Odorama

La rédaction 11 novembre 2019

Doris, 34 ans

Bravo pour votre numéro de mai sur les odeurs de l’amour ! Éric, mon copain, m’a demandé de vous raconter comment se passent nos ébats, à la maison. Chez nous, le sexe et les odeurs, c’est une longue histoire. J’ai 34 ans, je suis très brune, d’origine méditerranéenne, style BCBG. J’ai la chance d’avoir un beau cul cambré et de jolis seins aux tétons gros et très sensibles.

Si, par le passé, je me suis souvent rasé les aisselles et la chatte, Éric m’a demandé de rester naturelle. Pour conserver les odeurs, bien sûr. J’ai de jolies touffes sous les bras et un pubis bien fourni. Éric est un fétichiste du tablier bleu de cuisine, et il m’a fait partager sa passion. Nous en avons chacun un, fait sur mesure par une copine couturière, avec une grande bavette et une poche demi-ronde sur le devant. Pas trop longs, au-dessus du genou, ils s’enroulent à la taille, se croisent sur nos fesses et se nouent sur le ventre.

Voilà quatre ans qu’Éric m’a fait découvrir le plaisir d’être nue sous un tablier. À‚ la maison, c’est notre seule tenue, toute l’année. Quand je reviens du travail, j’enlève tout de suite mon tailleur, mes sous-vêtements et je passe mon tablier. Ensuite, je fais mes petites tâches ménagères. Fréquemment, l’excitation est telle que je soulève mon tablier pour me toucher. D’ailleurs, en ce moment même, j’arrête d’écrire pour me doigter.

Quand Éric rentre, il se désape tout de suite, enfile son tablier et vient me retrouver, la queue en avant. C’est alors la fête pour mon cul et ma chatte ! Mais, revenons à l’objet principal de cette lettre. C’est au cours de la canicule de 2003 que nous avons progressé dans ce domaine ! Nous ne sommes pas partis en vacances, nous avions des travaux à faire à la maison. Le matin, c’était peintures et enduits, l’après-midi, repos à cause de la chaleur étouffante. J’étais allongée sur la pelouse de notre jardin, en train de paresser, quand je l’ai vu à la porte de la cuisine. D’une main, il tenait son tablier relevé et de l’autre, il se branlait. Je savais comment cela allait finir…

J’ai écarté les cuisses, remonté les genoux et je me suis aussi caressée. Il est venu tout de suite me goûter la chatte en 69. Moi, j’ai englouti sa pine. Ensuite, il m’a baisée en missionnaire et a éjaculé sur mon tablier, comme il le fait souvent. Puis, il est resté allongé sur moi. Nous goûtions à la retombée du plaisir. Nos tabliers étaient imprégnés d’une bonne odeur de chatte et de bite. C’est là que j’ai commencé à être accro à cette odeur. Car depuis, je me livre régulièrement à un petit rituel que je trouve jouissif. À‚ la demande d’Éric, je vais faire les courses à poil sous mon tablier enduit de foutre et de mouille séchés ? En trois ans, il a eu le temps de bien s’imprégner ?, avec juste un petit imper par-dessus. Quand je pousse le chariot, que mes tétons sont excités par la bavette et que je sens la bonne odeur du tablier remonter par l’encolure, ma chatte se liquéfie… J’ai le clitoris bandé et je ne pense qu’à me toucher. Parfois, je croise des gens que je connais au supermarché. Ils en prennent plein les narines au passage et se reculent, l’air interrogateur. C’est là, toute rouge de honte, que j’enchaîne avec des banalités d’usage qui évitent les questions du type : « Mais d’où vient cette odeur ? » J’aurais beaucoup d’anecdotes comme celles-ci à raconter.

Ce qui me plaît le plus dans ce petit jeu, c’est qu’il me permet d’exploiter les deux facettes de ma personnalité. D’un côté, la femme active, BCBG et réservée, et de l’autre, la jouisseuse qui vit des choses incroyables. J’aime passer du tailleur très classique au tablier de cuisine, des sous-vêtements très prudes à la nudité totale, de mon parfum très classe à l’odeur du jus de bite. Certains nous considéreraient peut-être comme des dépravés, d’autres penseront que nous aimons l’amour crade, et c’est sans doute vrai. Mais, c’est comme ça que nous nous aimons, et probablement encore pour longtemps.

(Image à la une : Getty Images)

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Voisines, en chaleur justement !

« Son superbe corps avait la forme d’un violon. J’ai malaxé ses seins par-derrière, puis je suis passé sur ses fesses. Je les ai écartées, et mon nez est allé renifler sa raie musquée. Je lui ai lapé l’anus tout doucement » Malik

Toujours aussi chaude !

« Ma chatte coulait de plaisir sous ses doigts curieux. Thomas n’en pouvait plus de me voir prendre tant de plaisir. Il m’a fait mettre en levrette. Je l’ai senti s’enfoncer sans retenue dans mon fourreau dilaté » Charlotte

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