Face à fesses !

Un amant photographe

Après ma première grossesse, j’ai développé un gros complexe au niveau de mon postérieur. Je me disais que j’étais trop grosse, que plus personne ne voudrait de moi et que j’étais juste bonne à me faire oublier. Mais c’était sans compter sur l’arrivée dans ma vie d’un amant. Il m’a ramenée à la raison. Voici mon histoire de sexe.

Je m’appelle Karima , après mon accouchement, j’ai eu besoin d’aller butiner ailleurs. En dehors de mon mariage, pour me sentir puissante, en contrôle, désirée. J’avais l’impression que j’avais des phéromones qui gravitaient autour de moi et qui attiraient tous les mecs. C’est à cette période que j’ai rencontré Patrick, un homme plus âgé que moi, qui avait 50 ans (et moi, tout juste 30). Je l’ai rencontré à une terrasse de café et nous avons tout de suite accroché. Comme c’était un inconnu, je lui ai confié plein de choses. Mes complexes, ma grossesse, les vergetures qui étaient apparues sur mon cul. Il m’a écoutée et par la suite, nous avons eu une aventure torride. Surtout, il a voulu me rendre ma confiance dans mon postérieur.

Il me disait qu’à chaque fois qu’il me baisait. Il avait une vue incroyable sur mes fesses. Il aurait aimé que j’aie la même vue que lui, pour que je comprenne à quel point j’étais sexy. Nous avons commencé à faire des jeux autour de cet endroit qui me complexait tant pour que j’en retire du plaisir. Il voulait que je me réconcilie avec cette zone. Ça a été très ludique.

Il a commencé un soir par prendre des photos en gros plan de mon séant et de la chute de mes reins, avec mon string écarté sur le côté. Il m’a montré et, au début, j’avais vraiment du mal à voir mes vergetures. Mais à force de regarder, j’ai fini par y voir de la chair rebondie et finalement assez appétissante. Ça finissait par m’exciter, de me voir comme lui me voyait. Il a pris des plans de plus en plus près de ma fente et de ma rosette. Plus c’était impudique, plus ça me troublait et plus nous faisions l’amour passionnément juste après.

Mon gros cul arqué en arrière, ma peau hâlée zébrée de quelques vergetures étaient finalement comme des filaments argentés qui magnifiaient ma croupe… Je vous jure que j’ai fini par voir les choses comme ça ! Puis il s’est amusé à me photographier pendant qu’il me prenait par la chatte. Pour immortaliser la cambrure de mes fesses, mes orifices ouverts à son avancée.

Un photographe torride

Il m’a baisée avec amour, et puis il m’a montré les photos et j’ai eu envie d’aller plus loin encore. Je ne voulais pas forcément qu’il m’encule, mais je l’ai autorisé à me mettre des doigts dans le cul pendant qu’il me prenait en levrette. Je découvrais tout un nouveau continent de plaisir et plus je regardais mes photos et me trouvais belle.

Plus je me lâchais pour prendre sa queue et ses doigts en moi en même temps. C’était génial, les pénétrations me paraissaient encore plus ébouriffantes, intimes et renversantes, tout ça à la fois ! Dans mon lit conjugal, je ne ressentais pas tout ça et ces moments avec mon amant qui me faisait aimer mon corps étaient mes espaces récréatifs. Loin de mon rôle de maîtresse de maison, et je prenais de plus en plus mon pied.

Un soir, je suis venue voir Patrick avec un sextoy anal. Un petit plug avec des boules qu’on peut enfoncer progressivement dans l’anus. Il a bien aimé l’idée et je sentais que ça allait m’emmener vers un plaisir encore plus dingue que ce à quoi j’avais déjà goûté. Patrick m’a d’abord fait des caresses sur le lit.

J’étais brûlante, prête à me faire enquiller jusqu’à plus soif. Je me suis retrouvée en petit chien dans ma position favorite sur le lit, lui en train de rendre hommage à mon cul en l’embrassant et en le léchant, poussant le vice jusqu’à un anulingus que je ne l’avais jusqu’à maintenant pas encore laissé faire. Puis il m’a prise doucement, tendrement, et quand je me suis mise à vibrer sous ses allées et venues il a commencé à enfoncer le plug. Une partie du jouet a glissé en moi, créant des ondes de volupté nouvelles.

Fesse qui te plait

Moi qui ne voulais pas qu’on me touche de ce côté-là de mon corps avant notre rencontre… J’étais désormais complètement connectée au cœur de mon cul. Concentrée sur chaque millimètre de progression de sex toy. Une boule est entrée, puis deux, puis trois. Je m’ouvrais cran après cran à ces délices qui s’insinuaient au creux de mon intimité la plus cachée.

Mon cul s’épanouissait grâce à cette douce intrusion, et pendant ce temps, sa bite me limait de plus en plus vite le fond de la chatte. Le jouet anal communiquait avec la pénétration vaginale, la renforçait, l’augmentait dans sa force. Ma jouissance est partie du fin fond de mon cul pour me traverser jusqu’à ma bouche ouverte… Lui s’est branlé dans ma raie…

Patrick m’a montré les photos de mes fesses et de tout mon corps en train de kiffer. Je ne l’avais jamais trouvé aussi beau.

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