L’appel de Laure

La rédaction 1 janvier 2023

Nathan, 27 ans, s’apprête à baiser la femme d’un mari cocu !

photo cocu

Moi ? Chauffeur d’une ambassade en plein Paris.

Elle ? Laure, traductrice.

Ce qui nous a rapprochés ? Son goût immodéré pour les énormes queues et son mari candauliste.

Laure a la réputation de ne s’intéresser qu’aux huiles et de ne coucher qu’avec des consulaires, aussi n’en suis-je pas revenu lorsque j’ai compris qu’elle me chassait. Elle m’a demandé de la ramener chez elle dans une des limousines du corps diplomatique. À peine étions-nous sortis du parking, elle s’est penchée au-dessus de la console centrale pour tâter mon bâton de plaisir, j’ai saisi que nous n’allions pas en rester là.

« Tu as envie de me baiser ? » m’a-t-elle proposé cash !

J’ai répondu oui et accepté la condition qui allait me permettre d’accéder à son Graal : son mari assisterait à nos ébats et prendrait des photos. J’avoue que la situation m’a même surexcité !

Son époux, effectivement, nous attendait dans le salon, en sirotant un verre de whisky, un appareil photo était vissé sur un trépied, il m’a salué de la tête tandis que Laure se laissait couler à mes pieds pour extraire ma queue sous le regard intéressé de monsieur, et commençait à me sucer à grand renfort de bruits très expressifs.

Cheese !

J’ai entendu le reflex se déclencher, actionné à distance par le cocu qui ne perdait pas une miette du spectacle.

Le reste s’est déroulé dans la suite parentale, Laure m’a encore pompé, agenouillée au sol, puis elle a ôté son body et s’est allongée, jambes relevées et cul écarté, c’était à moi de jouer. J’allais la lécher quand elle m’a lancé, sur un ton péremptoire, « Non, juste ta queue, je veux que tu me baises fort. »

Je ne me le suis pas fait dire deux fois. Je bandais bien dur, je ne me rendais même plus compte de la présence d’un tiers, j’ai commencé par une valeur sûre avec un missionnaire, les chevilles de Laure sur les épaules, le cul bien cambré, ma bite s’est enfoncée en elle jusqu’aux couilles. Mon sexe était enserré par sa chatte étroite, un étau de satin se refermait sur mon gland et enveloppait ma hampe large et longue. Délicieuse sensation que de se sentir fondre dans un vagin qui, doucement, s’ouvrait et s’adaptait aux dimensions hors normes de mon engin.

Laure, habituée aux gros calibres, ne bronchait pas, au contraire, elle me souriait tout en caressant mon torse, pas un regard, en revanche, à son mari qui continuait ses prises de vue en nous tournant autour.

J’ai bien compris qu’il allait falloir varier les positions afin que toutes les facettes du corps de rêve de Laure soient mises en valeur sur les clichés. Elle s’est donc glissée sur moi et m’a enjambé, ses fesses se sont écartées, elle a entrouvert ses petites lèvres et s’est empalée sur ma bite. Rares sont celles qui ont autant de souplesse dans le bassin, Laure s’est déhanchée, décollant son cul pour mieux l’écraser en claquant sa croupe contre moi. Une furie, un ouragan, baiser devant son époux, profiter de mon braquemart bien fiché en elle, son orgasme a été retentissant. Sa cyprine coulait en abondance, trempant les draps, nos entrejambes et évidemment sa rondelle. Allais-je pouvoir me risquer à caresser son petit trou ? J’ai allongé le bras et un de mes doigts s’est pointé au centre de la cible rose. J’ai vu la raie s’écarter encore un peu plus et l’anus s’ouvrir telle une corolle en pleine éclosion.

J’ai pu entrer mon gland dans ce rond tant désiré, puis quelques centimètres de ma hampe, là, sa main m’a stoppé, elle n’a pas pu aller plus loin. J’ai fait quelques va-et-vient, mais j’ai bien senti que j’étais vraiment trop large. En revanche, Laure a décollé de nouveau tandis que je lui doigtais l’arrière. Elle réclamait désormais mon foutre, elle m’a invité à la baiser une dernière fois en missionnaire. J’ai bien compris que seul mon plaisir était en jeu cette fois. J’aime, pour jouir, aller doucement dans le fourreau vaginal, j’entendais les clic-clacs derrière mes couilles, le mari ne voulait rien rater de cet instant. Laure m’a caressé les bourses et roulé une pelle d’enfer, j’ai gémi et j’ai senti mon flot de crème se déverser au fond de la chatte ouverte.

Mon amante a joué avec sa fente gluante de mon sperme et m’a invité à lui donner ma bite à sucer, elle désirait goûter ma semence et nettoyer mon vit de toutes traces suspectes. J’ai titillé son piercing de nombril et ses aréoles qui m’attiraient encore et toujours. Finalement, j’ai été prié de rester la nuit et nous avons baisé tous les trois ensemble cette fois. Laure a voulu une double pénétration, mais c’est son mari qui l’a enculée.

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