Chantier interdit au public
25 avril 2021En se rendant sur un chantier Jenny, 32 ans tombe nez à nez avec … une énorme bite.
C’était l’été dernier. Mon mec m’avait demandé un service. Je devais me rendre sur un chantier pour retrouver un de ses potes et récupérer des pots de peinture. J’ai accepté sans problème, car je comptais justement aller dans le même quartier pour faire les soldes. On frôlait les 30 degrés ce jour-là. Avant de sortir, j’ai opté pour une minijupe, des mules très BCBG et un T-shirt ample, sans soutien-gorge. Je vous raconte mon histoire de sexe.
Arrivée à l’adresse indiquée, au bas d’un immeuble, j’ai été un peu surprise car il n’y avait aucune entrée. Il fallait escalader des échafaudages ! J’ai pris le téléphone et j’ai appelé le pote de mon chéri. Il était au deuxième étage. Quelle galère… Pendant un court instant, j’ai eu l’idée de partir. Je n’étais vraiment pas en tenue pour un chantier. Puis, un maçon est arrivé. J’en ai profité pour demander mon chemin : un vrai parcours du combattant dans les échafaudages !
Parmi les ouvriers présents, certains me mataient, d’autres sifflaient, mais j’étais lancée et je n’allais pas reculer. Pour accéder au deuxième étage, il fallait monter à une échelle. Là, bien sûr, j’ai trouvé du monde pour la tenir ! Tant d’hommes prêts à rendre service, c’était vraiment agréable…
Bizarrement, la situation m’excitait. Je commençais à mouiller. J’avais le string humide, les jambes en coton et la gorge sèche. Des mains me parcouraient des pieds aux cuisses, et quelques-unes s’aventuraient sous ma jupe. Je ne pouvais plus reculer ! J’ai lancé : « Arrêtez un peu de mater ! » Un des types m’a répondu qu’il n’y avait pas moyen de faire autrement. Comme je montais à l’échelle, je ne savais pas trop ce qu’il se passait derrière. Un autre a ajouté que l’on voyait bien mon string et qu’il était joli ! Un troisième a commenté : « II ne sert à rien, il est trop petit ! »
Une fois en haut, j’ai senti mon string qui descendait. Un ouvrier m’avait suivi sur l’échelle et avait glissé sa main sous ma jupe ! Je me suis retrouvée dans une vaste pièce sans lumière… Un par un, tous les mecs m’ont rejointe à l’étage… Des doigts me tripotaient. Leurs propriétaires ne disaient pas un mot. Un gus m’a attrapé par la taille, m’a soulevée comme une plume et m’a déposée sur une grande plaque de polystyrène. Et là, stupeur! J’ai vu une bite s’approcher de ma bouche… C’était celle du copain de mon mec.
Elle était énorme ! Et ça me plaisait franchement. Je me suis laissé faire. Je devinais que les quatre, cinq, six hommes qui m’entouraient préparaient quelque chose. L’un d’eux m’a mise à quatre pattes. J’avais le gros engin dans la bouche, tandis qu’une autre s’introduisait dans ma chatte. Un doigt s’est immiscé dans mon trou du cul.
Il y avait trois types qui se branlaient en matant, ça me rendait folle d’excitation. Ils ont tous arrosé le sol de leur jus, les uns après les autres. Celui qui était derrière moi s’est retiré pour gicler sur ma raie. J’adore sentir le sperme chaud sur mon cul… Ils ont viré les bâches qui masquaient les fenêtres. Les pots de peinture étaient prêts.
En tout cas, mon mec avait bien manigancé son plan ! Tout ça pour que je lui raconte tout en rentrant à la maison. Ça l’a bien excité pour me défoncer, ce salaud ! Depuis, j’ai un petit pincement au coeur à chaque fois que je passe devant un chantier. Bisous à toute la rédaction !
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