Coups de queues dans l’eau !
15 mai 2023Lucille, 24 ans, a bravé l’interdit pour s’envoyer en l’air avec son amant pendant que son mari dormait. Elle nous raconte son histoire avec des étoiles dans les yeux !
Nous étions partis avec un groupe de boulot en séminaire d’entreprise dans une grande maison de vacances. Nous avions le droit d’amener un +1, car le moment se voulait convivial et était destiné à parler de la conciliation des vies personnelle et professionnelle. Moi, je suis partie avec mon copain. Beaucoup étaient venus avec leurs époux ou épouses. Je ne m’y attendais pas du tout, mais au fil du séjour, je me suis trouvée irrésistiblementattirée par l’un des hommes présents. Voici notre histoire de sexe !
Le début d’une histoire de queue
C’était un type des RH que je n’avais jamais vu, Bruno, il était vraiment très séduisant. Un mec de mon âge, jeune, mais déjà marié, cheveux ras avec une coupe militaire, une peau légèrement hâlée. Je me suis mise à lui tourner autour. Il ne fallait pas que ça se remarque. Mais j’ai vite senti que mon coup de cœur était réciproque, car il sortait toujours fumer une cigarette avec moi quand je m’isolais. Nous avons noué une entente pleine d’humour et de désir secret, pendant ces quelques jours, et notamment lors d’ateliers où nous pouvions nous mettre ensemble tandis que nos conjoints étaient occupés par d’autres activités.
Je pensais à lui le soir, allongée à côté de mon copain. Je me suis mise à avoir de plus en plus envie de lui, et envie de braver les interdits. Un soir, alors que mon mec dormait à côté de moi dans la maison endormie, j’ai envoyé un texto à Bruno, chargés de sous-entendus. « Tu dors ? Ta femme a de la chance de partager ton lit… » Ce fut le début d’une salve de textos équivoques, couchés à côté de nos partenaires respectifs. Je ne m’étais donc pas fait de film ! Bruno m’a écrit « rendez-vous dans la salle de bain commune ». Celle-ci était un peu à l’écart, au bout d’un couloir, loin des chambres. C’était une grande salle de bain avec une baignoire. Nous nous sommes retrouvés dedans comme deux étudiants qui essaient de se cacher de leurs parents.
Braver l’interdit pour la queue
Comme nous étions sous le coup du stress, nous nous sommes enfermés à clé prestement. Il a plaqué une main sur ma bouche. J’ai senti son corps tendu de désir contre le mien. Il a écarté sa main et nos bouches ont trouvé le chemin l’une de l’autre. J’ai tout donné dans ce baiser pour qu’il sente à quel point je l’avais désiré pendant tous ces jours. Il a redoublé l’intensité de ses propres baisers. Puis il m’a fait couler un bain chaud. Tandis que l’eau remplissait peu à peu la baignoire, je me suis déshabillée. J’étais bien, nue devant lui, je ne ressentais aucune gêne. Il a admiré mon corps et il s’est déshabillé à son tour. Je me suis jetée à quatre pattes à ses pieds.
Le grand miroir derrière moi reflétait mon cul, l’arrière de mes cuisses et mon corps de féline. Je me suis redressée pour prendre sa queue en bouche. Je l’ai avalé sur toute sa longueur, j’ai goûté sa tige tendue à fond contre mon palais. Elle était parfaite et se fondait à merveille entre mes lèvres. J’ai posé mes mains sur son bas-ventre tout en le suçant. Il s’est mis à photographier mon reflet dans la glace en pied qui reflétait nos deux corps en train de se prodiguer des caresses. Le bain allait bientôt déborder. Bruno a coupé le robinet d’eau chaude. Je suis entrée dedans sous ses yeux amusés, et je me suis délassée dans ma bulle d’eau.
Une queue bien raide
Lui s’est assis sur le rebord pour me prendre en photo. « Regarde l’objectif, tu es si belle », murmurait-il. Sa queue dressée surplombait mon visage. J’ai joué avec dans mon bain comme avec un joujou. Je me suis amusée à embrasser, à lécher et à mordiller le gland et la queue de mon amant. J’espérais que mon copain n’allait pas se rendre compte de mon absence et se mettre à ma recherche dans la maison. La chaleur de l’eau stimulait mon clitoris pendant qu’il passait son sexe sur mon visage. Je l’ai gratifié à nouveau d’une fellation, puis je suis sortie du bain pour me trouver à nouveau à quatre pattes sur le sol chauffé de la salle de bain.
Il m’a prise en levrette sur le carrelage, dans la lumière tamisée de la pièce embuée par les vapeurs d’eau chaude. Il s’est enfoncé en moi comme dans du beurre. J’adore quand ça tape dans le fond, alors je lui ai dit d’y aller franco. Il m’a baisée passionnément sur le tapis de bain, en se penchant sur moi et en bâillonnant à nouveau ma bouche de sa main à la fin pour me faire taire et ne pas éveiller les soupçons. J’ai joui en étouffant ma jouissance contre sa peau. Nos conjoints n’en ont jamais rien su, et nous sommes chacun retournés en catimini auprès d’eux.
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