La fiancée se fait souiller
20 octobre 2020Camille, 25 ans, vient de se fiancer et veut arrêter ses aventures de sexe… juste une dernière en souvenir, lors d’un salon où elle tient un stand.
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Je suis démonstratrice sur des salons médicaux et j’ai bien profité de la situation depuis que j’ai commencé il y a deux ans. Je suis beaucoup sur les routes et entre les séjours à l’hôtel, les salons eux-mêmes et les pauses sur les aires d’autoroute, j’ai beaucoup tourné, on va dire. Ce qui est drôle, c’est que je viens d’une famille de “bourges” et qu’on me prend toujours pour une coincée. J’adore quand les mecs découvrent mon côté salope !
Je suis fiancée avec Édouard depuis six mois maintenant. On se marie cet hiver. J’ai décidé d’arrêter les bêtises parce que je l’aime vraiment et que je ne veux pas lui faire de mal avec mes coucheries. Mais il m’a fallu un dernier petit coup pour me dire « C’est bon, j’arrête !»
J’étais sur un salon avec un nouveau client de ma boîte, représenté par Monsieur X. J’avais déjà eu à traiter avec. On ne va pas se mentir, c’était un gros con, genre macho de 50 berges, grossier, mal fagoté. Bizarrement, c’est par ce genre de mec que j’aime me faire baiser.
Ça me plaît de passer de petite princesse bien élevée à trou pour mec mal dégrossi. Franchement, regardez ma tête… Vous m’imaginez en train d’avaler du gros chibre sur des airs d’autoroute ou dans les loges de salles des congrès ? Eh bien ces types non plus et franchement, quel kif de voir leur regard quand je me mets à genoux devant eux !
Mais revenons à X. Ce gros balourd voulait négocier les prix en plein salon alors que je lui avais bien dit que j’étais là uniquement pour les démos. Mais Monsieur insistait. Alors je me suis approchée et je lui ai dit à l’oreille : « Écoutez, je ne peux pas promettre de geste commercial aujourd’hui. Mais je peux vous proposer une compensation en nature ». Puis je l’ai regardé bien en face et j’ai collé ma langue à l’intérieur de ma joue, pour mimer une fellation.
X. m’a regardée avec des grands yeux. Il essayait de comprendre si je me foutais de sa gueule. On pouvait presque entendre les rouages de son cerveau faire « clic, clic ! » Mais j’étais très sérieuse et déjà très excitée. J’ai dit à la collègue d’à côté de surveiller mon stand et je suis partie vers les loges. Je connais bien la salle et je savais où était le meilleur coin pour un petit coup en toute discrétion. Je savais que X. suivait à quelques mètres derrière moi.
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Quand il est entré dans la loge la plus au fond, j’étais déjà assise sur une banquette. Elle était toute tachée. Je l’avais déjà utilisée quelques mois plus tôt et certaines auréoles étaient le résultat d’une baise en sandwich avec deux commerciaux. J’ai pris mon air de gourmande et j’ai fait signe à X. de s’approcher.
Quand il a été planté devant moi, j’ai attrapé son pantalon et j’ai ouvert le zip. Pas la peine de farfouiller beaucoup, Monsieur avait une belle andouillette déjà en demi-molle. Je l’ai sortie et je l’ai respirée à fond. J’avais déjà envie de la prendre en bouche mais j’ai attendu que X. me demande.
Timidement, il m’a dit : « Je veux bien que… heu… vous fassiez ce que vous disiez tout à l’heure ». J’ai attrapé sa nouille et j’ai commencé à le branler, mais sans trop me donner. X. a continué à bredouiller : « Je peux prendre des photos ? Vous êtes vraiment très jolie… » J’ai souri, toujours en branlant mollement. Peu à peu, mon cochon s’est lâché : « Oui, c’est bon… Mais je voudrais une pipe… Vous allez me sucer, hein ? J’en ai très envie… »
Ça n’était pas un beau parleur comme certains. J’ai attrapé la base et j’ai ouvert la bouche. Hum, le goût était encore plus fort que l’odeur… J’ai nettoyé son bout avec ma langue. X. était très réceptif au suçage et encore plus à la pompe. Je l’ai avalé progressivement pendant qu’il lâchait des « Oh oui ! Oh, suce ! » Quand je l’ai avalé jusqu’à la base, j’ai senti que je l’aurais en quelques minutes.
Je me suis activée d’avant en arrière en le regardant dans les yeux. Mon cochon devenait de plus en plus bavard. Il lâchait maintenant des « Avale ça, putain ! » et des « Continue, je vais te repeindre le palais ! » J’ai tout donné, en espérant qu’il allait vraiment arriver au bout… Il était très rouge et soufflait énormément à chaque fois que j’avalais à fond.
Il a fini par relever sa chemise et s’est mis à faire des mouvements d’avant en arrière. J’ai arrêté de donner le rythme et je me suis laissée faire. La sève montait, je sentais les premiers spasmes. J’ai couiné pour encourager X. et bim ! J’ai enfin reçu son foutre bien crémeux en pleine gorge. Cette fois, pas de tache sur la banquette, j’ai tout avalé proprement. Mais Monsieur était un peu déçu : « J’aurais aimé une photo où tu montres ce que je t’ai mis dans la bouche… » Alors pour compenser, je l’ai laissé prendre quelques clichés de ma chatte.
Je la réserve depuis à mon fiancé mais ces petites négociations avec des gros cochons vont me manquer !
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Franck
J’adore ton texte…❤️