Une masturbation mutuelle
28 janvier 2024Eléanore et Nathan sont sorties ce soir et ils ont baisé toute la soirée sur un parking et l’a proposé une sodomie qui n’a pas aboutie.
Le sexe et la religion
Je n’ai plus revu Nathan et je n’ai plus eu de nouvelles de lui pendant deux longues semaines. Entre-temps j’avais fêté mes 19 ans en la charmante compagnie de Vincent… Puis un jour, Nathan m’a appelée pour me proposer de le revoir le soir même J’ai immédiatement accepté. Il est venu me chercher en voiture et nous sommes partis pour la plage aux alentours de minuit. Nous avons pris quelques verres dans un bar avant de nous installer sur le sable, face à la mer. Sous le ciel étoilé, je me suis détendue presque instantanément.Voici mon histoire de sexe.
Après un long moment de silence, j’ai commencé à frissonner. Alors nous avons marché. Je sentais l’alcool agir à mesure que je perdais mon sérieux. Je faisais l’enfant en courant, dansant et le provocant. Il m’a poursuivie, tentant de m’attraper mais j’étais plus agile que lui et plus rapide, je changeais de direction et de vitesse en fonction de ses mouvements et de la distance qui nous séparait. Je m’amusais comme une folle et je me moquais de lui parce qu’il ne parvenait pas à m’attraper.
Cette course nous a laissés quelque peu essoufflés ; il m’a saisie par la taille, me ceinturant de ses bras puissants et m’a plaquée au sol. Il m’a dévoré le cou, le visage et la poitrine de ses baisers carnassiers, me faisant rire et frissonner à la fois. Lorsque sa langue s’est promenée sur ma peau, mes poils se sont hérissés. J’ai laissé mon corps subir ses assauts pleins d’ardeur et de désir. Emprisonnée sous lui, j’ondulais des hanches, frottant mon ventre au sien. Ses mains avides parcouraient mon corps, se faufilaient par instants sous mon long t-shirt blanc, passaient sur mon short avant de glisser sur mes jambes nues. Je caressais sa peau de mes mains gourmandes, et parfois l’une d’elles venait malaxer la proéminence, parfaitement palpable, par-dessus son jean.
Fébrilement, il a déboutonné mon short avant de le faire glisser le long de mes jambes, entraînant dans son sillage mon string. Je me suis donc retrouvée à moitié nue sur le sable froid, Je cherchais par tous les moyens à le faire venir en moi pour avoir un peu de chaleur mais il me résistait, restant à genoux en me regardant me frotter les membres. Enfin il s’est couché sur moi et j’ai senti quelque chose de presque brûlant contre ma vulve glabre… Il avait baissé son pantalon jusqu’aux genoux et recouvert son petit membre épais d’un préservatif. Il caressait mon entrejambe avec son gland protégé par ce film de latex. Progressivement, mes cuisses cédaient le passage à sa virilité à mesure que je me mettais à mouiller, signe que ce doux frottement ne me laissait pas indifférente.
Dans la nuit désertique, suivie de près par mon partenaire.
Quand des filets ont débordé de mon vagin, il est entré en moi, caressant vigoureusement du pouce mon clitoris dressé de désir comme un minuscule pénis. Nous bougions lentement, mais l’excitation se faisait de plus en plus forte. Nos bassins se jetaient l’un contre l’autre dans un claquement de peau des plus obscène, mon dos s’arquait autant qu’il lui était possible pour que nos hanches puissent se coller au maximum. Mes ongles griffaient son épiderme, mes dents mordaient son cou et ses épaules, des gémissements rauques s’échappaient de nos bouches, ses mains serraient durement ma poitrine… L’excitation montait à une allure folle. Elle était certes due au plaisir de me faire prendre par cet homme mais aussi au risque bien présent d’être repérés par quelqu’un. J’ai posé mes mains sur son torse et je l’ai poussé, tant et si bien qu’il s’est soulevé en se retirant de moi Je me suis alors retournée et mise à quatre pattes, cambrant mon postérieur avec les jambes écartées. Il s’est positionné derrière moi et s’est inséré profondément dans mon intimité. Il est resté ainsi quelques secondes, immobile, avant d’entamer un lent va-et-vient, titillant mon point G.
Il s’appuyait sur mon dos, me poussant à me coucher à moitié sur le sable et s’activait avec vigueur, agrippant mes hanches pour faire claquer son bassin contre mon séant. Je me trouvais quasiment nue, la tête creusant un trou dans le sable pendant qu’il me bourrait, et cela m’excitait énormément. J’imaginais ce que penseraient les gens s’ils venaient à nous surprendre ; ils se diraient sans aucun doute que j’étais une dépravée, une traînée… Cela ne faisait qu’accroître le plaisir que je prenais à être pénétrée de la sorte, tant et si bien que j’ai fini par jouir en poussant un puissant cri sans nul doute très audible dans la nuit désertique, suivie de près par mon partenaire.
Une fois calmés et rajustés, nous sommes allés jusqu’à la voiture pour qu’il me ramène chez moi avant de rejoindre son lit. Tandis que nous roulions sur la voie rapide, nos mains s’aventuraient occasionnellement sur le corps de l’autre ; elles se faisaient de plus en plus insistantes, ce qui montrait bien que notre désir n’était pas totalement assouvi, jusqu’à aboutir à une masturbation mutuelle assez maladroite du fait des ceintures de sécurité. J’ai donc décidé de me détacher pour aller titiller son cou de ma langue pendant que ma main s’assurait une meilleure prise sur son sexe et reprenait une masturbation un peu plus appuyée… Ma propre audace me surchauffait alors je me suis penchée vers ses cuisses et j’ai entamé une lente fellation.
Meilleur prise de masturbation
Si lente qu’il bougeait le bassin et m’appuyait sur la tête pour que j’accélère. J’ai suivi la cadence, ne laissant sa queue sortir de ma bouche que pour le regarder rapidement avant de retourner à mon ouvrage. Il s’était détendu de façon très nette au fil de ma fellation, allant même parfois jusqu’à quasiment fermer les yeux ce qui, étrangement, m’indifférait. Je m’appliquais à ma tâche de mon mieux, tant et si bien qu’il s’est répandu dans ma bouche. Il était temps car, n’ayant pu regarder dehors, je n’avais pas remarqué que nous étions pratiquement parvenus à la fin de la voie rapide. Prestement, je me suis redressée et rajustée tandis qu’il rangeait son sexe.
Malgré nos sympathiques galipettes exhibitionnistes, je n’étais toujours pas rassasiée et lui non plus, alors nous sommes arrêtés sur le minuscule parking d’un hôtel plongé dans l’obscurité. J’ai reculé mon siège au maximum, retiré mon short et mon string, puis je me suis retournée et je me suis placée à genoux sur le siège. Il s’est faufilé derrière moi et s’est couvert, et j’ai tendu mon postérieur vers sa verge, le laissant prendre les commandes. Il a posé ses mains sur mes hanches et m’a attirée lui tout en avançant son bassin contre mes fesses, accélérant le rythme jusqu’à faire claquer nos chairs… C’était si sauvage, bestial même, que je lui ai demandé d’essayer de me prendre par le petit trou. Mais ses tentatives sont restées vaines, alors il a dû se contenter de mon fourreau. Il semblait frustré de ne pas avoir réussi à me sodomiser, alors il s’est déchaîné sur le seul orifice disponible, ce qui me plaisait au plus haut point ! J’ai joui rapidement, suivie de près par Nathan… Notre affaire finie, il m’a raccompagnée pour de bon chez moi.
Par la suite, je l’ai revu plusieurs fois au petit matin, alors qu’il sortait du travail, pour une séance de jambes en l’air… Jusqu’à ce que je craque et que je lui demande de me donner plus ou alors je ne voudrais plus continuer ainsi. Mais cette requête sonna le glas de notre “relation”, et notre histoire s’est achevée là.
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