La bite du professeur
29 septembre 2023Ludovic, 76 ans, initie sa maitresse à la sodomie. Cette dernière a connu des orgasmes à répétition. Voici son témoigne !
La piètre qualité des photos mettra la puce à l’oreille des lecteurs. Eh oui ! Bienvenue en 1971 ! J’avais vingt-cinq ans à l’époque, j’arrivais du Sénégal et mon quotidien n’était pas tout rose, si vous me passez le jeu de mots. Professeur de mathématique, c’est bien simple, j’étais le seul enseignant noir de mon établissement dans l’Essonne. Mais les gamins m’aimaient bien et j’ai doucement été accepté par les collègues et les parents d’élèves. Surtout par Sylvie, divorcée, blonde et gourmande de fruits exotiques. Voici mon histoire de sexe !
Baise immortelle
D’aucuns s’en souviendront, cette année-là a été la dernière où le repos des écoliers tombait le jeudi. Aussi, tous les quatrièmes jours de la semaine, je me rendais chez la belle Sylvie, c’est son ex-mari qui gardait leur fils et nous avions toute la journée pour nous. L’époque était à la libération sexuelle, la pilule s’était imposée, le sida pas encore et ma maîtresse à la chevelure dorée ne manquait pas de fantaisie.
J’en veux pour preuve ces clichés, capturés par Anouck, une de ses amies photographes, venue tout spécialement pour assister à nos ébats et les immortaliser sur pellicule. Elle est d’ailleurs, elle aussi, devenue mon amante peu après. Sylvie lui avait vanté mes aptitudes physiques ainsi que la vigueur de mon pénis, sans oublier sa taille grand format dont elle était complètement accro.
Influencés par le cinéma porno des seventies, nous avons suivi un schéma qui ne correspondait pas forcément à ce que nous faisions habituellement, mais nous avons pris un plaisir fou à ce triangle amoureux, en venant même jusqu’à omettre la présence de l’objectif. Nus tous deux, nous nous sommes caressés longtemps, peau contre peau, Sylvie avait des gestes tout en tendresse en effleurant ma queue.
Une bite bien montée
Mon long bâton couleur d’ébène se mettait à bander systématiquement dès les premiers attouchements. Cette lionne, avec ses mains froides, avait un don pour me faire durcir comme jamais. Anouck a même demandé l’autorisation de palper mon sexe, c’était sa première bite africaine et elle n’avait jamais vu de verge de cette dimension.
J’ai adoré son contact timide, elle n’arrêtait pas de me demander pardon, gênée de montrer ainsi sa curiosité à mon égard. Rien de raciste dans sa démarche, juste une découverte qui, visiblement, la chavirait dans sa tête comme dans sa culotte. Mais Sylvie avait faim, elle vénérait ma longue liane, répétant toujours qu’elle avait un goût épicé,
bien loin de la fadeur européenne. J’en étais le premier ravi, d’autant que cette beauté mettait du cœur à l’ouvrage. Nous ne savions pas encore que « Gorge profonde » sortirait l’année suivante, mais nous étions déjà dans le thème. Quelle bouche !
Malgré la dimension de mon pénis, ce dernier disparaissait totalement, avalé tout entier jusqu’à ce que mes couilles viennent buter contre son menton. Combien de fois, au début, je n’ai pu résister à cette douce torture et ai-je juté ainsi ? Je me suis retenu cette fois, réservant mon plaisir éjaculatoire pour plus tard et me concentrant pour la suite. Nous avons baisé partout, Sylvie était insatiable, voulant que je la prenne dans toutes les positions.
Des orgasmes à répétition
Elle aimait tout avec une préférence pour le missionnaire, ma queue entrant trop profondément en elle lorsque je la pénétrais en levrette. Si elle se mettait à quatre pattes, et elle le faisait souvent, c’était pour que je l’encule. C’est d’ailleurs elle qui m’a initié aux plaisirs de la sodomie que je n’avais jamais pratiquée avant. Sylvie avait le sexe joyeux, elle riait beaucoup, jouissait énormément, ses orgasmes à répétition n’avaient de cesse de m’étonner et me redonnaient de la vigueur, flattant mon ego masculin.
Très exhibitionniste, elle écartait grand les cuisses pour m’offrir un panorama imprenable sur ma queue sombre, fourrant son bel abricot tout lisse, mais voyeuse aussi, aimant que nous baisions devant un miroir afin de tout regarder, faisant ainsi grimper son excitation en flèche. Pour finir en apothéose, elle voulait absolument que j’éjacule sur ses seins, c’est donc en me branlant au-dessus de ses beaux petits nichons qu’elle m’a fait venir.
Je n’avais pas craché depuis une semaine, c’est vous dire si mes giclées ont été puissantes et fournies. Elle a ri aux éclats en recevant mon foutre qui l’a aspergée jusqu’au menton. Cela fait cinquante-et-un ans, nous nous sommes éloignés, j’adorerais la revoir, si jamais elle lit ces lignes, qu’elle sache qu’à soixante-seize ans, je suis encore vert et que mon membre n’a rien perdu de sa vigueur !
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