Le réveil sexuel

La rédaction 4 juin 2021

Nadine, 59 ans a trouvé comment relancer sa vie sexuelle avec son mari : dormir nu cote à cote… et se réveiller de la meilleure des façons.

Nous avons traversé avec mon mari une phase d’endormissement sexuel, si l’on peut dire. Il s’endormait très souvent d’un coup, sans même dire « bonne nuit », après ses journées de boulot harassantes. Et moi, je restais toute seule avec mes envies et la frustration de ne pouvoir les assouvir.

De temps en temps, je me masturbais discrètement sous les draps pour me donner un orgasme et m’aider à dormir, mais c’est vite devenu insuffisant pour moi qui ait un grand appétit sexuel. Je ne savais pas comment lui en parler et, à chaque fois que j’essayais d’aborder le sujet, cela le renfrognait et il me rétorquait qu’il était épuisé. J’ai alors décidé de tenter une autre approche. Juste avant qu’il s’endorme, je me suis mise à le prendre dans mes bras pendant quelques minutes de tendresse, sans en demander davantage. 

Juste pour le plaisir de se sentir à nouveau, de coller ma poitrine contre lui, de sentir son ventre, ses poils de torse duveteux et son sexe qui, même au repos, m’attendrit et me fait envie. Puis je lui ai proposé que nous dormions nus de la même manière, en se prenant dans les bras un instant avant le sommeil. Redécouvrir le contact de sa peau me faisait du bien. Je sentais sa chaleur et je voyais que ma patience et ma tendresse le soulageaient aussi. Je vous raconte mon histoire de sexe. 

Puis, un soir, je caressais son torse doucement pendant qu’il s’endormait et j’ai posé mes yeux sur son sexe. Il dormait sans drap, nu comme un ver, car il faisait chaud. Ce beau sexe de chair rose, à la peau douce sous la toison des poils noirs, m’était irrésistible. Son corps délesté de tout artifice, étalé sur le lit, me touchait. J’ai alors tendu la main vers sa bite et je me suis mise à l’effleurer du bout des doigts. Dominique a respiré un peu plus fort, me signifiant qu’il ne dormait pas encore. J’ai caressé tout doucement le gland, la tige, les couilles. Je me sentais plus libre d’agir, alors qu’il gardait les yeux fermés. J’ai pris sa queue dans ma main et j’ai vu, sous mes yeux éblouis, qu’elle s’éveillait, qu’elle réagissait. 

Mon mari commençait à bander dur dans ma paume. Dominique soupirait légèrement et me laissait faire. J’ai alors accentué ma caresse, me mettant à le branler plus fermement. Je compressais ce gourdin qui m’avait donné tant de plaisir et qui me manquait tant. Sa bite commençait à frissonner dans ma main, je sentais son désir, son agitation, son envie, trop longtemps contrariée, de déverser son foutre dans quelque recoin secret. Son érection était maintenant très dure. J’ai humecté mes doigts et ai enduit de salive son joli sexe, en faisant glisser mes doigts sur sa longueur humidifiée, alternant les effleurements sensuels et la ferme stimulation de ce vit si puissant. 

Mon mari s’est mis à gémir doucement, toujours en gardant les yeux fermés. J’ai embrassé sa verge en me glissant à son niveau tout en restant allongée sur le côté, la faisant entrer profondément et en douceur dans ma large bouche. Il gémissait de plus belle. J’ai relevé la tête vers lui, la bouche humide de salive, les yeux enflammés. Mon mari a enfin ouvert les siens. Nos regards se sont rencontrés et, comme sous l’impulsion d’un sortilège, Dominique s’est redressé et m’a attrapée par les cuisses.

Son visage a disparu entre mes jambes et il s’est mis à me lécher adroitement et intensément mon mignon. Enfin ! Je retrouvais la vigueur de mon compagnon, et cette langue dont je gardais le souvenir cuisant sur ma fente, venait enfin la revisiter ! J’ai joui très vite sous l’excitation et la caresse intense sur mon clitoris. Alors que mon orgasme durait, mon nouvel amant passionné m’a pénétrée tout de suite, sans ménagement, multipliant les sensations dans ma chatte. Sa verge envahissait tout mon creux, emplissait mon sexe, redoublait ma jouissance par la pression de ses va-et-vient en moi. Mon chéri m’a pilonnée en étant au-dessus de moi, ses yeux perdus dans les miens, avec une férocité sexuelle sur les traits. Je gueulais mon plaisir, tandis qu’il me baisait et m’embrassait la bouche et les seins. 

Puis son visage s’est tendu en un cri silencieux, il a joui avec force en moi. Je sentais la puissance de son éjaculation et j’ai accueilli sa jouissance en le serrant encore plus fort contre moi alors qu’il me pénétrait dans un dernier sursaut. Dominique est resté longtemps dans mes bras après cette étreinte inattendue. J’ai pris ce geste pour de la gratitude et j’ai caressé son dos amoureusement. Nous n’en avons pas vraiment reparlé depuis, mais je lui refais souvent le coup des caresses dans un demi-sommeil et cela le réveille systématiquement !

(Photo à la une : Getty Images)

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