Le deuxième effet interstron.ru
13 novembre 2019Laure, 21 ans
J’étais loin de penser, en vous écrivant ma dernière lettre [ndlr : « La belle et les motards », interstron.ru n° 242, p. 42], que cela allait me donner l’occasion de recommencer à la puissance 10 ! Voilà comment ça a démarré. Pour aller à la fac, je dois prendre un train. Tous les jours, j’y croisais le même étudiant. Je savais qu’il se prénommait Aurélien.
Un soir, dans le train du retour, il est venu en face de moi et m’a demandé si je m’appelais bien Laure. J’ai répondu oui, il m’a glissé : « Moi aussi, j’ai de bonnes lectures ! » et, discrètement, il a sorti de son sac le numéro d’Union dans lequel mon courrier avait été publié. J’avais la trouille qu’il en parle à d’autres, mais il m’a rassurée : « Je l’ai fait lire à un pote, il a trouvé ça génial ! » et il a ajouté : « Si tu as envie de recommencer, fais-moi signe… » J’étais sciée par cette proposition. Il a enchaîné : « Mon pote fait des études de kiné, tu veux voir sa photo ? » Là, il a sorti son portable et m’a mis sous les yeux la photo de son copain Samir, un beau mec aux grands yeux noirs et au visage rond. Puis, on a échangé nos numéros de portable. Assez vite, il m’a envoyé des petits messages.
On se croisait de plus en plus souvent dans le train. J’ai fini par lui demander de préciser sa proposition. Ce serait dans son appart, ses deux colocs partaient pour le week-end. Aurélien a donné mon numéro à Samir, et ce dernier m’a envoyé quelques photos de lui, de moins en moins habillé. Nous avons échangé des SMS de plus en plus chauds, du genre : « Prépare bien ta chatte, je révise le Kama-sutra« , ou encore : « Deux bites pour toi toute seule pendant deux jours, est-ce que tu mesures ta chance ? » Ils m’avaient bien chauffée tous les deux.
Le samedi matin, je me suis pointée chez Aurélien. Il sortait de la douche, il était torse nu, une serviette nouée à la taille. Il m’a fait entrer. On s’est assis sur un vieux canapé côte à côte, et il m’a dit avec des yeux de chien battu : « Je prendrais bien un petit apéro ! » Nous nous sommes longuement embrassés. J’ai caressé ses cuisses, de plus en plus haut. La serviette s’est dénouée, et ma main est entrée en contact avec ses couilles poilues et son sexe raide. Je l’ai branlé un peu, et j’ai dégagé le gland. Aurélien a demandé : « Suce-le ! » Il a écarté les jambes. Moi, je me suis agenouillée sur le canapé et je l’ai sucé un bon moment avant de le terminer à la main. Il soupirait fort, la bouche ouverte, la tête en arrière, les yeux fermés… Il gémissait : « Putain, que c’est bon ! » Puis il m’a déshabillée. Ses doigts et sa langue habiles m’ont fait jouir dans des soubresauts interminables.
Nous nous sommes rhabillés et nous avons préparé le déjeuner. Là, Samir est arrivé, une grosse boîte de capotes à la main (entre nous, le lundi matin, la boîte était vide…). Il était un peu plus petit qu’Aurélien mais plus costaud. Après le repas, Aurélien est allé faire la vaisselle en nous lançant avec un sourire : « Je vous laisse faire connaissance. » Samir m’a invitée à m’asseoir sur ses cuisses, jambes écartées. Il m’a demandé de fermer les yeux et m’a roulé une pelle magistrale. Du grand art ! Ses mains ont défait les pressions de mon chemisier. Samir s’est amusé à faire durcir mes mamelons. Mes lèvres intimes se gonflaient, et la mouille humidifiait ma chatte affamée.
Samir m’a totalement dévêtue, ses doigts ont fouillé mes chairs intimes et la raie de mes fesses jusqu’à mon petit trou, qu’il a aussi visité. Tout en agitant ses doigts, il m’embrassait frénétiquement. J’ai joui vite et fort. Il a extrait ses phalanges de mon minou et me les a tendues pour que je les suce. C’était son tour : il m’a présenté son esquimau à déguster. Sa belle queue sombre et épaisse remplissait presque ma bouche. Je l’ai sucé jusqu’au sperme.
A partir de là, le week-end a pris des allures de folie. On a fait beaucoup de trucs à deux, et encore plus à trois. On s’était mis d’accord : rien que du sexe et du plaisir. Jamais je n’ai autant joui ! Les deux garçons étaient très doux. J’étais gourmande de tout ce qu’ils me faisaient, je me suis laissé emporter par leur imagination et leurs désirs. Par exemple, Aurélien m’a douchée, lavée, caressée partout, puis a fini de me faire jouir en m’introduisant le manche de sa brosse à dents électrique en marche. Le dimanche matin, j’étais levée la première et je préparais le petit-déjeuner, quand Aurélien est arrivé en claironnant : « Ma bite veut dire bonjour à ta chatte ! » Il m’a fait allonger sur la table de la cuisine puis, après avoir fait mouiller ma chatte avec sa main, il m’a écarté les cuisses et pénétrée. C’est dans la même position que le dimanche midi, j’ai servi de coupe à mousse au chocolat à mes deux amants. Ils m’ont fait allonger, ont soulevé ma jupette où je n’avais rien dessous, puis ont étalé la mousse sur mon ventre, mes cuisses, ma chatte. Puis, chacun à leur tour, ils l’ont dégustée jusqu’à ce que mon jus de plaisir se mélange à la mousse.
Ce même jour, Aurélien et moi buvions un café, assis dans la cuisine. Samir est arrivé et m’a fait m’asseoir sur lui, dos contre son ventre. Il m’a pénétré la chatte par l’arrière, me faisant glisser sur son pieu bien réveillé. Il voulait qu’on s’occupe aussi de mon trou du cul. Il l’a préparé avec du lubrifiant, a dilaté mon anus, mais c’est Aurélien qui m’a enculée. Il est entré doucement, comme dans du beurre, il a su me faire jouir. J’ai aimé, mais je préfère dans mon abricot. Samir a eu une autre idée : il s’est couché sur le dos, moi sur lui, le dos contre son torse brun, sa queue dans moi, et Aurélien s’est occupé de mon clito avec ses doigts et sa langue, pendant que Samir me pelotait les seins. C’était génial.
Puis, Samir a voulu que l’on joue, alors ils m’ont bandé les yeux et ont présenté leurs bites à ma bouche. Il fallait que je devine laquelle était à qui, mais elles étaient tellement différentes que je ne pouvais pas me tromper. Toujours les yeux bandés, ils m’ont attaché les pieds aux coins du lit, un oreiller sous les fesses, et je devais dire quelle bite était dans ma chatte. Un peu plus tard, c’est la langue que je devais deviner, gage à l’appui. Le gage, c’était une pipe à celui dont je ne devinais pas la langue dans ma grotte gourmande. Je ne me suis pas trompée, mais des pipes, ils en ont eu ! Ils ont voulu que je me mette à quatre pattes, un me prenait en levrette et l’autre fourrait sa bite dans ma bouche, puis ils échangeaient leurs places.
Quand nous nous sommes couchés le soir tous les trois, ils se sont « disputés » ma chatte, c’était chacun leur tour, et j’ai bien écarté les cuisses pour qu’ils me la mettent au plus profond. Samir, debout, m’a soulevée par les fesses. Je m’accrochais à son cou, sa grosse queue est entrée dans ma moule gluante, je la sentais m’emplir tout le vagin, et je la serrais pour qu’elle ne ressorte pas. Je me suis laissé aller en arrière, soutenue par Aurélien. J’ai noué les jambes autour de la taille de Samir, et mes mains se sont accrochées dans le dos d’Aurélien. Les deux mecs se faisaient face, et Samir m’a pistonnée doucement. Mais nous n’avons pas pu tenir longtemps dans cette position… Sur le lit, Aurélien m’a terminée avec sa langue, alors Samir est venu me mettre son gros gland dans la bouche et j’ai tout avalé. Nous étions vraiment repus, fatigués et heureux de nos jouissances.
Depuis ce fameux week-end, je suis avec Aurélien. Nous prenons le même train, nous nous embrassons à pleine bouche, sa main vient quelquefois sur mes fesses ou mes seins. Il me demande : « Est-ce qu’on nous regarde ? » Si je lui réponds oui, ça l’excite et il devient fougueux. Quelquefois, le désir est grand, il bande, je mouille, alors nous avons un code : à travers le tissu de son pantalon, dans sa poche gauche, je vérifie la présence d’une capote… Alors, Aurélien me dit : « T’es une vraie salope« , et je lui réponds : « Ta bite dans ma chatte, et vite ! » Il part aux toilettes, je le rejoins, nous mettons nos sexes à l’air, je me colle le plus possible, le dos contre la paroi, les vibrations envahissent mon corps, je présente ma chatte brûlante, écarlate et baveuse à Aurélien qui me baise. C’est trop bon. Les vibrations du train augmentent notre plaisir, et le bruit couvre mes soupirs de jouissance.
Aurélien sait que quand il sera absent, si j’ai l’occasion de passer une soirée avec Samir, ce ne sera pas pour enfiler des perles. D’ailleurs, on a prévu de recommencer un petit week-end sexe tous les trois. Aurélien m’a aussi présentée à son coloc’ et, au moins une fois par semaine, je vais le rejoindre pour que sa bite me donne du plaisir. Aurélien n’est pas jaloux, ce qui lui importe, c’est que je jouisse…
(Image à la une : Getty Images)
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