Coït de coworking

La rédaction 20 avril 2021

Thérèse, 58 ans tombe sous le charme de deux hommes dans un bureau de co-working. Les trois bosseurs savent aussi très bien relâcher la pression.

À 58 ans, je travaille comme graphiste indépendante et je partage depuis quelque temps un nouveau bureau de coworkers. Ce sont des gens un peu plus jeunes que moi, quadras pour la plupart, et l’ambiance est plutôt bonne entre nous. Aujourd’hui, je vous raconte mon histoire de sexe. 

Surtout les jours où je suis avec Daria et Jean, deux bosseurs très charmants qui d’après ce que j’ai ressenti, sont aussi amants. Avec eux, je me sens bien, leur présence me rassure et j’ai toujours envie de leur plaire, d’attirer leur sympathie, qu’ils me trouvent jolie. Alors au fil des semaines, je me suis faite de plus en plus coquette, à dégainer les jeans slims ultra moulants et les chaussures à talons. Je me sentais belle gosse dans leurs yeux et je voyais leurs regards impressionnés me reluquer quand je sortais mon attirail. Les jeudis soir, nous faisions des petits apéros dans le bureau. Nous fermions les volets à cause du couvre-feu pour que personne ne puisse dénoncer notre petite sauterie et nous sirotions du vin en dissertant sur notre milieu professionnel et sur la vie. Nous baissions le niveau de la lumière pour nous sentir plus intimes.

Ce soir-là, nous nous sommes mis à parler jusque tard, vers minuit, tout en buvant du bon vin. C’était agréable, l’heure était aux confidences et nous avons parlé de leur relation. Il n’y avait qu’à moi qu’ils osaient parler de leur liaison au bureau et je leur en étais reconnaissante. Au bout d’un moment, Jean m’a même pris les mains pour me dire : « On te trouve tous les deux très belle. Et on est assez ouverts comme couple, on a tous les deux des tendances libertines, et comme on sent une vibration de ce style venant de toi, on s’est demandé si tu ne serais pas intéressée par la chose… » « Oh », ai-je murmuré, le rouge me montant au visage.

Heureusement que la lumière était adoucie. « Je… je ne sais pas. » J’étais très troublée et ravie intérieurement d’avoir suscité ce genre de sentiments à mon égard. J’étais beaucoup moins ingénue que je n’y laissais paraître ! J’ai balbutié que moi aussi, j’aimais beaucoup me trouver en leur présence. C’est ce moment-là que Daria a choisi pour me coller un baiser sur les lèvres en saisissant mon visage entre ses mains. Ce baiser était si tendre ! En un clin d’œil, je me suis retrouvée assise sur mon bureau, jambes ouvertes avec Daria en leur sein, ses bras autour de moi, sa langue collée contre mon palais. Oh quelle était bonne, cette chaleur vivante ! Je n’avais pas goûté à une femme depuis mes 25 ans et c’était un plaisir renouvelé, fort de tout ce temps durant lequel j’avais attendu la bonne pour reproduire cette expérience.

J’ai rendu des baisers appuyés à ma muse pour lui prouver mon enthousiasme, et mes jambes se sont enlacées autour d’elle. Jean nous regardait et, quand sa douce se décollait de ma bouche, il s’avançait pour baiser ses lèvres à son tour. Je voyais leur baiser de tout près, si près, et c’était chose étonnante que de me retrouver au milieu de leur désir à tous les deux. J’étais si bien, là, au centre de leurs élans charnels ! Jean a passé la vitesse supérieure et s’est agenouillé aux pieds de mon bureau pour retirer mes chaussures, non sans avoir embrassé mes pieds au passage, puis mon slim, puis il s’est mis à me lécher amoureusement le con pendant de longues minutes. Mes mains se sont crispées sur la nuque et les cheveux de Daria qui continuait de m’embrasser tandis que son chéri me faisait du bien entre les jambes.

Ma propre main est venue entre ses cuisses à elle et je l’ai caressée par-dessus son pantalon. Elle a répondu par des petits halètements à mon oreille. Je savais encore y faire ! J’hallucinais de constater le sex appeal dont j’étais pourvue en présence de ces deux-là ! C’était comme une alchimie indicible entre nous, quelque chose qui nous dépassait et nous reliait de façon invisible. Bon, plus si invisible que ça, depuis qu’on n’arrêtait pas de se tripoter sans pouvoir nous en empêcher. Jean m’a voulue plus intensément, alors il a relevé mes jambes et m’a fait basculer contre la table pour sortir sa queue et me la fourrer, bien droite, bien raide et bien assurée ! Ah, ça faisait longtemps et c’était bienvenu, ce dépoussiérage inopiné ! J’étais les quatre fers en l’air, à me faire ramoner par mon ami, tandis que sa douce lui caressait le derrière et lui mettait, mais oui je ne me trompais pas, des doigts dans le cul pour lui donner plus de plaisir tandis qu’il me pénétrait ! Et plus elle lui mettait des doigts dans le cul, plus il redoublait ses déhanchés contre moi et c’était tellement fort que j’ai senti un orgasme né dans mon vagin éclore dans tout mon corps. J’ai entrepris de lécher Daria à mon tour sur son bureau, ses belles jambes fuselées autour de ma tête. Pendant que j’étais penchée sur sa chatte et qu’elle était renversée de plaisir sur la table, l’autre m’a reprise par-derrière pour me niquer debout.

De la même façon qu’elle lui avait stimulé le cul pendant qu’il me baisait, il me stimulait la chatte pendant que je broutais le minou de son amante ! Et c’était bon, oh que c’était bon, de sentir cette queue qui décidément ne faiblissait jamais et de donner du plaisir à sa compagne en plongeant dans sa vulve quand l’homme derrière moi y allait un peu fort.

Le plaisir était intense, et celui de Daria aussi, car elle a crié au milieu de mes ultimes coups de langues assénés en pleine levrette, et son plaisir a résonné dans nos oreilles pendant que Jean éjaculait sur ma croupe. Ils m’avaient usée et utilisée. J’en étais heureuse, car j’avais au passage tutoyé les sommets de la jouissance.

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