprenais mieux pourquoi elle gardait ses poils pubiens qui le cachaient.

La professionnelle s’est attaquée à ses fesses et à son sillon inter-fessier. Mon amie s’est mise à quatre pattes en écartant les jambes et en tendant les fesses, exposant son intimité et son petit œillet frémissant. Vue l’humidité de son sexe, une certaine excitation était manifeste. Pour finir son travail, l’esthéticienne a passé délicatement de l’huile d’amande douce sur son corps tout lisse. En regardant son pubis dans la glace, glabre, brillant, dévoilant impudiquement son clitoris, elle s’est empourprée. Je l’ai prise dans mes bras pour la féliciter d’avoir osé.

Une chatte fièrement exposée

En rentrant à la maison, nous avons été accueillies par Bernard qui nous attendait au bord de la piscine, impatient de voir le résultat. Caroline, radieuse, s’est déshabillée lascivement et a enlevé sa robe, dévoilant son string blanc quelque peu mouillé. Elle l’a enlevé et s’est retournée, jambes écartées, exhibant fièrement son pubis, sexe trempé, clitoris gonflé d’excitation. La surprise était totale. Cela se voyait qu’elle était excitée, ses tétons dressés, durs, son entrejambe suintant de ses sécrétions intimes, son corps luisant comme une invitation à la luxure. Elle me regardait avec ses yeux brillants et m’a murmuré à l’oreille : «Fais ce que tu veux de moi.» Je l’enlaçais, son corps bouillant, ses seins durs contre ma poitrine m’électrisaient. Elle a fermé les yeux et s’est mise à onduler du bassin, frottant son entrejambe contre ma cuisse. J’ai pris sa tête entre mes mains, l’embrassant langoureusement.

Bernard ne pouvait masquer son excitation. Sa queue s’était dressée à la verticale, parcourue de soubresauts. Caroline s’est approchée de lui, lui a caressé les pectoraux, le regardant droit dans les yeux pendant qu’elle saisissait sa queue délicatement. Elle l’a caressée, décalottée, masturbée. Moi, je décidai de partir faire quelques courses pour les laisser tous les deux.

Quand je suis rentrée, Bernard était allongé sur une chaise longue, le corps brillant de sueur, la queue encore congestionnée, décalottée du gland, écarlate et brillant preuve d’une activité sexuelle intense et récente. Caroline était hébétée, le corps luisant et l’entrecuisse détrempée. Connaissant mon homme, j’imaginais bien qu’il l’avait étreinte virilement ! Dans la piscine, Caroline m’a embrassé sur la bouche tout en me caressant les seins et l’entrejambe sous l’eau. Elle m’a raconté comme Bernard l’avait ramonée énergiquement, qu’elle avait hurlé de plaisir et qu’il l’avait enculée. 

Pendant que je lui caressais les fesses, Bernard s’est approché de nous, la queue tendue de nouveau, semblant prêt pour un nouvel assaut. Pendant qu’il nous caressait toutes les deux, il a embrassé Caroline en la remerciant de s’être donnée à lui sans retenue.

Puis, il s’est placé derrière elle pour se coller à son corps pendant qu’elle ondulait des fesses. Caroline était dans mes bras et Bernard la saisissait par les hanches. Un rictus sur son visage m’a indiqué que Bernard était à nouveau en train de la sodomiser. Elle poussait des gémissements sourds sous les assauts de mon mari qui la ramonait vigoureusement et se raidissait, jusqu’à ce que je comprenne qu’il venait d’éjaculer dans son cul. Caroline était épuisée, mais heureuse. Notre trio infernal s’est poursuivi pendant toutes les vacances dès que les enfants de Caroline étaient de sortie !

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