Eau, la salope !
18 avril 2021En vacances au Cap d’Agde, Leïla, 23 ans fait la rencontre d’un papa..très sexy.
Cet été, j’ai passé une semaine près du Cap d’Agde. Je pensais vivre des aventures en club libertin, mais mon meilleur plan a finalement été un papa très hot rencontré à la piscine du village-vacances où je logeais. Je vais vous raconter mon histoire de sexe.
Je passais l’après-midi sur un transat quand Monsieur est arrivé avec ses deux enfants. Il les a mis à l’eau puis est venu s’installer à deux sièges de moi. En même temps qu’il les surveillait, j’ai bien vu qu’il me matait derrière ses lunettes de soleil. Il faut dire que je suis ce que l’on appelle un avion de chasse, sans vouloir me vanter bien sûr ! Jugez-vous même : 1,72 m, 48 kg, 95D, brune aux cheveux longs et des cuisses entre lesquelles il fait bon se glisser. Les regards que me lançaient Monsieur étaient très clairs : la came qu’il avait sous le nez lui plaisait. Mais sa femme n’a pas eu le même enthousiasme…
À peine notre petit jeu de regards avait-il commencé que Madame la relou s’est pointée à la piscine. La maternité ne lui avait pas fait du bien et on sentait qu’elle était mal à l’aise dans son maillot boudinant. Elle s’est directement jetée sur son mari et a commencé à lui faire une scène. « Et que tu ne réponds pas à ton portable, et que tu avais l’air bien occupé à mater… » Je me suis mordillée les lèvres pour ne pas rire. Que faire de pire à un mec que l’humilier en public, en s’affichant en plus comme l’hystéro de service ?
La meuf s’est tirée avec ses deux gamins sous le bras. Mais avant que son type ne la suive, je lui ai fait signe avec les doigts : dix pour 22 h, puis j’ai montré la piscine. Il a simplement souri avant de se carapater. J’ai pigé que la crise de jalousie ne sortait pas de nulle part : Monsieur était volage. J’en ai eu la confirmation le soir-même. Un peu avant l’heure, je me suis glissée entre les barrières de sécu. Personne et zéro caméra. J’en ai profité pour me déshabiller entièrement et me mettre à l’eau. Elle était fraîche sur ma peau, si agréable sur mes tétons déjà tout durs… Quelques minutes plus tard, j’ai entendu des remous derrière moi. Mon charmant papa.
Lentement, il a nagé vers moi. Dans la pénombre, j’ai distingué sa mâchoire carrée et ses pec’ bien dessinés. Un mec viril comme j’aime, vraiment trop canon pour sa femme le laideron ! J’ai fait quelques brasses dans sa direction. Face à face, on pouvait sentir la tension sexuelle entre nous. Quand il s’est jeté sur moi, j’ai su qu’on allait passer un moment très, très chaud…
Monsieur a commencé par me prendre par la main et m’emmener vers le bord de la piscine. Puis il m’a soulevée pour m’asseoir sur la margelle. La hauteur était parfaite : ma chatte totalement épilée était à hauteur de sa bouche et mon clito tout brun qui dépassait légèrement entre mes lèvres était à sa portée. Il l’a embrassé voluptueusement pendant que mes doigts se perdaient dans ses cheveux blonds.
J’adore qu’on me mange la minette et j’avoue avoir particulièrement apprécié la méthode de mon amant. Un léchage appuyé sur mon clit’, suivi d’une pénétration linguale en profondeur. De quoi mériter un beau cadeau : un orgasme accompagné d’un jet de mouille salé, compliment de la petite fontaine que je suis ! Il a d’abord eu l’air surpris… Puis a replongé sa langue en moi pour tout nettoyer. Quel gourmand… Mais si Monsieur aimait manger de la femelle, il aimait aussi qu’on le dévore. C’est ce que j’ai fait juste après, lui assis sur la margelle, moi dans l’eau à lui pomper le gland.
Il avait une queue d’une taille moyenne mais aux poils bien entretenus. Bonus : un gland très charnu, que j’ai adoré mordiller délicatement ! Ça a rapidement mis le feu à Monsieur, qui a réclamé que je sorte de l’eau. J’ai pris mon temps et emprunté l’escalier, pour qu’il puisse me voir sous toutes les coutures. Son angle préféré a manifestement été mon cul bombé, puisqu’il s’est redressé, s’est approché de moi et a murmuré : « Allonge-toi sur un transat, je veux te prendre par derrière. » Un frisson a parcouru mes reins. J’ai obtempéré et je me suis retrouvée sa langue dans l’anus, à me retenir de ne pas miauler de plaisir.
Je peux vous dire, les coquins, que si son gland passait bien dans ma bouche, il a fallu insister pour le cul ! Je suis étroite et ce n’est qu’après m’avoir bien travaillée au doigt qu’il a réussi à obtenir l’écartement nécessaire. J’ai respiré un grand coup quand j’ai senti son sexe entre mes fesses. Il a grogné, poussé plus fort… Et j’ai été perforée pas son bel engin. Centimètre par centimètre, il a fini par le rentrer en entier, avant d’onduler dans mon trou serré. J’étais aux anges, tout en prenant garde à ne pas trop couiner. Sa femme serait arrivée à ce moment-là qu’elle nous aurait trouvés dans une posture plus que délicate : son mari en appui sur ses bras musclés, en train de bourrer le cul d’une belle rebeu !
J’ai glissé ma main droite entre mes cuisses pour caresser mon clito. La main de Monsieur l’a rejointe et il a susurré à mon oreille : « Je veux encore sentir ton jet ». Alors j’ai activé le mouvement de mes doigts. Mon amant, lui aussi, a accéléré le rythme et j’ai senti mon anus s’assouplir davantage… Un kif total ! J’ai titillé encore un peu, avant de partir dans un gémissement incontrôlable, ma main et la sienne se couvrant de mouille. Mon éjac’ a déclenché l’orgasme de Monsieur, qui a déchargé sans façon dans mon cul. Et pas qu’un peu : malgré la douche que j’ai prise en rentrant à mon bungalow, le lendemain matin, j’ai trouvé une belle trace de sperme sur mes draps…
Nous n’avons malheureusement pas pu remettre ça, le joli papa et moi : malgré mes nombreuses visites à la piscine, il n’a jamais remontré le bout de sa queue. Peut-être que les effluves ramenés chez lui ce soir-là ont poussé sa femme à lui en interdire l’accès ?
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