Le petit oiseau va sortir

La rédaction 14 mai 2021

Un photographe parcours les plages à la recherche de couples bien torrides qui aiment s’exhiber. Ce coquin n’en perd pas une miette et se masturbe ni vu ni connu.

Le petit oiseau va sortir

Je suis photographe en tous genres, toujours à l’affût d’un spectacle appréciable. Au fil des années, je me suis fait une petite collection privée assez sympa. Je suis très bavard, et j’ai du mal à raconter en deux mots ce que je vis très intensé­ment. Je vais m’y essayer pour vous. Voici mon histoire porno. 

Je me rends régulièrement au lac Salagou, dans l’Hérault, à la re­cherche d’une pe­tite exhib. Les pla­ges peuvent y être très chaudes. Je passe des annonces pour trouver des modèles. J’aime les courbes des corps et je prépare une série de clichés sur l’érotisme. Mais cette année, je n’ai eu que des modèles qui ont annulé au dernier moment, dont une femme enceinte.

Une fois garé sur le parking, j’ai vu arriver en trombe un 4×4, avec de la musique plein pot. Une blondinette en est descendue, petit débardeur et short hyper sexy sur un petit cul rebondi. J’ai tout de suite apprécié sa démarche pleine d’énergie, son tempérament de feu. Elle s’est appuyée contre la portière en se déhanchant. Je suis passé près d’elle. Je connaissais déjà la réponse, mais je lui ai quand même demandé si le coin était natu­riste. Elle a eu un large sourire et m’a expliqué que le meilleur spot, c’était une petite crique, un peu plus loin, avec un bos­quet de roseaux.

Je m’y suis rendu. Un homme était déjà sur place. Nous avons entamé la conver­sation. Quelques minutes plus tard, la blondinette s’est poin­tée avec un homme torse nu. Ils ont étalé leur serviette à quelques mètres de nous. Elle s’est mise en string et a roulé des pelles spectaculaires à son mec. Leurs mains se baladaient com­me il faut, c’était le grand étalage li­bertin… Ils s’assu­raient de temps en temps que nous les regardions bien.

Puis, le type et sa copine se sont installés tête-bêche. Il s’est vite glissé entre ses cuisses pour la lécher, écartant bien le string. Elle s’est mise à le sucer. Ensuite, il a sorti un tube de son sac de plage et, sans lui retirer son string, il l’a sodomisée, tête dans le sable… Et que je te retourne, sur le dos, sur le ventre, ils nous fai­saient bien voir de quoi ils étaient capables. La petite blonde y prenait beaucoup de plaisir, à en juger par ses cris. Ils l’ont fait au moins quatre fois. À la cin­quième, je suis rentré chez moi, un peu frustré, je dois l’avouer, même si regarder reste extrê­mement agréable…

Le lendemain, je suis allé sur une plage plus isolée. J’y ai surpris, dès mon arrivée, un couple nu qui se massait allégrement. La femme m’a vu. Je me suis planqué derrière la roche, afin de me faire oublier, en retouchant l’épilation de mon sexe. Tout à coup, j’ai senti une ombre sur ma peau. La femme, une vraie bombe, me surplombait. Elle est ensuite allée s’asseoir un peu plus loin, sur une pierre, cuisses grandes ouvertes, en regardant bien dans ma direction. Le libre-échange du voyeur et de l’exhib… Je me suis passé de l’huile sur le corps, en insistant sur mes cuisses et mon sexe, qui devenait de plus en plus raide et gros.

EIle s’est rapprochée de moi en me conseillant, avec un clin d’oeil, de faire attention aux coups de soleil. Ensuite, elle a rejoint l’homme qui l’accompa­gnait. Je me demandais sérieu­sement à quel petit jeu elle jouait. Quelques minutes plus tard, pourtant, elle est revenue vers moi pour m’emprunter ma pince à épiler. Elle avait une écharde dans le doigt. Je la lui ai tendue de bon cœur, mais elle a insisté pour que je la lui retire moi-même, et m’a tendu son index. Pendant que je la soignais, elle s’est collée à moi, son sein contre ma peau. Sa jambe s’est insinuée entre les miennes, faisant rouler mon sexe contre sa cuisse. Elle a pris ma queue en main, comme pour me sucer.
Malheureusement, j’ai dû l’arrêter. J’avais une très grosse irritation au gland, à cause de mon faux piercing.

EIle a souri, compréhen­sive, et m’a demandé si je savais masser… « Et votre mari ? » Elle m’a répondu qu’il n’était pas jaloux pour un sou. Elle est allée récupérer sa paillasse pour l’allonger près de moi. J’ai entrepris son massage, des pieds à la nuque. Elle se tor­dait, m’offrait de plus en plus sa croupe, comme une petite chienne, je suis passé à un mas­sage bien plus ouvertement sexuel. Je lui ai caressé la chatte et les fesses, son sexe était chaud et trempé, j’ai mis quatre doigts à l’intérieur, il s’ouvrait toujours plus. J’en ai sorti deux pour les lui rentrer dans l’anus, et je l’ai masturbée très fort, en faisant coulisser ma queue entre ses fesses.
À ce moment-là deux hommes qui se caressaient le sexe en nous matant. Je ne sais pas si c’est grâce à eux, mais j’ai inon­dé la raie du cul et le dos de mon allu­meuse. J’ai pris du recul, et la nana a fait signe aux deux autres mecs de s’approcher. Elle en voulait encore ! Ils n’ont pas été longs à investir sa bouche et son corps.

C’était un très bel après-midi, très agréable. Je ne regrette qu’une chose, c’est l’état de mon sexe ce jour-là. Ça m’apprendra à frimer avec des faux piercings… Si vous êtes libre d’esprit et dans votre sexualité, intéressé(e) par une séance photo en studio ou dans la nature, contactez-moi !

(Image à la une : Getty Images)

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