Culotte hey !

La rédaction 5 juin 2021

Ce voyeur de 31 ans a l’habitude de faire des ballades en nature. Quelle ne fut pas surprise quand il tombe sur un couple en pleine action. Le coquin ne se privera pas.

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Je me promène souvent pendant ma pause déjeuner en bord de Sèvre, en Vendée. Il y a quelques temps, alors que je retournais à ma voiture après une balade, au détour d’une petite zone boisée, je suis tombé nez-à-nez avec un couple en plein ébat. Je vous raconte dans cette histoire porno. 

Madame, tailleur BCBG au niveau des hanches, avait les fesses posées sur le capot de son coupé sport. Jambes écartées, elle gémissait sous les assauts de l’homme qui lui léchait goulûment l’entrecuisses. Il jouait de temps à autre avec sa culotte en dentelle blanche sur sa fente détrempée. Abrité par un bosquet, je profitais pleinement du spectacle, la main plongée au fond de mon caleçon, sans oser m’avancer plus près d’eux. J’entendais les gémissements de la femme. L’homme lui retira sa culotte qu’il lança dans les fourrés en rigolant. Puis, il lui fit mettre les mains sur le capot, avant de la pénétrer sauvagement par-derrière. Elle lui criait d’aller plus vite et plus profond. La scène était tellement torride que j’ai fini par baisser mon pantalon, sortir mon sexe et éjaculer dans ma main. L’homme a fini par jouir sur son cul en s’essuyant le gland le long de sa cuisse. Ils sont ensuite remontés dans leurs voitures respectives et sont partis chacun de leur côté. 

En repartant, j’ai récupéré la culotte trempée de mouille de la charmante dame. Devant le peu d’engouement de ma femme pour le sport en chambre, et accessoirement pour le sport en plein air, je n’ai rien dit de cette aventure. Je suis retourné au même endroit pendant quelques semaines, espérant les revoir, mais sans succès. Puis, un jour du mois de septembre, miracle, la voiture de la charmante inconnue était stationnée près du bosquet. Elle était seule, fumant une cigarette en écoutant de la musique classique. J’ai pris mon courage à deux mains et je me suis dirigé vers elle pour entamer la conversation. Elle était vêtue d’une mini-jupe noire, d’une chemise blanche et portait des bas dont on apercevait la couture en haut des cuisses.  

Bonjour, quelle belle journée pour profiter du soleil et des bords de Sèvre ! Vous venez souvent par ici ?

Oui, ça m’arrive de temps à autre, c’est calme et le coin est tranquille.

Après quelques banalités sur la météo et sur les paysages, je me suis lancé :

Vous êtes ravissante, cette tenue vous va merveilleusement bien, mais il ne vous manque rien ?

C’est gentil, merci, mais pourquoi cette question ? Parce qu’il y a quelques temps, je crois que vous avez oublié ça.

Je lui ai tendu sa culotte, que j’avais pris soin de conserver. Elle m’a soudain regardé d’un autre œil, m’a souri et m’a dit : « Vous avez donc tout vu. Je vous laisse le soin de contrôler s’il me manque quelque chose… ».

J’ai senti mon cœur battre à tout rompre et, sans réfléchir, j’ai glissé doucement ma main le long de sa cuisse en effleurant ses bas. Elle a écarté légèrement les jambes, m’offrant ainsi la possibilité de m’immiscer plus en avant vers son sexe. Elle ne portait pas de culotte et était complètement épilée. J’ai commencé à activer lentement mes doigts le long de sa fente charnue et, de mon autre main libre, j’ai déboutonné son chemisier, libérant ainsi sa poitrine. Elle ne portait pas de soutien-gorge non plus. Elle commençait à mouiller et mes doigts n’avaient aucune peine à effectuer de lents va-et-vient dans son sexe. J’ai penché la tête et léché délicatement la pointe de ses seins, lui arrachant un râle de plaisir.

À son tour, elle a passé sa main dans mon pantalon pour m’astiquer énergiquement la queue, qui bandait ferme depuis un moment. J’ai fait tomber mon pantalon au sol et l’ai orientée délicatement vers mon sexe, qu’elle s’est empressée d’engloutir. Quel pied ! J’avais oublié le bonheur d’une bonne fellation.

Prêt à jouir au fond de sa gorge, je l’ai arrêtée et l’ai installée à quatre pattes sur la banquette arrière de sa voiture. Je me suis jeté à pleine bouche sur sa chatte, alternant les coups de langue entre ses deux petits trous. Elle poussait des petits cris et je redoublais d’efforts, ma langue tournoyant autour de son clitoris ou s’insinuant dans sa petite rondelle. Après dix bonnes minutes de ce régime, elle m’a supplié d’arrêter et de la prendre comme son amant, sur le capot de la voiture. Que puis-je faire, sinon obéir à cette beauté ? 

Les jambes écartées, posées sur mes épaules, elle a attrapé mon dard et l’a frotté à l’entrée de sa grotte avant de l’introduire dans son vagin détrempé. Timide, je commençais par y aller tranquillement, mais la dame m’a planté ses ongles dans les fesses, m’intimant l’ordre de la pénétrer sauvagement. J’ai accéléré le rythme et ai attrapé ses seins pour les pétrir sans ménagement. Elle se ruait littéralement sur mon membre au bord de l’explosion. Nous avons joui en même temps, moi lâchant un long jet de sperme et elle, parcourue de spasmes incontrôlés. Elle a renfilé la culotte que je lui avais donnée en me remerciant de la lui avoir rendue, puis elle est repartie. Je suis repassé plusieurs fois dans ces lieux, mais, à ma grande tristesse, je ne l’ai pas revue.

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