Naturiste un jour, naturiste toujours

La rédaction 5 février 2019

Claude, 52 ans, Roubaix.

Je pense que mon histoire n’aura rien de bien original. Les plages naturistes, c’est un peu comme l’histoire de la Rolex, si tu n’en as pas fait à cinquante ans, c’est que tu as raté ta vie. Sauf qu’on a beau dire, la première fois, c’est toujours un moment particulier. Avec Marjolaine, nous n’avons osé franchir le cap que la semaine dernière. Nous avons sélectionné la plage ensemble, sur Internet, et nous avons même appelé le gérant du camping le plus proche pour nous assurer de la bonne réputation du lieu. Il nous a tout de suite rassuré, la plage était bien entretenue, les naturistes étaient très sympas et très respectueux, et aucune affaire ne s’était mal passée. Il nous a même vanté la qualité du sable et de la mer. De même, quelques-uns de nos amis nous avait expliqué les règles de base du naturisme pour que nous ne nous lancions pas à l’aveuglette. Forts de toutes ces informations, nous nous sommes donc lancés dans l’aventure avec – quand même – une légère appréhension.

Quand Marjolaine a déboulé sur la plage, tous les mecs se sont retournés pour la mater. C’est vrai que du haut de ses quarante-quatre printemps, elle avait toujours un corps de déesse. Ces regards oppressants n’ont pas semblé la déranger. Elle en a même un peu joué en rendant sa démarche plus lascive, et en se déhanchant à outrance. Je n’aurais jamais cru ça d’elle. Elle, d’habitude si réservée, si polie, se lâchait complètement devant de parfaits inconnus ! Nous nous sommes étendus un peu à l’écart des autres et avons commencé à nous embrasser, d’abord timidement, puis de plus en plus langoureusement. Nous avions conservé quelques vêtements sur nous. Des mateurs sont venus près de nous, dans les hautes herbes, pour nous regarder. Et bien dis donc ! Je n’aurais jamais imaginé que nous aurions autant de succès dès notre première fois.

Marjolaine commençait à être bien excitée, et je dois avouer que moi aussi. Elle s’est relevée et a écarté son maillot de bain pour exhiber sa chatte lisse sous mes yeux. « Masturbe-toi, ma chérie. » Elle n’a pas attendu que je le lui répète une seconde fois pour le faire. Elle a tout de suite écarté ses deux petites lèvres de ses doigts et s’est agité frénétiquement le clitoris. Le soleil mettait ses courbes parfaitement en valeur. Bien excité par son petit show coquin, j’ai baissé mon short de bain pour qu’elle vienne s’occuper de mon chibre, gonflé de désir. Elle s’est allongée auprès de moi, me suçant et me masturbant en même temps. Parfois, elle relevait la tête pour retirer les quelques grains de sable qu’elle avait sur la langue. Je n’aimais pas la sensation de mes fesses nues qui grattaient contre le tissu de la serviette rêche, mais le vent frais et le soleil m’ont rapidement fait oublier ces petits désagréments. J’étais tellement concentré sur le massage masturbatoire de ma belle, que j’en avais presque oublié les mateurs qui s’étaient approchés au plus près de notre serviette.

Un homme, plutôt bien bâti est même venu me demander : « Est-ce que je peux caresser votre femme ? » J’ai acquiescé de la tête, c’était la première fois que Marjolaine se faisait toucher devant moi, mais j’étais certain de bien le vivre. Je lui faisais confiance. L’homme a commencé par lui palper les seins doucement, tendrement. Marjolaine se laissait faire en fermant les yeux, tout en continuant à me masturber d’arrache-pied. Les doigts de l’homme se sont aventurés plus bas et ont commencé à fouiller sa chatte et son anus. Je restais médusé. Marjolaine poussait des gémissements de plaisir, se courbait sous ses doigts… Elle avait toujours les yeux fermés, mais elle se mordillait la lèvre inférieure maintenant. Je n’aurais jamais imaginé à quel point c’était excitant de voir sa femme prendre du plaisir avec un autre. Je bandais de plus en plus.

Au bout d’un moment, Marjolaine lui a demandé de se retirer, elle voulait rester toute seule avec moi. L’homme, très poliment, s’est éloigné de nous, après nous avoir remerciés, Marjolaine et moi. J’aurais voulu jouir, sur cette plage, dans sa main, mais Marjolaine m’a demandé à l’oreille si nous pouvions partir.

Sur le chemin du retour, elle m’a confirmé qu’elle avait pris du bon temps, mais elle voulait y aller progressivement, petit à petit. Cette première fois avec un inconnu lui avait beaucoup plu, mais l’avait quand même un peu remuée aussi. Alors nous nous sommes promis, chaque été, de passer au moins un après-midi sur une plage naturiste et de repousser à chaque fois un peu plus nos limites.
Comme on dit, naturiste un jour, naturiste toujours !

(Photo à la une : Getty Images)

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