Boules & bite
23 octobre 2020Georges, 76 ans, adore le bowling. Lors d’un tournoi, il rencontre une femme mariée qui a envie de lui faire plaisir et de jouer avec ses boules…
Je suis président de mon club de bowling. Ça m’occupe et je suis avec les copains. Je ne donne pas le nom de la femme qui m’a pompé sur le parking, même si je suis sûr qu’elle aimerait rencontrer des interstron.ruistes. Je vous raconte tout de même mon histoire de sexe avec elle…
Je me décris. Je suis de taille moyenne, j’ai la bedaine de la retraite mais je reste quand même costaud. J’ai les yeux marrons et les cheveux blancs mais ils restent encore bien sur ma tête. Côté matos, c’est poilu aussi. « Ça cache le monstre », comme je dis.
Tout a commencé au bowling le soir d’un tournoi. La femme était dans l’équipe d’en face. Uniquement des 60-70 berges comme nous, mais mixte. C’est ça qui a dû nous perturber. Les copains étaient plus occupés à reluquer et à draguer les mémères qu’à penser quilles. On s’est pris une branlée. Heureusement, ça n’a pas été la seule de la soirée.
La présidente du club gagnant a payé sa tournée. On est tous allés au comptoir du bowling. 25 personnes qui picolent et qui blaguent, ça fait du bruit. La femme devait se pencher vers moi pour me parler à l’oreille. Mais ça ne me déplaisait pas qu’on soit à touche-touche. Elle était pas mal. Habillée en jogging peau de pêche pour être plus à l’aise dans le jeu. Ça la moulait et montrait qu’elle avait de beaux restes. Elle était méchée blonde avec les tifs courts, le maquillage un peu tape à l’œil pour mon goût, m’enfin, j’allais pas faire le difficile.
La soirée passait et c’était toujours la bonne ambiance. La joueuse m’a dit : « J’ai chaud. Tu veux pas m’accompagner dehors pour s’en griller une ? » J’ai dit OK. On s’est retrouvés sur le parking quasi-vide. C’était le mois de juin et il faisait chaud. Le ciel était plein d’étoiles. Je ne suis pas un romantique mais c’était sympa. La femme m’a emmené vers le fond du parking. La musique du centre de jeu s’éloignait. Il y avait des dizaines de bagnoles autour de nous. J’ai cru qu’on allait à la sienne pour prendre des clopes. Mais elle s’est arrêtée devant une tire et m’a dit : « En fait, je ne fume plus. J’ai tout arrêté, sauf la pipe ».
Je me suis trouvé tout couillon pendant qu’elle me plaquait contre une tire et commençait à m’embrasser dans le cou. En même temps, elle fouillait dans mon jean. « J’ai envie de ça depuis tout à l’heure », qu’elle a continué. « Ah, la belle andouillette ! Elle est encore un peu molle, on va arranger ça. » Et elle s’est mise à genoux devant moi pour me masser la verge à travers le fute.
BOUTIQUE SEXY
J’ai remarqué son alliance.
– Mais tu es mariée ?
Elle m’a répondu :
– Oui, mon mari est dans mon équipe. Il sait que j’aime m’amuser, t’inquiète pas. Même que ça l’excite. Il nous a vu partir, je suis sûre qu’il bande en pensant aux cochonneries que je vais te faire.
Et pendant qu’elle disait ça, elle m’a débraguetté de haut en bas.
– Oh, mais ça te plaît, ce que je te raconte ! Tu bandes, cochon… Mais oui, mon petit mari sait que je vais te sucer jusqu’à la moelle !
Je me suis raidi contre la bagnole tandis qu’elle s’emparait de l’engin. Elle a tendu la langue.
– Hum, ça goûte bon… Tu as bien sué, pendant le tournoi. Tu sais, c’est pas grave d’avoir perdu. Je vais te consoler.
Pour sûr ! Tout en me parlant, elle a mouillé mon bout avec de la salive et a glissé son petit doigt dedans puis elle a fait des petits cercles avec. Je triquais comme un âne. Sentant ça, elle m’a décalotté entre ses lèvres. Ensuite, elle a commencé à me branler de sa main gauche et a mis la droite en coupelle sous mes couilles. Elle a ensuite enchaîné suçage de bout, coulissage de la verge et malaxage des pruneaux. Le jus me montait de plus en plus…
J’ai mis mes mains sur sa tête et j’ai forcé un peu.
– Allez, assez joué ! Avale, un peu…
Elle a fait « Hon ! Hon ! » en essayant de résister mais j’ai tenu bon. Elle m’avait promis une pipe, elle allait me la donner. D’ailleurs, c’est ce qu’elle voulait. Au bout de quelques secondes, elle m’a avalé entièrement. Un vrai four que cette putain ! Je me suis retenu le plus possible mais c’était pas évident. J’ai pensé au cocu qui l’attendait.
– Alors comme ça, tu pompes souvent des types sur des parkings ? Ton mari va te récupérer dans un bel état, tiens ! Allez, avale, avale !
Et vlan ! Sans prévenir, j’ai balancé ma sauce visqueuse en appuyant bien sur sa tête. Les « Hon ! Hon ! » sont devenus des glouglous salement excitants. Le foutre sortait non-stop de mon bout, ça ne s’arrêtait pas ! La femme a renâclé et j’ai relâché la pression pour qu’elle respire. Mais avant, je lui ai relevé le menton pour qu’elle avale tout bien. Quand ça a été fait, elle m’a regardé, les yeux mouillés de larmes d’effort :
– Tu as voulu me noyer, ou quoi ? Mon salaud, ce que tu m’as mis…
Et elle a rigolé
On est retournés au bar sans trop se nettoyer. Elle m’a dit que ça plaisait à son mari de la retrouver souillée. Avant de repartir avec elle, le type m’a mis une tape dans le dos comme si on était copains. En même temps, quand on partage le même trou…