La sans culotte

La rédaction 2 février 2020

Pat, 35 ans

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Avec ma compagne, nous nous apprêtions à sortir pour nous rendre à un dîner, un samedi soir d’automne. Nous étions seuls à la maison et buvions un verre dans la cuisine avant de rejoindre nos amis. Célia était sexy, elle portait des bottes en cuir comme j’aime. Nous étions assis à table et j’ai voulu regarder ses jambes par en dessous.

« Tu as mis quoi comme petite culotte ? » ai-je demandé en riant. « Vérifie toi-même », a-t-elle répondu avec un sourire en coin.

J’ai jeté un œil sous la table. Célia a écarté les cuisses. Et là, surprise, elle ne portait aucun dessous et je voyais sa chatte nue entre ses jambes, dont la peau était soulignée par des bas noirs ornés de dentelle. C’était pour moi une vision extrêmement érotique que de voir son sexe dénudé, sa peau lisse et accessible à la caresse, encadrée par le tissu de ses vêtements. Ça m’a tout de suite fait bander ! Je suis resté la tête sous la table, fasciné par cette vision. Célia s’est mise à se caresser, à se donner en spectacle pour me plaire. Je voyais ses doigts parcourir sa peau, s’exciter, écarter ses lèvres pour mon plus grand plaisir. J’ai pris quelques photos et je n’ai pas tardé à me retrouver à genoux sur le carrelage, pour venir la lécher du bout de la langue. Elle serrait ses cuisses gainées de dentelle autour de mon visage, de façon à me tenir captif pendant que je lapais sa chatte au goût de sel et de mouille.

Elle m’encourageait de ses gémissements et j’enfonçais ma langue plus en avant, léchant sa fente puis m’attardant sur son clito dressé. Je me suis arrêté, car nous étions déjà en retard à notre dîner et je souhaitais également la faire languir en vue de notre retour à la maison. Mais notre désir en a décidé autrement.

Nous nous sommes dirigés dans le couloir où, dans le miroir, j’ai admiré le reflet de Célia version femme fatale. Elle a capté mon regard et m’a retenu par le bras avant que je n’ouvre la porte d’entrée. Puis elle s’est agenouillée pour sortir ma queue de mon pantalon et l’engouffrer dans sa bouche. Elle désirait prendre la mesure de mon érection et voir l’effet qu’avait eu sur moi son absence de culotte et notre petit jeu sous la table de la cuisine. Ma bite bien dressée a attiré sa bouche et elle m’a pompé comme j’aime, avec plein de salive et une pression à la fois ferme et délicate. Dans la glace, je voyais mon corps entièrement habillé et ma bite qui sortait de mon jean. La bouche de Célia la faisait disparaître. Ses lèvres pressaient délicieusement sur mon gland et ma tige. Elle me pompait avec un vrai savoir-faire. Ma chérie ne me suce pas que pour me faire plaisir, elle me dit souvent qu’elle adore ma bite et cette vénération de ma queue me fait presque plus bander encore que l’acte en lui-même.

Sa main accompagnait la succion et elle a accéléré le mouvement. Elle me branlait avec ses doigts et avec sa bouche. Je la fixais dans le miroir en train de me sucer de plus en plus passionnément, avalant ma queue au plus profond de sa gorge, jusqu’à en frissonner. Je n’ai pas tardé à décharger mon jus, rendu fou de désir par son reflet et par la sensation de sa bouche qui happait ma queue.

Je voulais qu’elle prenne elle aussi du plaisir. Le dîner entre amis me semblait bien loin désormais. Je lui ai ordonné de se déshabiller dans notre couloir. Célia a ôté ses habits et elle s’est retrouvée uniquement vêtue de ses bas et de ses bottes.

Elle était tellement belle ! Ma coquine s’est accroupie devant moi et s’est mise à se masturber tout en me regardant. J’adore la provocation qu’elle met dans son regard dans ces moments-là ! « Vas-y, donne-toi du plaisir ». Je la prenais en photo, subjugué par sa beauté. L’exhibitionnisme l’excite beaucoup et elle s’est fait jouir comme ça, à mes pieds, son corps nu frissonnant. Quand nous sommes enfin sortis rejoindre nos amis (ils en étaient au dessert !), je n’avais qu’une hâte : rentrer pour la prendre enfin ! Pendant le repas, j’ai fait tomber ma fourchette à plusieurs reprises pour me rincer l’œil sous la table. À chaque fois, bougeant discrètement sur son siège sans que personne ne le remarque, Célia écartait largement les cuisses pour satisfaire mon côté voyeur. Je garde de ce moment de totale complicité un souvenir délicieux.

(Image à la une : Getty Images)

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« Alors que nous étions passés au dessert, et que nous étions tous les deux bien enivrés par le bon vin que nous servait notre couple d’amis sans relâche, nous nous sommes éclipsés dans leur chambre. Grégoire a soulevé mon pull et a contemplé ma tenue : le chemisier transparent, la jupe écossaise et les bas résilles devaient déjà bien le faire bander ! » Chloé

Sacrée soirée !

« C’était très chaud et nos sexes étaient à point. Il m’a alors demandé d’écarter les cuisses pour passer sa bite sur ma chatte et titiller mon clito. Agenouillé face à moi, il tenait sa queue pour la frotter entre mes jambes tandis que j’étais à demi allongée sur le canapé. Mon sexe frémissait de plus en plus à mesure qu’il se posait dessus. » Anne

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