À la queue-le-le

La rédaction 16 août 2021

Ma femme Valérie, une fois arrivée à la quarantaine, a eu une espère de poussée de libido à laquelle je ne m’attendais pas. Elle s’est mise à avoir envie partout, tout le temps. A tous ceux qui croient leur vie sexuelle figée en un état, à un moment donné, détrompez-vous, tout peut parfois changer ! Le problème, c’est que moi, à 50 ans, je commençais à avoir quelques troubles érectiles qui nous embêtaient et malgré ses dénégations, je culpabilisais à l’idée de ne pas la satisfaire pleinement. Parallèlement à tout ça, la perspective de la regarder s’ébattre avec d’autres mecs me semblait constituer une solution de plus en plus désirable. Je m’appelle Malek et voici histoire porno.

Une nouvelle aventure

Je ne lui avais jamais dit, mais j’avais par le passé fréquenté un club libertin où j’avais eu quelques aventures. J’avais déjà invité certains de mes amis rencontrés là-bas à la maison sans dire d’où ils venaient et ils avaient tous louché sur ma sublime femme. Ça m’avait provoqué un regain de désir pour elle. Effectivement, il m’avait fallu ces regards pour me souvenir qu’elle était une bombe, blonde façon Brigitte Lahaie dans ses jeunes années.

J’ai décidé d’inviter à nouveau cette petite bande qui lui avait bien plu, en lui avouant où je les avais rencontrés. Loin de m’en vouloir, Valérie est devenue toute excitée et elle avait hâte de revoir ces connaisseurs qui pourraient prendre les choses en main. Elle a revêtu de beaux sous-vêtements, des bas, un déshabillé de soie sombre qui mettait magnifiquement ses seins en valeur.

Le jour-J, il y avait chez nous trois hommes et la femme de l’un d’eux, Emma. Après quelques politesses qui cachaient mal notre impatience, Valérie a mené les hommes dans la salle de bain pour les inviter à se doucher tous les trois dans l’immense douche, pendant qu’elle se déshabillait de l’autre côté de la vitre et les attendait sur le carrelage en petite tenue. Ils ont commencé à bander sous l’eau. Je les observais depuis un coin de la salle d’eau pour ne pas en perdre une miette.

Elle leur a tendu des peignoirs et ils ont eu à peine le temps de se les poser sur le dos qu’elle s’est agenouillée pour sucer le premier, celui devant elle, Paco. Elle a saisi sa bite pour l’approcher de ses lèvres et la goûter. Comme si elle s’était retenue depuis des lustres et qu’elle n’en pouvait plus ! Derrière elle, Sébastien, deuxième larron de cette partie fine, lui a massé les épaules et la poitrine en attendant son tour.

Elle a alors tourné son joli visage vers sa queue tout en tenant toujours celle de Paco dans sa main. Les deux mains placées autour de leurs membres, elle a pivoté la tête entre l’un et l’autre pour les avaler à la queue-leu-leu. Ça m’a rendu fou de la voir aussi libre. Je me suis mis à les photographier car sinon, de trop belles images se seraient perdues…

Elle y a pris goût

Dans la chambre, sur notre large lit aux draps de soie, le troisième homme Juan s’est approché d’elle. Valérie fut mise au milieu d’eux tous et vénérée, Juan la prenant en missionnaire, les jambes de ma belle écartées en grand pour lui faire bon accueil, ses deux mains et sa bouche toujours à s’occuper des verges de Paco et de Sébastien. Moi, j’étais toujours avec mon appareil photo.

La femme de Paco, Emma, s’était mise à me sucer, ce qui commençait à me faire bander, mais je pense que c’était surtout lié au fait de voir ma Valérie prise de toutes parts. Elle a exigé que chacun de ses nouveaux amants lui fasse un plaisir particulier, chacun son tour. Paco a fourré sa tête entre ses cuisses pour lui faire une minette qui l’a fait gémir à la lune, telle une louve. Quand il s’est retiré et qu’elle était fin prête pour être prise à nouveau, Sébastien s’est approché de son entrecuisse et elle a basculé ses jambes vers l’arrière pour qu’il trempe sa tige dans son fruit mûr à point pour être cueilli. Sa souplesse, son érotisme étaient proprement décoiffants et je me suis dit que si j’avais su que ça lui plairait autant, je l’aurais emmenée avec moi en club libertin depuis longtemps.

Juan, enfin, le plus audacieux des trois, lui a demandé la permission pour la sodomiser. Les jambes toujours relevées, comme shootée par le plaisir, ma femme a dit “Je vous en prie” comme la bonne bourgeoise qu’elle est. Juan l’a prise par le cul et j’ai rapproché mon appareil photo pour faire des plans serrés de l’intrusion de cette belle verge dans le séant de ma douce. C’était une jolie scène, et ce cul magnifique que je croyais farouche s’ouvrait d’un seul mouvement sur le passage de cette bite entêtée.

Puis ma femme a souhaité un peu plus de sauvagerie, plus de corps. Elle s’est mise à quatre pattes sur les draps et s’est fait prendre en levrette par qui voulait bien, pendant qu’elle en suçait un autre, quel qu’il soit, devant elle. Elle était un gouffre pour toutes ces queues dont elle voulait éreinter la force. Sous ses allures convenables, je n’aurais pas soupçonné l’étendue de ses appétits sexuels !

Elle était belle, ainsi prise, disparaissant derrière des corps d’hommes. La femme de Paco m’avait lâché et s’était étendue à côté de Valérie pour se faire caresser et sucer des bites elle aussi. Les deux femmes ainsi côte à côte étaient renversantes ! Je n’ai cessé de les photographier comme un dément, avec une érection respectable entre les jambes. Voir le plaisir de Valérie m’avait ramené à la vie ! En mon for intérieur, j’ai noté pour plus tard : “ Faire plus souvent des surprises à ma femme.

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