L’employé modèle

La rédaction 17 août 2020

Agnès, 40 ans, se fait chauffer par son boss. Un jour, alors qu’elle est avec son mari et son boss, le trio va déraper sur une baise torride.

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Je m’appelle Agnès et j’habite à Bayonne. Mon mari Jean-Luc et moi travaillons ensemble pour une entreprise de marketing spécialisée dans les sports outdoor. Surf, escalade, glisse… Le secteur nous correspond : nous sommes sportifs et aventuriers. Notre patron, Christophe, l’est également. Cela me séduit mais irrite souvent Jean-Luc, qui voit bien le manège dangereux du boss.

Chris, c’est un type du Sud-Ouest. Bavard, charmeur… Dragueur aussi.
Depuis 2 ans que j’ai rejoint l’entreprise, il me fait des compliments, toujours devant mon époux, qui lui travaille pour la société depuis 5 ans. C’est à base de : « Tu es très en beauté aujourd’hui. C’est pour Jean-Luc ou pour moi ? » Ou bien : « Ton mari est chanceux, j’aimerais bien être à sa place ! » Je ne peux pas m’empêcher de sourire, flattée. Mais surtout, ses remarques n’ont jamais lieu quand nous sommes seuls. J’y ai toujours vu une marque d’attachement à mon mari, une forme de camaraderie un peu bourrine. Jean-Luc, lui, serre les dents.

Jusqu’au soir où nous avons dû rester tous les trois bosser sur une grosse présentation. Mon mari aurait pu nous laisser finir seul, mais il s’est attardé
« histoire que rien ne dérape », m’a-t-il confessé par la suite. C’est justement sa présence qui a mis le feu aux poudres…

Vers 21 h, Chris est sorti du bureau où nous nous étions installés pour appeler sa femme et lui dire que nous avions terminé. Quand il est revenu, nous étions dans une position équivoque : chauffé par les compliments que le boss m’avait adressée toute la soirée, Jean-Luc avait profité de son coup de fil pour se jeter sur moi et m’embrasser fougueusement, tout en palpant ma poitrine à travers mon chemisier.

Chris a déboulé et a laissé échapper un sifflement. Puis il a lancé : « Un peu plus et je la trouvais à tes genoux pour une gâterie ! ». Jean-Luc a vu rouge. D’un ton sec, il a rétorqué : « Tout à fait. Parce qu’Agnès est ma femme. Et elle me fait ce que je lui demande. » Il a alors posé ses mains sur mes épaules et a exercé une pression telle que j’ai dû plier les genoux. Jean-Luc a grogné : « Montre à Chris ce que tu fais à ton mari ».

J’étais totalement interloquée. Et déjà excitée ? Je ne saurais dire, tant la situation me paraît, aujourd’hui encore, absurde. J’ai regardé mon mari défaire le zip de son pantalon et je me suis retrouvée en face de son sexe en érection. J’ai senti ses mains sur ma tête, une nouvelle pression et mes lèvres ont touché son gland. J’ai entrouvert la bouche et avalé.

La queue de Jean-Luc était large, brûlante et son odeur âcre m’a donné le tournis. Je n’arrivais pas à réaliser que j’étais en train de faire une fellation à mon mari devant notre patron ! Mais ce dernier m’a mise la réalité bien en face en s’avançant vers nous. J’ai fermé les yeux et entendu le bruit d’une braguette… Mon dieu, et si Jean-Luc décidait de lui casser la figure ?

J’ai ouvert à nouveau les yeux et j’ai vu le regard de mon époux. On pouvait y lire du défi et de la fierté. Chris se masturbait. Son sexe était plus étroit mais assez long, les poils bien élagués. Une vraie belle queue. Je la voulais. J’ai détourné un peu la tête, espérant que Jean-Luc m’en laisserait l’accès. Mais il a fait mieux : de sa main, il m’a de nouveau guidée, direction le chibre patronal…

C’était lui qui décidait et ça l’a rendu d’un coup tout puissant à mes yeux : j’étais à lui, au point qu’il pouvait me partager avec un autre. J’ai pris une grande respiration et j’ai gobé ce nouveau sexe tendu vers moi. Quel plaisir de sentir une autre odeur, un autre goût sur ma langue… J’ai tété avec délice.

J’ai adoré pomper ces deux hommes, d’abord alternativement, puis ensemble. Sentir leurs glands trempés frotter l’un contre l’autre dans ma bouche a été une révélation sensuelle. Puis Jean-Luc a voulu me prendre, je me suis donc allongée sur lui dans le canapé en cuir du bureau. J’ai aimé qu’il me baise devant Chris.

Quand mon patron est venu près de nous, j’ai ouvert la bouche. L’idée de me faire pénétrer par Jean-Luc tout en satisfaisant son chef m’a remplie d’un désir brûlant. Plus bas, mon mari décrivait des cercles avec son bassin et je sentais son sexe m’écarter avec délice. J’ai imaginé que Chris pourrait le rejoindre pour une double pénétration… Serais-je assez large pour que deux bites rentrent simultanément ?

Mais Chris a choisi ma bouche offerte et je n’ai pas eu ma réponse… en tout cas, pas cette fois-là ! Surexcité de me mater par en dessous, tandis que je me faisais baiser la gorge, mon mari a joui quelques minutes après. Il s’est retiré et ma figue élargie a laissé échapper un long filet de jus blanc, des gouttes tombant avec un petit bruit sur le cuir du canapé. Chris n’en pouvait plus, et il m’a plaquée contre son sexe et m’a remplie à son tour. La bouche pâteuse et le souffle court, j’ai mis un moment avant de reprendre mes esprits.

Il y a eu une minute de flottement, puis Chris s’est rhabillé et a quitté la pièce sans rien oser dire. Jean-Luc m’a aidée à me remettre d’aplomb et ce moment a été d’une grande sensualité : collante de deux spermes différents, je me suis laissée nettoyer puis rhabillée par mon mari adoré.

Qui est Chris pour nous depuis cette folle soirée ? Un patron, mais aussi un amant et je dois dire, un ami. Depuis des semaines, nous partageons une intimité que je ne saurais nommer. Je sais que sa femme, Delphine, est très belle. Je n’ose pas encore le proposer à mes deux amants, mais je rêve qu’elle se joigne à nos ébats enflammés…

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