L’esthéti-chienne

La rédaction 23 septembre 2020

Karim, 31 ans, a son esthéticienne attitrée. Lorsqu’il vient se faire épiler, la trouvant trop sexy, il ne va pas pouvoir s’empêcher de bander…

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Je suis un mec soigneux : barbe bien rasée, sourcil impec et torse waxé pour plaire aux demoiselles. Par chance, celle qui soigne mon apparence est aussi la première à en profiter. C’est une vraie beauté, pour ne rien gâcher.

Quand je vais chez l’esthéticienne, je demande à être bichonné par Awa uniquement. Elle est d’origine marocaine, comme moi. Et puis elle a les mains douces comme de la soie, qu’elle utilise aussi pour me soulager… C’est arrivé, la première fois, l’an dernier.

Awa était alors nouvelle au salon. Une jolie brune bien balancée, avec des gros nénés serrés dans sa blouse rose. Problème : elle était si sexy que dès qu’elle a commencé à me mettre de la cire sur le torse, je me suis mis à bander comme un âne. Ça s’est vu direct sous la petite serviette que j’avais autour de la taille…

J’étais super gêné, mais elle m’a rassuré : « Je n’ai pas de client après vous, on peut peut-être en profiter ? »

J’ai halluciné. Mais son sourire a été plus clair que mille mots : la belle aimait le sexe et avait envie de se servir de l’étalon bien membré qu’elle avait à disposition.

Pour commencer, elle s’est mise nue (juste sa blouse et ses sous-vêtements à enlever), puis elle m’a sucé comme une reine. Comme j’ai kiffé sentir sa bouche presser mon gros cigare…  Elle s’est ensuite allongée sur la table et je l’ai prise fermement par les cuisses, puis je lui ai enfilé la minette. Elle savait encaisser : le temps nous était compté, donc je ne me suis pas ennuyé avec des préliminaires. Mais elle a aimé tout de suite et j’ai pu me faire bien plaisir. J’ai surtout adoré voir ses gros nénés remuer dans tous les sens pendant que je lui mettais des gros coups de chibre.

J’ai joui très vite, un peu stressé de me faire gauler par la boss du salon. Awa a eu l’air déçue… J’ai vu son regard et je me suis excusé de ne pas avoir tenu. Je lui ai dit : « C’est parce que ta vulve est trop serrée, ma belle… ». Elle a souri, puis elle a fait d’une voix douce : « C’est encore plus étroit par derrière. »

Awa s’est alors retournée et m’a présenté son derche. Une magnifique sphère, lisse et charnue… J’ai mis quelques coups de langue dans l’anus et elle a gémi. Ça m’a fait rebander direct ! Vite, j’ai écarté ses fesses des deux mains et j’ai entré mon gland encore suintant de sperme. Elle était si étroite que j’ai dû la prendre par les épaules et la faire coulisser centimètre par centimètre sur mon zboub ! Heureusement, les restes de foutre sur ma bite ont servi de lubrifiant. Je me suis cramponné aux épaules d’Awa et j’ai commencé à lui bourrer le cul.

J’étais tellement compressé dans cet anus magnifique que je suis resté dur tout du long. La table bougeait maintenant dans tous les sens et je ne savais plus si c’était le meuble ou la fille qui couinait… J’ai gardé un bon rythme, les seins d’Awa ballotant dans le vide. C’était tellement chaud… D’un coup, elle s’est mise à trembler et elle s’est cambrée comme une pouliche en chaleur. Elle a joui en poussant un soupir hyper sexy, qui aurait été un hurlement si je ne l’avais pas sodomisée sur son lieu de travail…

Depuis, tous les mois, je retrouve Awa au salon d’esthétique. Je choisis des créneaux peu fréquentés pour pouvoir profiter d’elle. Je lui ai tout fait : cuni, doigtage, faciales…

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